C'est clair, tu m'as rendu de bons et loyaux services: tu fais ce qu'il faut pour sauver mon oeil rescapé...merci!
En même temps tu accumules les effets secondaires nocifs, je vais te dire, tu en fais trop, tu es trop zélée, on ne t'en demandait pas autant!
Alors voilà je sais pas si tu le sais, chère cortisone, mais il y a des choses qui vont pas du tout...
VRAIMENT PAS DU TOUT...
Aussi je vais réintégrer demain matin mon lit de clinique, pour surveiller tous ces paramètres qui disjonctent et inquiètent les médecins.
Je prépare mes affaires, je n'y échapperai pas, et c'est sans doute tant mieux pour moi, je serai "surveillée" de près
Mais, chère cortisone, je trouve qd même que c'est beaucoup tout ça..., que c'est même un peu trop...moi qui parlais de patience...ou vais-je la puiser? Il me faut aller de plus en plus profond...dans le fond du fond, j'ai plus de courage, tu sais!
Tu vois? quand le médecin m'a téléphoné ces nouvelles pas rassurantes, j'ai craqué, j'ai pleuré beaucoup...impression que des coups sur la tête m'enfoncent chaque fois davantage dans l'eau et que bientôt je saurai plus respirer... que bientôt je me noierai, je n'ai même plus de force pour gueuler...
(gueuler, crier, hurler....ça me ferait du bien, mais je n'ai plus de voix... curieux! J'ai super peur qu'on me redonne des doses élevées de cortisone;-((
(gueuler, crier, hurler....ça me ferait du bien, mais je n'ai plus de voix... curieux! J'ai super peur qu'on me redonne des doses élevées de cortisone;-((
Bon, là maintenant, j'essaie tant bien que mal de retourner dans la confiance, celle qui m'aide à supporter tout ça, particulièrement l'inquiétude...
Il m'est venu l'image d'une grossesse...neuf mois à attendre, sans rien faire que laisser les choses venir et se mettre en place, en restant dans la confiance...je n'ai plus rien à faire qu'à me laisser faire...
Facile à écrire, plus difficile à vivre...;-((
Facile à écrire, plus difficile à vivre...;-((
Très concrètement, j'ai besoin de me sentir entourée... j'ai déjà fait appel à mes personnes-ressources... elles sont là, aimantes et attentives, avec moi... merci !
Vous tous, les blogueurs fidèles, j'ai besoin de vous, j'ose le dire, besoin de vos petites et grandes pensées positives (prières si pour vous c'est important!) qui m'aideront à passer le cap une fois de plus. à vivre cette étrange "grossesse", minute après minute....
Je crois très fort à la force d'une communauté aimante...même virtuelle...vous êtes tous et toutes des personnes vivantes
Merci...
Et prenez soin de vous, soin de votre vie...
On est là Coumarine, bien impuissantes, mais on est là et je t'envoie un maximum de bonnes ondes, je penserai très fort à toi demain, obligée d'affronter une fois de plus le monde médical. Donne nous vite des nouvelles. Je t'embrasse.
RépondreSupprimerMa chère Coumarine, je ne t'oublierai pas, je t'enverrai le plus de pensées positives que je pourrai. Ça a marché pour mon petit-fils, pourquoi cela ne marcherait pas pour toi. Tu peux compter sur moi, ma douce. Je t'embrasse très fort. Courage à toi.
RépondreSupprimerLa cortisone est ma compagne depuis bien longtemps également. Une compagne qui sème, hélas, des désordres sur son passage...
RépondreSupprimerJe reprends à nouveau ses médicaments délivrés sur ordonnance sécurisée. Famille des stupéfiants. Des médicaments consignés dans un registre à part à la pharmacie. Je suis une droguée pour faire face aux douleurs.
Courage ! Je suis avec toi. J'ai pensé à toi en lisant Annie Ernaux et ce titre merveilleux "écrire la vie" car c'est ce que tu fais. Décrire le quotidien, les gens, les émotions... Reflet d'une société en perpétuelle mutation. Mais les personnes, elles, à la base ont toujours les mêmes besoins.
Je t'embrasse,
Clara
Nous( moi et tous ceux qui t'aiment) sommes là.
RépondreSupprimerToutes sortes de «prières« quotidiennes pour vous, dans l'admiration des premiers flocons de neige, la contemplation d'une aube rouge, l'écoute de cantates, la lecture de poèmes... Pour vous, chaque jour, un instant de télépathie de soutien, des pensées envoyées avec force jusqu'à votre Nord. Amitiés.
