Impossible d'écrire encore un mot... impossible!
gorge nouée, plume emprisonnée, je tousse, je crache, je cornichonne
dix fois que j'ai commencé à écrire, dix fois que j'ai effacé, un mois que ça dure (si pas plus)
je suis en train de me perdre je ne sais plus quoi écrire qui me corresponde et qui serait lisible par les gens, je ne me donne plus le droit à l'écriture ici ou ailleurs. On dirait que je suis punie ou alors que je me punis moi-même de je ne sais quel crime. Je suis une grande coupable c'est sûr
Ecrire pour renouer avec le plus profond de moi, ce qui en moi vibre aux mots et aux sentiments qu'ils contiennent... au secours je sais plus le chemin, j'ai égaré la recette. Mon ventre se creuse de faim, de soif, ça me fait mal d'être en panne d'écriture, je deviens quoi sans les mots?
Quand j'écris d'habitude, je me sens fiévreuse, une fièvre qui ressemble à une montée vers l'orgasme, je me trouve quasi en dehors de moi, ou alors tellement en moi que je peux contacter ce lieu de force intense et un peu effrayante. J'adore. Une petite mort, une plongée dans le néant ou dans l'infini, j'abandonne tout contrôle, je coule dans les eaux inouïes de mon moi animal
Fabuleux. Pas besoin de drogue pour y arriver, juste me mettre à taper les mots
Or j'ai perdu le lien, perdu le sens, perdu la voie, perdu MOI.
Bon, ça fait quatre minutes que je suis sur cette page et je vois déjà la fin du chemin, lasse, fatiguée, je vais clôturer en hâte, plus rien à dire, sinon des mots qui tournent comme des petits playmobils que je manipulerais sans conviction
Impossible même d'écrire une quelconque petite histoire qui me sauverait de la page blanche. Tout me semble vain... d'ailleurs aucune idée intéressante ne pointe son bout du nez, d'ailleurs les gens ne viennent pas sur les blogs pour lire des histoires, ils ont les livres pour ça.
Donc voilà!
C'est rigolo!
J'ai commencé à taper sur mon clavier avec rage que plus rien ne venait, que j''étais desséchée comme une vieille pomme et petit à petit les mots se sont mis à s'inscrire, comme malgré eux (moi) sur l'écran
Evidemment c'est un peu un billet pour rien: écrire qu'on est incapable d'écrire, et écrire quand même un billet pour dire ça... ;-))
Moi, je ne vois pas en quoi ton billet serait moins intéressant que d'autres.
RépondreSupprimerJe suis assez de ton avis : suffit de s'y mettre et ça vient tout seul et, même, ça ravit tes lecteurs !
Alors...
Je n'ai pas tout lu encore de ce livre "Ecritures de l'intime". Mais bien sûr j'ai commencé par toi. Et j'ai bien compris le piège. Dire, ne pas dire, quoi dire... Sachant que tels ou tels yeux te regardent. Des yeux et des regards, pas forcément neutres. Je n'ai pas de réponse. Mais je suis sûre que tu trouveras la tienne.
RépondreSupprimerEt nous attendrons.
Ecrire le mal d'écrire, c'est toujours écrire!
RépondreSupprimerEt puis quand on n'a que ce moyen-là pour se dénouer de l'intérieur...
Ecris, Coumarine, écris tout, écris fou, écris-nous!!!
Bonjour Coumarine, désolé de t'avoir appelé Ariaga dans un précédent Com ! regrettable méprise !
RépondreSupprimerComme je me retrouve dans cette description, on peut se sentir sec ou creux , il y a une nappe phréatique à reconstituer, un forage à approfondir pour trouver la veine, l'aven et exprimer enfin ce qui vient du fond, oui mais voilà ce n'est pas toujours possible.
Et cet état dont tu parles entre transe et plaisir intense, communion avec soi qui fait qu'on colle au texte et qu'on se fond dedans.
Alors ce non écrire reste symptomatique du fait qu'il ne suffit pas de se mettre devant son écran, qu'il faut se forcer dans ses retranchements et que parfois toutes les conditions ne sont pas réunies, et que ça vient ou que ça ne vient pas!
