Mesdames et Messieurs (du moins les quelques dames et sieurs qui visitent encore ce blog)
Je vous le dis tout net: je ne vais pas bien, tant moralement que physiquement! je ne tiens plus que mes jambes et donc je tombe
et donc je me fais mal, et donc ce n'est pas agréable du tout! En plus, je ne peux pas me relever!
Quant à mon seul œil... parlons en de celui-là: il se met à démissionner de son travail d'œil
Bref, je les collectionne et ça m'énerveeeeeee!
Ma psy à qui je racontais mes malheurs (!), m'a dit qu'elle comprenait que je sois au "bout du rouleau". Elle me dit que je ... bref que mes problèmes sont nombreux et bien douloureux
Hé bien je vais vous dire: qu'elle reconnaisse mes malheurs, m'a fait du bien... c'est une nouvelle psy habituée à accompagner les seniors en souffrance
OUF
et maintenant qu'est ce que je fais de cela?
C'est alors que je prends le livre de Charles Pépin: "Les vertus de l'échec"
et p.81 je tombe Sur ces mots qui me parlent énormément:
(bon je fatigue là, j'écrirai ces mots plus tard )
Ton long silence me faisait bien craindre quelque chose de ce genre. Je connais bien le silence qui peut s'installer autour d'une souffrance, qu'elle soit physique ou morale ou qu'elle soit l'une ET l'autre, je connais bien le déni confortable dans lequel l'entourage peut s'installer, alors je suis heureuse de savoir que tu as trouvé une oreille bienveillante et empathique.
RépondreSupprimerJ'attendrai patiemment la citation du sieur Pépin, le titre de son ouvrage laisse présager le meilleur. "Ni rire, ni pleurer, comprendre" disait Spinoza (même s'il n'est pas interdit de faire les 3). Je t'embrasse affectueusement, doucement♥
Je ne peux que te lire et compatir bien sincèrement mais je suis heureuse de voir que même "au bout du rouleau" tu arrives à trouver un certain réconfort dans des mots, en l'occurrence ceux de Charles Pépin que tu nous partageras plus tard. Je t'embrasse chère Coumarine.
RépondreSupprimerC'est bien que tu ais trouvé une oreille "comprenante"! On est là aussi... Tendres pensées
RépondreSupprimerChère Coum,
RépondreSupprimeroh que je suis contente de te lire, contente que tu t'autorises à te dire, à nous dire ce que, comme La Baladine, je craignais cependant d'entendre ..
je suis heureuse pour toi que tu aies une bonne psy, qui sait t'écouter .. quelquefois, juste ça ..c'est peu et c'est tellement !
Je t'embrasse
Oui, c'est dur de porter toutes ces années, je le sais moi qui m'approche de mes 83 printemps avec un œil qui fonctionne à moitié et la fatigue qui plante son couteau dans mes reins comme le disait J. Brel. Nous voilà membres éminents de la tribu des Tamalous. Bon courage et bien amicalement
RépondreSupprimerCompagne d'infortune, je t'embrasse en toute amitié.
RépondreSupprimerAh ! Charles Pépin, un excellent philosophe. Il a bénéficié d'une heure chaque jour à France Inter tout l'été… ce fut très intéressant, suivant ses invités bien entendu. J'ai pris plaisir à l'écouter çà et là.
RépondreSupprimerBon alors ! Tu ménages le suspense…
c'est quoi ces mots ?
Je me réjouis que tu aies trouvé une psy qui te convienne.
C'est une chance. Mais surtout une bienfaisance
Les effets positifs semblent déjà s'en venir.
Baisers affectueux
Trouver une psy à l'écoute c'est déjà positif.....Mais j'attends la suite. Du courage pour toi !
RépondreSupprimerTu sais quoi ?
RépondreSupprimerTu es la reine du suspense !
Courage , nous comptons sur toi ! (Tu ne vas quand même pas nous obliger à acheter le bouquin pour connaître la suite !)
Je t'embrasse bien affectueusement.
J'étais absente ces jours derniers... mais je te lis régulièrement, et suis triste de lire que ta santé se dégrade. Je te serre tendrement dans mes bras et t'embrasse doucement ♥
RépondreSupprimerJe comprends combien tu dois être réconfortée d'avoir été entendue de ta psy. Trop souvent les autres pensent qu'on en sort par la volonté, mais n'ont pas le mode d'emploi pour réussir.
RépondreSupprimerSi tu le peux, laisse-toi dorloter !