RépondreSupprimerUne compagne ? Nous partageons le pain avec elle. Mais pas le même pain que la cortisone.
RépondreSupprimerAlors, une alliée ? Pas certain. Ou alors comme dans le théâtre de boulevard. Une alliée capable de s'amuser à nous poignarder dans le dos.
Une amie ? Trop amère.
Une copine ? Dans le cas de la cortisone, elle rime trop vite avec épine.
Reste un médoc. Pas un grand cru. Mais à consommer aussi avec modération. Avec des effets partiellement médiocres, médusants, inspirant la méfiance, entraînant des méformes, la cortisone mégère non apprivoisée...
mais si la lutte est incertaine, si les crépuscules ne promettent pas des lendemains qui enchantent, si la médecine est une science vraiment inexacte, il reste à continuer, à rester mélodieux au milieu du plus odieux !
Tu a raison de demander. Ce n'est pas facile de rester dans la confiance lorsque les épisodes difficiles s'accumulent…
RépondreSupprimerDemander est une force en tant que telle.
Tu sais que beaucoup ici te soutiennent.
Quant à moi, tu sais ce que je pense et crois pour toi, pour tes possibles, puisqu'on se l'est dit par ailleurs.
N'oublie pas, Coumarine, c'est toujours la vie qui gagne, toujours.
bonjour coumarine, je me manifeste peu, mais là !!!voilà ma prière je la lance avec force.et j'ai confiance.et pour plus de force je vais te confier à mon groupe de prières.je t'embrasse.naik
RépondreSupprimerMais oui Coumarine, demande, demande, nous sommes là au rendez-vous, et nous serons là encore, et encore; nous voudrions faire plus, mais au moins nous pouvons faire ça. T'accompagner comme tu nous accompagnes ici, sur ton blog, de tes mots sensibles, depuis longtemps...
RépondreSupprimerNous sommes là, nous pensons à toi, même quand nous ne laissons pas de petit mot ici; je suis sûre qu'il en est ainsi pour tous ceux qui ont la chance de connaître Nicole/ Coumarine, dans la "vie réelle" comme sur la toile. Tu es dans nos coeurs, tout simplement.
Tiens bon, ma belle, accroche-toi, quoi qu'il arrive, la vie est forte en toi, chevillée à ton âme bien trempée.
A bientôt te lire, chère Coumarine...
Je ne laisse pas souvent de mots mais là, tu as besoin de tout le monde. Alors je viens mettre mon petit caillou sur le tas devant ta porte te je t' embrasse. Et si tu pleures des fois, c' est bien: ça lave. Je t' embrasse.
RépondreSupprimertoujours là aussi , dans la ronde des aminautes , mes pensées sont là , et ta voix , oui , ta voix , comme je comprends ...
RépondreSupprimerTu seras surveillée , c'est aussi une chance , même si , oui , tu aimerais tant éviter ce retour en clinique
Je sais que ces neufs mois sont longs , la VIE , accroche toi , encore , puise là où elle se trouve cette force dont tu as tant besoin
je t'embrasse fort Coumarine
Eh bien, nous sommes là! (parfois, convoquer les personnes absentes peut aussi beaucoup réconforter. Par exemple, ma grand mère m'entoure souvent de sa présence quand je suis dans la peine ou l'angoisse. Je t'envoie un peu de sa patience d'ange!)
RépondreSupprimerJuste te dire que je suis avec toi et que je te prends dans mes prières . Je t'embrasse très fort et te souhaite de retrouver vite la confiance et l'acceptation qui te caractérisent depuis le début de cette épreuve . J'aime beaucoup la métaphore de la grossesse que tu emploies . Bon courage Coumarine pour cette nouvelle hospitalisation ! Je pense à toi .
RépondreSupprimerC'est vrai Coumarine que j'aime vraiment te lire...mais pas ce genre de message. On est tous là tendus, crevant d'envie que tu ailles mieux, que tu ailles bien. On a envie que tu sortes de ce qu'on souhaite une mauvaise parenthèse pour revenir à fond auprès de nous. Enfant mon père me répétait souvent : "c'est dans les ténèbres qu'il faut croire à la lumière". Je trouve aujourd'hui cette formule si adaptée à ton état. Tu nous demandes de l'aide, de nos pensées, de nos prières. Tu l'avais déjà. Tu en demandes plus. Tu en auras plus. On ira chercher au fond du fond de nos réserves, on cherchera les mots qui te feront rire, qui te feront rêver, qui te feront peut-être un peu oublier, une seconde, une minute, une heure.
