Elle s'embrouille un peu dans les traces qu'elle laisse
Traces de pas, traces de doigts, traces de bonheur miniature, traces de douleurs tout à fait quelconques, méli-mélo désordonné, pêle-mêle un peu raté, panneaux rétrospectifs un peu ridicules qui se perdent dans la maison.
Ombres encrées de bordures noires, fumerolles moribondes
Il est où le chemin?
Elle hésite un peu, reconnaît d'anciens chagrins, distingue des fantômes oubliés
Et son coeur bat la chamade, sous le choc de vieilles peurs qu'elle pensait évanouies
Elle renie son sourire de statue, gravé autrefois sur le visage, à coups répétés de burin.
Il n'y a pas de face à sauver, juste un visage à aimer
je suppose que je n'aurai pas de commentaires...
RépondreSupprimervous avez raison ce texte est obscur, mais clair rien que pour moi ;-)
Eh bien, l'important c'est toi, n'est-ce pas ?
RépondreSupprimerBises !
bien sûr, bien sûr, mais on apprécie un petit commentaire
SupprimerToi, tu es toujours là! Merci!
Avant je rêvais que je volais et que c'était facile, cette nuit j'ai rêvé que je marchais et je trouvais étrange que ce soit si facile ...
RépondreSupprimerAmitiés
ah ça! Nicole!
Supprimerre^ver qu'on marche et trouver cela facile...
merci d'être venue!
Et les nuages dans le ciel lui rapportera peut être le sourire.... Tes textes sont beaux
RépondreSupprimermerci manou!
Supprimer"Il n'y a pas de face à sauver, juste un visage à aimer"
RépondreSupprimerBien vue, cette constatation de l'inanité du ressentiment !
J'aime ce texte finalement moins obscur que tu ne pensais.
merci le gout, merci d'aimer, merci de me le dire!
SupprimerPeut être faut-il commencer à s'aimer soi-même ?
RépondreSupprimeroui, sans doute, Daniel
Supprimermais ce n'est pas si évident!
Mais si, tu as bien des qualités, quand même. Alors mets les plus en valeurs !! et accepte toi telle que tu es. C'est la meilleure des thérapies .
Supprimers'accepter tel que l'on est est sans doute la meilleure des thérapies mais c'est aussi la plus difficile!
SupprimerJ'aime ce texte Coumarine. Pas si obscur que tu ne le penses.
RépondreSupprimerJe t'embrasse.
merci de me dire que tu aimes, chère Suzame
SupprimerChère Coumarine
RépondreSupprimerCe texte est certes obscur, mais je m’imagine écrire un texte obscur : c’est que je n’irais pas très bien. Alors je te pose la question : vas-tu bien, Coumarine ?
Un sourire de statue ( de statut ! Étonnant double sens si on le veut) me fait un peu mal.
Bises
chère Val, tu comprends tout!
SupprimerMes petits bretons sont repartis aujourd'hui, Coumarine, me voilà donc, et moi aussi, je suis là pour te dire que j'aime tes mots, et que je t'aime♥ toi, tout simplement ! Très gros bisous.
RépondreSupprimerChère Coum, je voudrais te dire que cela fait plusieurs fois que je viens lire ce post, je dirais au moins 5 fois car la 1ere, il n'y avait que ton propre commentaire!
RépondreSupprimerEt jusqu'à ce jour, je n'ai pas osé écrire quoi que ce soit... parce que comme tout le monde, je pense, j'ai tendance à faire des projections sur ma propre expérience, et que je sais que parfois des mots qui se veulent bienfaisants peuvent faire l'effet contraire, et que ce n'est la faute de personne.
Néanmoins, et j'ose quand même le dire, c'est dommage de renier un sourire... Peut être as-tu envie de grimacer? Eh bien grimace! C'est un de mes exercices préférés! Je n'aime pas ma tronche, du tout, mais je m'en fiche! Je lui fais des grimaces et ensuite cela me fait rire!
De gros bisous Coum.
PS N'oublie pas de regarder les petits nuages magiques dans le ciel bleu, Coum!
http://coumarine.blogspot.com/2019/02/a-pastelle-hier-jai-bu-la-tasse-cetait.html
Tu as trouvé une illustration magnifique. Ils ont bien trouvé le chemin, eux. Pourtant ce n'est pas simple. Et tu le feras aussi...
RépondreSupprimerOn a tous des cadavres dans les placards, alors on ferme bien les portes.
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