un petit voyage en moi-même, pour redéfinir mes priorités
et puis je reconnais que je m'essouffle un peu
Je vais laisser s'éteindre avril pour pouvoir rejoindre mai avec des forces nouvelles...
Comme chez tout le monde sans doute, il y a des soucis dans ma famille qui me prennent un peu la tête : par exemple, un de mes petits-fils est malade, mais c'est semble-t-il plutôt d'ordre intestinal
Je ne peux rien y faire, juste écouter ce que mes enfants concernés peuvent m'en dire, leur inquiétude surtout que le jeune est en période d'examens universitaires
Et moi, demain je suis mon 2ème cours sur Alexandre Jollien par visioconférence (quel type, ce mec!!!)
à bientôt donc (sauf si j'ai quelque chose d'urgent à communiquer!)
aquarelle Coum, 2000
On t'attend ! (T'inquiète, attendre on sait faire...)
RépondreSupprimerOui, on t'attend, et puis s'il te vient l'envie de poser juste un mot, d'où qu'il vienne, de la joie ou de la détresse, on sera là. On te guette. Prends soin de toi, prends soin des tiens. Baiser de tendresse ♥
RépondreSupprimerVous avez raison de prendre un peu de recul, de vous concentrer sur ce qui est le plus important pour vous. Vos écrits me manqueront et je les retrouverai avec grand plaisir. Prenez bien soin de vous et de vos proches.
RépondreSupprimerBises mouillées de Bretagne
Mamou22100
On bouge pas.. toute façon on n’a pas le choix !!! Mais en plus d'écrire tu peins ?? Bises
RépondreSupprimerJ'ignorais tes talents d'aquarelliste !
RépondreSupprimerTu vas sûrement trouver quelque chose d'urgent à nous communiquer : par exemple que tu nous aimes, nous, tes lecteurs assidus, toujours heureux de te lire.
;-)
Et bon temps de visioconférence avec Alexandre.
C'est bien de prendre du bon temps avec le grand Alexandre Jollien. De l'espace, de l'air frais, de l'humour. Je sais bien que tu nous reviendras rapido, et je t'attends paisiblement. Big smacks !
RépondreSupprimerJ'ai un livre d'Alexandre Jollien. Tu me donnes envie de le lire.Bonne fête du muguet
RépondreSupprimerJ'essaye en anonyme. Bon confinement dans ton toi-même chère Coumarine. Tu t'en doutes, je compatis à tes inquiétudes. Floraise
RépondreSupprimer