RépondreSupprimerTu peux puiser sans vergogne dans le grand réservoir de notre affection.
Une seule demande : si un jour pour une raison quelconque tu n'as plus accès à ce blog, alors fais-nous savoir comment te faire savoir combien tu manques à notre quotidien.
Courage. Je t'embrasse.
Bien sûr que nos pensées sont pour toi, chère Coumarine.
RépondreSupprimerJe t'embrasse.
Bonjour,
RépondreSupprimerces quelques mots pour te dire que je suis un lecteur récent et fidèle,
que je te souhaite énormément de courage pour les épreuves que tu traverses et t'envoie comme je le peux l'énergie qui me traverse là tout de suite.
Comme Jacques, je sais, c'est tout ce que je sais vraiment, qu'il faut croire en la lumière au plus profond des ombres de la vie.
Je t'adresse aussi une pensée affectueuse.
R
Je t(accompagne en pensées Coumarine et t(embrasse !
RépondreSupprimerJe t'envoie une grande provision de sourires pour appaiser ton impatience.
RépondreSupprimerJe t'envoie mille et une pensées positives pour te donner l'énergie de surmonter ce nouvel épisode avec sérénité.
Je t'emmènerai avec moi, quand j'irai me balader autour de notre étang.
Je te porte dans mes prières.
Je t'embrasse de doux bisous plein d'amitié.
Tiens bon !
Chère Coumarine,
RépondreSupprimerje suis là pour toi, avec toutes mes pensées et ma prière. J'ai envie de crier que la vie n'est pas juste, qui te martèle de si douloureuses épreuves.
Mais comme toi, j'expérimente la présence bienfaisante de la communauté des blogs. C'est chaud, surtout quand on a très froid.
Je t'embrasse et souhaite que tu sortes vite de cette clinique.
Ma chère Coum'
RépondreSupprimerJe suis là aussi et je t'envoies toutes me sondes positives pour que ce séjour soit le plus paisible et efficace possible!
Peut-être pourraient-ils trouver une alternative à la cortisone, c'est vrai que c'est un traitement très difficile à supporter avec beaucoup d'effets indésirables... :((
Soit forte, essiae d'ammener avec toi quelques objets rassurants, des photos, quelques bouts de papiers où jeter tes cris silencieux, tes espoirs, ta confiance et les belles choses que tu arrives toujours à voir dans la grisaille!! Un petit journal de bord t'aiderait peut-être dans cette démarche de confiance et de clame..?
En tout cas, je te serre bien fort, t'embrasse encore plus fort et pense à toi! :))
chère Coumarine, nous te lisons avec attention, nous essayons de bien suivre tout ce qui t'arrive, en pensées également, en nous sentant à la fois si proches et très lointains, très impuissants.
RépondreSupprimerSache que chacun de tes témoignages est un exemple, autant pour ceux qui souffrent aussi que pour ceux qui ne souffrent pas (encore).
Bon courage pour la suite!
Je t'embrasse
Courage Coumarine. Comme le dit si justement JEA, la cortisone est un sale médoc qui entraîne des effets secondaires. Je n'ai toujours pas appris à l'apprivoiser. Mais j'ose espérer que les médecins sont là pour justement mesurer tout cela et rétablir la dose nécessaire ou préconiser d'autres médicaments, s'il le faut.
RépondreSupprimerÀ bientôt
Tu as besoin de te sentir entourée alors je sors de mon silence pour me joindre à ceux qui t'expriment régulièrement leur soutien.
RépondreSupprimerJuste envie de te dire que ce n'est pas parce que je ne dis rien que je ne pense pas à ce que tu vis depuis quelques temps...
Je t'embrasse
Je me joins aussi à tous les autres, pense fort à toi et t'embrasse chaleureusement.
RépondreSupprimerA bientôt !
Dans ton jardin, il y a de grands arbres. Ils sont majestueux. Ils sont beaux. Ils sont forts. Et dans le soleil d'un matin de juillet lumineux, j'ai aimé regarder ces arbres qui t'ont donné ta force, ton énergie. Promène toi dans ton jardin, va chercher l'énergie de tes beaux arbres en effleurant leur écorce.et souviens toi que la vie triomphe toujours. Je t'embrasse Coum.♥♥♥
RépondreSupprimerDire que j'avais ébauché hier un petit mot pour me rapprocher de toi, puis j'ai effacé...