Cet état d'impuissance où l'on sent le tarissement de nos fleuves intimes vient alors que j'écoute "les sons du fleuve Sénégal" d'un précédent festival Rio Loco toulousain !
Ce matin j'ai aussi longuement arrosé mon jardin et surtout mes jeunes arbres en espérant calmer leur soif avant des journées de grande chaleur, quelle coïncidence !
Curieusement, la sécheresse semble t'abreuver... J'ai feuilleté le livre mais me réserve la lecture intégrale pour les vacances. Je m'en réjouis. Merci encore.
RépondreSupprimerJe me reconnais dans cet état "de fièvre" qui s'empare de moi parfois. Je crois qu'il est bon parfois de se laisser en friche pour laisser reposer puis refleurir les mots ;)
RépondreSupprimerMoi va bientôt
Des pensées réapparaitre, j'en suis sûre ;)
@Walrus... je crois que tu as été un des seuls très dernièrement à lire un billet que j'ai immédiatement enlevé...;-)
RépondreSupprimerDonc tu sais que ça me poursuit pour le moment...
@Pastelle... je crois que tu m'as bien comprise, d'autant mieux si tu as lu le chapitre de mon livre où je parle de cela ;-))
@fabeli... écrire pour moi est un moyen sûr pour dénouer les noeuds dans la gorge. Je crois que toi aussi tu comprends cela...
@Thierry, j'avais bien compris cette petite confusion qui est d'ailleurs tout à mon honneur;-))
En fait oui, je sais que pour moi en tout cas, il faut se forcer, pour ne pas rester des jours et des jours complètement "stérile", se décourageant de plus en plus...
Ici aussi il a a fait beau et chaud et ça va continuer...;-))
@Delphine... ce matin complètement desséchée et complètement découragée. Au moins maintenant, je sais que des mots peuvent encore venir
Bonne lecture de ce livre que en général, on apprécie beaucoup,mais dont la lecture est un peu ardue
@Cloudy... j'aime tenter de décrire cet état de fièvre qui s'empare de moi quand je me mets à écrire... ça ne m'étonne pas que tu t'y retrouves...;-))
RépondreSupprimerTu connais cette histoire? Antonin Artaud était chez des amis. En crise, en "vide" il dit à table qu'il craignait ne plus savoir écrire. A cette même table, il y avait un petit garçon, qui apprenait à écrire à l'école. Rempli de compassion, il lui dit: si tu veux, je peux t'apprendre. Antonin s'est piqué au jeu. L'enfant lui a montré comment faire des lignes de bâtons, il (Artaud) en a rempli des pages et l'écriture est revenue. Parfois, on croit qu'on est tout sec, on reprend le geste, et quelque chose vient, de neuf, (c'est ce qui se passe pour moi avec le dessin, une longue histoire d'un arrêt douloureux racontée sous la rubrique "voyage au Yémen colonne de droite de mon blog, qui renvoie à l'ancien blog). Coumarine, écris, écris, nous sommes là pour te lire. Même des phrases en écriture automatique, et tu vois, ton billet qui raconte cette panne est fichtrement intéressant. Donc... y'à plus qu'à...
RépondreSupprimerTu dis : "les gens ne viennent pas sur les blogs pour lire des histoires, ils ont les livres pour ça." Et je me demande pourquoi...
RépondreSupprimergballand
Moi aussi je ressens ça en ce moment... :)
RépondreSupprimer@Julia... on est deux alors;-))
RépondreSupprimer@gballand...ouais bon, j'ai écrit ça comme ça me venait...
mais ce blog se voulait d'abord et avant tout une sorte de journal intime, un journal de bord.
Pas un endroit dans lequel j'écrirai des histoires
J'en ai écrit et elles sont publiées... faut lire Les dessous de table;-))
@Terre indienne... suis très touchée par ton commentaire... oui réapprendre comme un enfant
J'ai lu une bonne partie de ton ancien blog...ton voyage...et la chute d'ICARE
(ce que tu racontes sur la page d'accueil, c'est cela que je vis...je n'en dis pas plus...)
