dimanche 26 septembre 2021

 Ce matin, très tôt, un oiseau

un oiseau soliste s'obstinait à croire 

que le jour finirait par se lever...

J'ai espéré, de toutes mes forces

qu'il aurait raison


J'ai pris la décision de mettre mon blog en pause: pour l'instant je n'ai plus trop le courage de continuer. D'ailleurs, vous l'aurez remarqué, je n'écris plus beaucoup et au moins, ce sera clair!

Au revoir, à tous et à chacun 

dimanche 19 septembre 2021

Julos...

 Oui, il est décédé !

Je me souviens...

Il y a vingt ans environ, nous allons à l'aéroport accueillir notre fille

L'avion est légèrement en retard: nous attendons avec patience

Un peu plus loin je remarque un homme que je reconnais aussitôt: c'est Julos Beaucarne/ Il est seul, il attend aussi

Je le (re)connais, lui ne me connait pas. Oserais-je m'avancer vers lui?

Oui! j'ose.

Je le salue avec chaleur: il me regarde et... le courant passe aussitôt

On papote de tout et de rien , on passe le temps agréablement! 

Puis des confidences s'échangent: j'ose lui parler du drame qui a déchiré sa vie, il n'est pas choqué par mon audace, il m'écoute, attentif: une larme dans ses yeux...

Merci Julos pour ce moment vrai que nous avons passé ensemble: je n'oublierai jamais ta simplicité. MERCI

 


samedi 4 septembre 2021

C'est comme ça!

 Merci à ceux qui sont venus jusqu'ici...j'avais besoin de votre chaleur

Passons maintenant à Charles Pépin

J'avais déjà lu de lui  "La beauté nous sauve" que j'avais bcp apprécié!

Ce livre "Les Vertus de l'échec" m'a touché au point que dans mes moments de détresse, je viens le prendre et y chercher de quoi me nourrir 

Et donc à la page 81, voici ce que je lis: 

Ch. Pépin parle ici de Ray Charles:

Ray Charles a perdu la vue à sept ans et sa mère à quinze. Auparavant il avait assisté à la mort par noyade de son jeune frère. J'avais le choix, dit il: m'installer au coin d'une rue avec une canne blanche et une sébile ou tout faire pour devenir musicien.(... ) Ray Charles n'a pas gâché ses forces en se plaignant de son sort. (...) Il a su accepter la différence entre ce qui ne dépendait pas de lui et ce qui dépendait de lui .  Ray Charles fut capable de ce grand  "c'est comme ça", le grand oui à la vie... Face à un échec, comme face à une épreuve, la question n'est pas de savoir si c'est juste ou injuste, mais si nous pouvons nous appuyer dessus pour construire autre chose

L'échec quand il est là, ne dépend plus de nous. Seul dépend de nous la manière de le vivre. Nous pouvons pleurer sur notre sort "injuste" , ou voir l'échec comme une invitation à rencontrer le réel. Et nous avons ce choix!

Hier je me suis plainte, et quand j'ai lu cette invitation, je me suis reprise (mais c'est tout juste!)                                                                                                                        

vendredi 3 septembre 2021

 Mesdames et Messieurs (du moins les quelques dames et sieurs qui visitent encore ce blog)

Je vous le dis tout net: je ne vais pas bien, tant moralement que physiquement! je ne tiens plus que mes jambes et donc je tombe

et donc je me fais mal, et donc ce n'est pas agréable du tout! En plus, je ne peux pas me relever!

Quant à mon seul œil... parlons en de celui-là: il se met à démissionner de son travail d'œil

Bref, je les collectionne et ça m'énerveeeeeee!

Ma psy à qui je racontais mes malheurs (!), m'a dit qu'elle comprenait que je sois au "bout du rouleau". Elle me dit que je ... bref que mes problèmes sont nombreux et bien douloureux

Hé bien je vais vous dire: qu'elle reconnaisse mes malheurs, m'a fait du bien... c'est une nouvelle psy habituée à accompagner les seniors en souffrance

OUF

et maintenant qu'est ce que je fais de cela?

C'est alors que je prends le livre de Charles Pépin: "Les vertus de l'échec" 

et p.81 je tombe Sur ces mots qui me parlent énormément:

(bon je fatigue là, j'écrirai ces mots plus tard )





LinkWithin

Related Posts with Thumbnails