RépondreSupprimerJe suis avec toi, très proche, dans l'impression de sentiment plus que dans l'expression.
Je t'accompagne en pensée, s'il le faut, en présence, je te tiendrai la main ... où que j'aille, où que tu sois.
Laisse toi porter tant que faire ce peut, accueille comme une annonciation ces fardeaux qui t'accablent aujourd'hui : si ton chemin passe par là, les anges gardiens veilleront sur toi.
Ce que tu as donné te sera rendu au centuple.
Il te faut seulement croire cela.
T'aider à chercher un sourire derrière la douleur,
RépondreSupprimerMeubler de douceur les éveils de tes peurs,
Je m'y emploie au creux de mes silences…
Des pensées douces et tendres pour te dire que je suis là aussi, en attendant d'autres mots.
RépondreSupprimerUn petit mot amical pour vous madame Coum' dont je lis en ce moment le dernier livre, et que je suis (en silence la plupart du temps) sur le blog.
RépondreSupprimerJ'espère que nous aurons des nouvelles et je pense fort à vous !
SP
Je place rarement un commentaire mais je suis là tous les jours. Vos écrits, vos angoisses, vos découragements, vos descentes, vos remontées me touchent énormément. Tout mon monde, près de moi sont au courant de votre parcours et sont aussi touchés que moi. Je vous envoie toutes les bonnes ondes qu'il soit possible de lancer et je sais qu'elles se rendent par delà l'océan. Le grand médecin guérisseur au dedans de vous vous aide Coumarine et je demande au grand médecin guérisseur au-dedans de moi de se joindre au votre et vous aider dans la guérison. Maty
RépondreSupprimerBonjour Coumarine. Un petit passage ici pour tout simplement aggrandir le cercle de "la force d'une communauté aimante...même virtuelle" en laquelle tu crois...
RépondreSupprimerAvec toute mon amitié,(même virtuelle!)
Les nouvelles alternent le presque bon et le mauvais, le moral joue au yoyo et c'est pénible pour toi ma Coum. Allez tape fort au fond de la piscine et tu vas remonter.
RépondreSupprimerOh oui, Coumarine, plein de pensées pour toi, de tout coeur, parce que c'est ici que doit s'exprimer l'amitié, même (ou surtout ?) virtuelle qui me touche chaque fois que je passe chez toi..
RépondreSupprimerJe t'embrasse et courage... patience...
de tout coeur avec toi !!!
RépondreSupprimerDes pensées pour toi Coumarine !
RépondreSupprimerEt je sors moi aussi de ma réserve du coup... :-)
RépondreSupprimerJe me rappelle de ces coups de ras le bol quand on m'annonçait des traitements supplémentaires, sur le coup, ben "y en a marre" quoi !
Mais je crois de plus en plus que le temps fait son oeuvre, et que si on a confiance... tout se passe au mieux... même si ce n'est pas forcément ce qu'on voulait au départ, ça se révèle bien plus "riche" que ce qu'on pensait.
Je pense à toi souvent, même si je ne me manifeste pas. :-)
Je te souhaite beaucoup de courage et de bien "profiter" des gens qui t'entourent... c'est précieux.
Bise
Bonne fin de semaine et à un de ces jours sur un blog ! Pascal.
RépondreSupprimerA l'heure où je te lis, tu y es à la clinique à négocier avec Cortisone, ton corps, ton âme si pleine de vie, les médecins qui prennent soin de toi.
RépondreSupprimerNous sommes tous là, les copinautes, tes amis-virtuels-blogueurs, tous. Nous t'envoyons le meilleur Coumarine, sois en certaine.
là aussi.
RépondreSupprimercomme le monde serait plus facile si chacun savait demander...
alors oui demande nous de nous manifester à chaque fois que tu en auras besoin.
je t'embrasse fort Coum et espère que la médecine avec son grand savoir (il ne faut pas l'oublier ça que nous avons la chance depouvoir être soigné) t'apportera le réconfort dont tu as besoin...
Je pense fort à toi, Coumarine, je serai absente pendant trois jours mais à mon retour ma première visite sera pour ton blog, en attendant mes pensées t'accompagnent.