Coucou Coumarine,
RépondreSupprimerTous les écrivains, peintres, artistes connaissent ces passages à vide.
Ce phénomène se produit également sur nos blogs ordinaires. Il ne faut pas insister, attendre simplement que le déclic se fasse, que les idées reviennent, que l'envie soit à nouveau pressante.
Ton billet nous parle, c'est l'essentiel.
Je n'ai hélas pas assez de temps à te consacrer, mais mes quelques passages chez toi ouvrent sur un autre horizon.
Bonne semaine
Amitié de Lyon
Plume
Je cornichonne, expression que j'ignorais.
RépondreSupprimer@Plume... bien sûr que je raconte là un phénomène connu des artistes en général. D'ailleurs ce n'est pas la première fois que j'en parle ici sur le blog.Cela m'arrive une fois tous les 6 mois, càd beaucoup finalement...
RépondreSupprimerBonne semaine à toi aussi
@mab... ah bon? tu connaissais pas? ;-)))
Salut Coum, sans avoir la puissance de ton talent qui écrit même en "non-écrit", je crois percevoir un peu ce que tu nous partages. De mon côté, je suis resté tari pendant dix mois et mon blog est resté tout ce temps aussi silencieux que mon manque d'écriture était douloureux. Et même si j'ai quelques fois pris plume, je ne ressentais que du vide en me relisant. Pire, du "fabriqué", du non-authentique... et je ne publiais pas. Mais je sais qu'il faut se "forcer un peu", se remettre à table et "tout dire", tout écrire, du moi profond comme du cosmétique, du ressenti naturel comme de l'humeur de convenance. Et peu à peu, la vibration intérieure revient et le plaisir est à nouveau là. Je te souhaite tout le plaisir d'écrire qui te met en transe, en contact avec toi-même ... et par la même occasion qui nous donne le plaisir de te lire!
RépondreSupprimerA ce sujet un livre très intéressant : "La femme de l'analyste" de Bruno Tessarech. Ce livre raconte l'analyse qu'entreprend un écrivain en panne d'écriture .
RépondreSupprimerJe cornichonne ! J'adore l'expression !
RépondreSupprimerJe sens que je vais l'utiliser souvent, car moi aussi je cornichonne beaucoup en ce moment, ne réussissant pas à me mettre à un travail urgent.
Mais dit comme ça, "je cornichonne", ça met tout de suite un petit coup de gaîté au coeur !
Allez, tu ne cornichonnes pas tant que ça puisque tu as trouvé moyen de l'écrire si plaisamment !
@ileana...j'aime bien créer des "néologismes" au gré de mes envies littéraires...c'est comme un jeu pour moi
RépondreSupprimer@Charlotte... merci pour cette référence, j'essaierai d'emprunter ce livre à la bib
@fc...tes commentaires me font chaque fois un bien fou, tellement tu as l'air de lire en moi
Tu parles de ta propre panne d'écriture et on dirait que tu exprimes ce que je vis: ce sentiment de non authenticité qui me fait effacer mes billets au fur et à mesure...
Oui je sais que j''ai à me forcer un peu pour le moment en sachant (mais c'est un acte de foi) que la vibration intérieure reviendra
(toi, ne reste pas trop longtemps sans écrire...)
Je cherche des écrivains/écrivaines qui viendraient passer une semaine de vacances en échange d'un atelier d'écriture pour la semaine du 16 au 23 juillet et/ou pour celle du 20 au 27 août à l'Espace du Possible (http://www.jardiner-ses-possibles.org/)...je t'envoie un mail si ça t'intéresse
RépondreSupprimerc'est bien de créer des néologismes , tiens celà je le reprendrais le jour où moi aussi je me mettrait à "cornichotter "
RépondreSupprimerCe que tu décris , je le comprends , tout comme l'état de lequel je me trouve en ce moment , comme si le clavier , ou la plume exerçaient une forte attraction , presque comme des aimants , on a beau penser qu'on s'éloigne des mots , ou que ceux çi refusent de sortir , tu arrives à cracher un petit texte qui résume très bien ton ressenti
Il faut accepter ces changements de rythme , même si ils nous agacent , et revenir , se coller les doigts aux touches , laisser filer les mots , et tout revient en force
j'aime toujours te lire Coumarine , je t'offre un peu de mon énergie restante ;)
Je ne trouve pas que ton billet soit inutile. Il me fait du bien, non pas que je me réjouisse de tes difficultés à écrire, loin de là, mais il me rassure un peu sur mes propres passages à vide. Quand je remplis l'espace pour le remplir, sans avoir rien d’essentiel à écrire, soit que je veuille garder pour moi et qu'il me soit impossible de partager, soit que l’essentiel soit indéfinissable et confus sous le fatras du quotidien.
