Il était tard, la pluie giclait sur les fenêtres
dans un bruit têtu et féroce.
Mais toi, la nerveuse, étrangement calme,
tu restais là à contempler ta vie
devenue soudain aussi large que l'océan.
Tu étais simplement passée de l'autre côté du miroir,
celui où l'on rencontre ceux qui lui parlent en vérité
même si leurs mots sont de mystère
... surtout s'ils le sont!
Tu aimerais donc les oracles sibyllins ?
RépondreSupprimerTu es passé de l'autre coté du miroir. Bravo
RépondreSupprimerDerrière le miroir : la musique de la vie
RépondreSupprimerbien des mots ont la sonorité du mystère.
Derrière le miroir on voit surtout le véritable endroit.