Tous les matins je suis (du verbe suivre) un atelier à l'UDA (Université des Aînés), sur le personnage haut en couleurs Alexandre Jollien. Il est l'auteur de plusieurs livres, la plupart passionnants, cela fait quelques années que je le lis, sans jamais m'en lasser. (j'attends que ses livres paraissent en "poche"
Le livre dans lequel je me retrouve pas mal est "Vivre sans pourquoi" (désormais en poche Points)
C'est un livre profond et vrai, qui touche l'essentiel de l'âme humaine. Comme il est fait de courts passages, on peut en lire l'une ou l'autre page par ci par là et s'en nourrir
Souvent je lis et j'écris pour moi ce que les mots évoquent en moi
Vivre sans pourquoi, c'est entre autres, ne plus s'inquiéter de "l'après"
C'est ce que je vis maintenant que mon témoignage "Horton" est paru: je fais ce qu'il faut pour le faire connaître, mais je ne veux pas m'en inquiéter, plus que nécessaire. Il fera son chemin, touchera les personnes qu'il doit toucher et tout se passera bien, je suis confiante!
Pourquoi ?
RépondreSupprimerIl y a temps de pourquoi sans réponse...
Ne pas s'acharner à tout vouloir comprendre est une sage solution.
Et les pourquois des autres sur toi-même c'est épuisant. J'en ai fait l'expérience début mai, une personne que je connais bien pourtant, avec laquelle j'ai passé quelques jours et qui m'a assommée de "pourquoi"... Désagréable sentiment d'oppression.
Belle vie sans pourquoi Coumarine.
les pourquoi qu'on se pose, sont souvent bien inutiles et même, font du mal
Supprimer"pourquoi moi?"
"pourquoi ça m'est arrivé?"
Et comme tu le dis, les pourquoi que nous posent parfois les autres sont oppressifs
Belles vacances, Suzame
Pourquoi se préoccuper de l'après puisqu'on ne le connaît pas !!
RépondreSupprimerce que tu écris là, c'est l'évidence même...!
Supprimermerci d'être venu cher Daniel
Bonsoir Coumarine
RépondreSupprimerJ'ai fini de lire hier soir ton dernier livre "Mon rendez-vous avec Horton". Comme tu t'en doutes, j'ai beaucoup aimé. Je ne connaissais pas cette maladie, et ton récit racontant le déroulement de ce que tu as vécu, jour après jour, m'ont touchée et émue. Même si nous ne souffrons pas de Horton, tes mots nous apprennent la patience, le découragement aussi, mais la force qui est en nous se réveille toujours, et l'amour de la vie triomphe. Tu as été bien entourée, et je crois que c'est important d'être ainsi soutenue. Si tu as été soutenue ainsi, c'est que tu es aimée, on reçoit toujours ce que l'on sème. (sourire)
Je t'embrasse fort, ma douce.
Je corrige : "ton récit racontant... m'a touchée"...
Supprimermerci chère Françoise, pour cet avis positif concernant mon livre!
SupprimerCela me fait grand bien: je reconnais que j'avais un peu peur que mon récit fort personnel ne rebute les lecteurs
On me dit au contraire qu'il fait du bien...
Merci à toi, de tout coeur
J'aime beaucoup Alexandre Jollien.
RépondreSupprimeril a su accepter son handicap et déployer une énergie extraordinaire pour réaliser l'incroyable..Je l'admire beaucoup
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RépondreSupprimerThis is awesomee
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