RépondreSupprimerAlors merci pour ce billet.
@marie-madeleine...ça m'aurait bien plu! j'ai vu l'endroit très riche...
RépondreSupprimermais je ne suis libre à aucune des deux périodes ;-((
@Jeanne...oui j'imagine que tu comprends très bien ce dont je parle...
moi aussi j'aime te lire (même si pour le moment je mets moins de commentaire...
@Berthoise...oui en effet, beaucoup peuvent se reconnaître, ils me le disent..quelque part ça fait du bien;-)
Ce que tu écris bien, quand tu écris pour ne rien dire!
RépondreSupprimerJe ressens la même fièvre, et moi, j'enragerais plutôt de n'avoir pas le temps de m'épancher davantage...
Quant à l'intime, dire ou ne pas dire, je réfléchis beaucoup dessus en ce moment. Se livrer n'est jamais anodin, mais finalement, est-ce que chaque acte, chaque parole, chaque geste ne révèle pas aussi notre intime de façon tout autant impudique qu'un écrit avec des mots choisis?
Bonjour, je ne sais plus du tout, si un jour, j'ai laissé un commentaire ici; pourtant j'ai peu à peu remonté votre blog, les débuts, lus, essayé de réfléchir en essayant de ne pas aller trop vite, car on fait tout trop vite, même quand on vit loin de tout.....En tout cas, c'est passionnant; prof de Lettres, mon rêve est d'ouvrir un atelier créatif; je ne peux pas, je suis pour le moment toujours sur les routes, et j'ignore qui peut être intéressée par ça dans ce milieu rural..........En tout cas, votre expérience me "parle";je voulais vous dire que j'avais aimé l'article sur le temps (du temps, je veux du temps) non que ce soit très original,mais parce que nous vivons tous ça quand on a un blog et que c'est chrnonophage, que si on poursuit, ce'est pour le srencontres bien sûr, le partage, j'ai aussi beaucoup aimé (entre autres) l'article sur où vont les mots; mon papa était très littéraire, lisait beaucoup, et au seuil de sa disparition, jeme posais la question?Où va tout ce savoir, toute cette culture, tout ce plaisir pris dans les livres? tout cela disparaît-il? Non, car il me l'a transmis à moi et mes frères et soeur, non car cela a fait l'homme qu'il était,............Merci!
RépondreSupprimerCette souffrance que rien ne console et cette impression que cela durera toujours, vous la dites si bien... Heureusement que ce toujours-là n'est pas un vrai "toujours"...Ils reviendront danser pour vous. Les mots:)
RépondreSupprimerAffectueusement,
Béa
Sourire...
RépondreSupprimerTu l'as bien noircie ta page au final :-)))
Comme quoi...
Eh bien Coumarine, tu ne peux savoir comme ton "je cornichonne" m'a aidée ! Ma page blanche à moi, c'était un travail rébarbatif sur lequel je renâcle depuis des jours et qui doit être terminé ce soir.
RépondreSupprimerJe n'arrivais pas m'y mettre, et quand je m'y mettais mon attention était happée par mille riens autres que le travail. Rien à faire, je n'avançais pas.
Et puis ce mot, "je cornichonne"... bizarrement il a suffi à détendre la situation. J'ai pas mal cornichonné depuis hier, mais à chaque fois venaient un sourire et une petite pensée pour toi... ce qui a suffi la plupart du temps pour me redonner un peu de coeur à l'ouvrage.
Merci !