RépondreSupprimerJe ne te connais pas Coumarine, mais j'ai envie de te donner ma main pour que tu puisses la serrer et y puiser de la force, ou sinon crier, simplement, sans honte, car nous ne nous connaissons pas.
RépondreSupprimerJ'ai eu peur ces derniers jours que mon dos me lâche de nouveau (sciatique, hernies...) et suis soulagée depuis ce matin de voir s'estomper ces signaux d'alertes que mon corps m'envoyait, je hais ces moments où je dois négocier avec moi même, lorsque même me faire un simple shampoing est comptabilisé alors dans la rubrique
"luxe à éviter". Je trépigne et tremble alors.
J'espère simplement et très sincèrement que pour toi aussi les nuages noirs s'éloigneront ou tout au moins seront moins méchants que prévus. Je crois vraiment à la communion des âmes, unis dans la prière et les pensées positives, puissons nous avoir assez de force, tous pour toi.
L'ordinateur a planté ce matin quand j'allais te dire que je pensais à toi. Je reviens pour te le dire.
RépondreSupprimerMoi aussi je sors de ma réserve pour la circonstance. Si toutes nos pensées peuvent faire un cercle protecteur autour de toi...
RépondreSupprimerSi tu peux croire que tant de voeux pour ton mieux-être peuvent t'aider...
Alors je te promets un temps de méditation consacré à être en communion avec toi.
Ca passera de toutes façons, sois-en sûre. Mais quand ? Tous mes souhaits pour que ce soit le plus tôt possible.
Bouboulle
J'en suis de ta communauté, Coumarine. Je pense à toi, mes pensées positives t'accompagnent.
RépondreSupprimerChère Coum , je me sens concerné par ton message et je veux te dire combien tu m'est chère, pas ta présence, ta manière de dire les choses sans tourner autour du pot même si tu en manques singulièrement en ce moment.
RépondreSupprimerje forme le voeux que tu arrives à te soigner dans des conditions acceptables même si ça dois prendre encore pas mal de temps.
je t'embrasse très fort
Bonsoir Coumarine , j'ai moi aussi connu le parcours cortisone pendant 4 années douloureuses mais aujourd'hui tout est rentré dans l'ordre et je veux vous dire que l'espoir existe même quand on se sent au plus mal . Je vous transmet autant d'ondes positives que vous pouvez en recevoir .Et je veux vous dire que vous avez raison de croire en la force d'une communauté aimante sur cette blogosphère .Elle existe et son pouvoir est fort il suffit de se ballader à travers les blogs et de découvrir les messages de joie et d'espoir qui y sont semé chaque jour . Plein de courage pour vous !! Bisous Mimi
RépondreSupprimerChère Coumarine, chaque parole écrite ici est une prière pour toi, pour que tu sois soutenue par tous ceux que tu as porté jusqu'ici à l'aide de tes paroles aimantes et compréhensives et humaines. Nous sommes tous autour de toi, Coum, sois-en sûre.
RépondreSupprimerJe t'embrasse bien fort
Chère Coumarine, j'ai lu tous les messages précédents. Je m'aperçois que je connais le nom de beaucoup de ceux qui sont venus aujourd'hui, t'entourer.
RépondreSupprimerJe suis persuadée que ces liens sont une extraordinaire source de bienfaits (de ce qui fait du bien). Je me sens veilleur, tant que ce sera nécessaire, je sais que je ne m'endormirai pas. Sois tranquille.
Oh Coumarine...Je crie, j'hurle pour toi... Ne doutes pas de nos pensées pour toi, à chaque moment...Nous sommes là, chacun à sa façon... Je t'envoie mille pensées et baisers...
RépondreSupprimerCourage, Coumarine, je suis aussi en pensée avec toi, comme bien d'autres. Parfois les médecins semblent pessimistes dans leur discours, (ou veulent faire prendre conscience au patient que le diagnostic est plus réservé que pessimiste), mais parfois, cela se passe aussi mieux qu'on ne le craignait... Je suis sûre que tu fais tout ce qu'il faut faire... Bises !
RépondreSupprimerCourmarine
RépondreSupprimerc'est mon premeir mot sur ton blog et la première fois que je le lis et biensûr je ne peux que ré^pondre là pour t'envoyer mes pensées, des pensées pour que tu puisse trouver du courage et de la force en toi
chaleureusment Beate
Bien sûr que je penserai à toi,bien sûr que je t'enverrai le plus de pensées positives possible... je ne te connais qu'à travers le miroir des blogs mais, même simple amie du Web, je suis là avec tous les autres... courage et à tout bientôt!!!