C'est peut être la saison qui veut ça...En tout cas continue à écrire pour rien moi j'aime....Bises
RépondreSupprimer@manou...finalement ce billet pour ne rien dire, je l'aime bien aussi!!!;-))
RépondreSupprimer@ileana...j'adore ton commentaire... et que mon néologisme (hum hum) t'ait servi today pour venir à bout d'un travail rébarbatif...
Allez on va ensemble "cornichonner", ça va être génial et très joyeux!
@Li... tu vois? avec rien on fait du tout... héhé
@Béa... j'aime trop lesmots pour les laisser souffrir tout seuls, sans moi, nan mais!!
@Anne...je suis frappée par ton commentaire sur mon billet "où vont les mots"
RépondreSupprimerParce que tu lui approtes une dimension supplémentaire: où vont les mots de ceux qui sont définitivement partis, tout leur savoir...?
J'ai aimé lire que ce n'est pas perdu si qqun après eux prend la relève
Merci de remonter mes archives... j'ai 7 ans de blog en octobre, il y a donc du pain sur la planche (sourire)
@Célestine...chaque acte nous révèle, ça c''est sûr, mais quand les choses sont DITES ECRITES, c'est encore différent, non?
Merci pour ta présence ici fidèle et attentive
j'aime bien comme tu décris l'écriture comme une transe... je me sens complètement desséchée moi aussi. c'est peut-être la saison qui veut ça... plus d'envie, plus d'idée ? j'ai plutôt l'impression de me laisser vivre, tout simplement. Je n'écris presque plus de commentaires non plus sur les blogs amis... c'est la dech' :) je laisse faire le temps... bisous.
RépondreSupprimerL'important, Coumarine, et tu ne me diras pas le contraire, est de laisser les mots sortir comme ils le désirent, ne pas vouloir les contrôler, ne pas vouloir à tout prix les aligner bien comme il faut, il faut les laisser libres de se poser à leur guise, ne pas réfléchir, écrire, poser les mots sans se soucier s'ils sont bien posés ou non, s'ils vont intéresser ou non, l'important est de les laisser sortir, ne pas les museler, ne pas les censurer. Oui, je sais, parfois, on est tout de même obligé, mais bon, les laisser sortir un petit peu, tout de même, un tout petit peu de leur réserve...
RépondreSupprimerD'ailleurs, tu vois, mon commentaire... j'ai laissé sortir les mots vraiment comme ils venaient... et c'est bien un peu brouillon, mais tant pis !... (sourire)
Douce nuit à toi, Coumarine. Je t'embrasse fort.
Peut-être n'as-tu rien à dire? Ou ne sait pas encore comment dire ces choses? Il y aun moment pour tout. Faire grossir l'éponge, et puis un jour, la presser pour en faire sortir le jus...
RépondreSupprimerJ'aurais dû être plus précise. Je parlais juste de la danse des mots au sein de cette "fièvre" que vous décrivez si bien. Cette fièvre que vous attendez. Pas des mots en eux-même car il est clair que le lien entre vous et eux est éternel.
RépondreSupprimerExcusez-moi de ne pas avoir été plus claire.
Affectueusement,
Béa
Bonjour, Coumarine.
RépondreSupprimerEt bien oui, même quand on a le sentiment qu'on n'arrive plus à écrire, tu vois que pour nous le dire, ils sont là, ils répondent "présent". Que serions nous sans les mots, pour porter la parole, n'est ce pas... Et ne t'inquiete pas... tu as tellement ça dans le sang que ça ne peut être que passager.
@Françoise... oui j'ai ça "dans le sang" comme tu le dis ;-))
RépondreSupprimer@Béa...pas de problème, je pense que vous avez été très claire ;-))
@Damien... peut-être, qui sait, n'ai-je plus rien à dire, qui sait... aie aie aie, mais comment je fais alors???
@Françoise... laisser sortir les mots comme ils viennent, comme tu l'as fait ds ton com...comme je l'ai fait dans mon billet;-))
j'espère que tout va bien pour toi...
@k.sonade...flute, moi non plus je n'écris quasi plus de petits mots sur le blog des zamis...
j'aimerais pas vous perdre
Dis donc...et tu écris quand toi???