RépondreSupprimerBon courage, chère Coumarine.
RépondreSupprimerJe te souhaite un séjour en clinique qui t'aide à te soigner plus efficacement et te rassure aussi. On enrage quand on ne comprend pas ce qui se passe dans son corps et qu'on n'a pas de prise sur les événements.
Si tu repères un médecin en chef au noeud papillon, ce sera peut-être le bon ? (Allez, un petit sourire.) D'amicales pensées t'accompagnent.
Moi aussi Coumarine je crois à cette communauté de pensée, d'amour, de prière avec ou sans les mots, et je me joins très volontiers à toutes ces petites veilleuses allumées à ton intention, qui viennent soutenir ta lumière intérieure et j'espère aussi de tout coeur, extérieure.
RépondreSupprimervoilà mon com est encore parti je ne sais où
RépondreSupprimercourage, courage virtuellement mais pas seulement ;
ma pensée va très souvent vers toi, tu le sais, tu le ressens j'en suis certaine.
Je ne sais plus prier, mais c'est quand même une prière intérieur que je fais pour que tu retrouves la forme et surtout que tu ne perdes pas la vue de l' oeil qui te reste.
je t'embrasse bien affectueusement.garde confiance, la médecine est grande !
Mes pensées s'envolent vers toi, ma chère Nicole. Puissent-elles t'aider, te soutenir.
RépondreSupprimerOBS
.... je t'envoie mes plus douces pensées.. que dire ? de si loin, sans te connaître... je pense à toi et je pense aussi à ta foi dans la vie et dans les mots... tu auras le dernier contre cette cortisone qui te torture ! crois moi !
RépondreSupprimerTu disais dans le précédent billet que les médecins de famille ne se déplaçaient plus,,mon mari est médecin, il a travaillé pendant plus de 30 ans, s'est levé la nuit, il fait toujours des remplacements, des gardes, mais c'est à la campagne..Et comme toi, je crois oui, en, la force de la communauté::: je forme des voeux pour toi!!!
RépondreSupprimerJe me joins à tous tes autres amis de la blogosphère pour te faire de gros bisous et te souhaiter bon courage. Reviens-nous vite avec de bonnes nouvelles.
RépondreSupprimerUn petit passage chez toi pour t'envoyer de douces pensées et plein d'amitié !
RépondreSupprimerJe t'embrasse chaleureusement.
Là aussi bien sûr. Présente dans cette grande chaine d'amitié. Ce soir c'est la fête des Lumières et je pense très fort à toi.
RépondreSupprimerTouchée au coeur par ton appel, je joins ma voix aux précédentes pour te dire et te redire mon soutien.
RépondreSupprimerToutes mes pensées vont vers toi, courage, Coumarine!
Je te lis et pense fort à toi. Que toutes les pensées et prières vues ici te portent, t'aident à passer ces temps difficiles.
RépondreSupprimerPas une journée sans avoir eu une pensée pour toi, Coumarine, même si...
RépondreSupprimerPrès de toi. De tout coeur.
Je te donne des sourires et une ciel bleu-gris qui couve Paris un samedi. Ton courage, tes épreuves relativisent d'autres chagrins. Merci.
RépondreSupprimerFrouche
je n'avais pas lu ton billet, et pourtant je pense souvent à toi, vraiment souvent.
RépondreSupprimerDis Coumie, j'arrive tard, mais j'arrive quand même pour te donner un peu de plumes pour voler encore. La chaleur humaine oui, je le dis tout le temps, il n'y a rien de mieux, ça vaut tous les manteaux d'affreuses fourrures du monde! Bon tout ça pour te dire que je suis bien désolée de tout ce qui t'arrive. Madame Cortisone, oui, ma fille déteste aussi, la dernière fois à doses massives pour sauver ses boyaux et elle a gonflé comme une baudruche. Elle en a pleuré longtemps. Et les os n'aiment pas beaucoup la dame non plus, mais que faire? Les soignants le disent avec un peu d'impuissance, il faut prendre en compte le rapport bénéfice/risque, et tant que le bénéfice l'emporte sur les effets secondaires...
RépondreSupprimerCeci dit je t'envoie toutes mes plus douces pensées et accroche-toi, je crois que tu as de la ressource même si tu fatigues ce qui est tout à fait humain.
Bises
Chris