Je me souviens du regard interminable, le regard de toute une nuit, que j'ai posé comme une caresse sur mon enfant première-née.
Je me souviens de ce mail que j'ai osé envoyer, le premier d'une longue série, comme une histoire d'amour par delà la frontière.
Je me souviens de l'ardeur de mon écoute lors du dernier atelier que j'ai animé.
Je me souviens de 2+2=4 et de la grande patience de ma voix et de mon courage pour le répéter sans cesse, mille fois qu'il le fallait.
Je me souviens des grandes casseroles de soupe épaisse, des kilos de légumes épluchés et de l'odeur oh! l'odeur qui, partant de la cuisine, venait chatouiller la maison tout entière.
Je me souviens de l'accord des participes passés, particulièrement ceux employés avec avoir, inlassablement expliqué, encore et encore.
Je me souviens des nuits entières sans sommeil, des nuits sans lune, et des petits matins blêmes et hagards...
Je me souviens des soirées à la piscine et des longueurs sans fin, sans nombre.
Je me souviens de la main que je tenais, décharnée et exsangue sur ce lit blanc qui sentait la vieillesse et la maladie. Puis la mort.
Je me souviens de Mozart et de sa musique guérissante
Je me souviens de l'échelle accrochée dans le vide pour atteindre la lune, afin de rejoindre le petit prince
Je me souviens de trois pas en avant, de deux pas en arrière et puis d'avoir tout recommencé
Je me souviens d'un fil de funambule obstinément tendu entre les canopées de hauts arbres.
Je me souviens des histoires racontées inlassablement à des petites oreilles serrées contre mon amour de mère.
Je me souviens de la toute première fois où j'ai cru que ce miracle était possible: aimer sans condition
Je me souviens aussi de la route des mille doutes, c'est si difficile d'aimer
Je me souviens des monceaux de crêpes préparées dans la chaleur de la cuisine, dévorées par une petite troupe affamée, en moins de temps qu'il ne faut pour le dire
Je me souviens de l'infinie persévérance qu'il faut pour vivre, pour croire envers et contre tout que la vie est le cadeau le plus merveilleux
Malgré ses nuages et ses tempêtes... ses plumes et ses cailloux
cette photo magnifique, je l'emprunte à Praline... merci à elle!
Je me souviens du cliché noir et blanc d'une belle dame énigmatique qui, pour la première fois, m'a fait t'écrire.
RépondreSupprimerEcrire ces souvenirs , si simples , si touchants , cruels parfois
RépondreSupprimermais ne plus se souvenir , quoi de plus tragique
il me semble avoir fait cet exercice
Merci de nous inviter à transcrire nos souvenirs , j'aime tellement cette idée Coumarine
Croire que la vie est un cadeau, oui, ça demande bien de la force et du courage
RépondreSupprimerUne brassée de souvenirs bien émouvante ..
RépondreSupprimerÇa donne envie de s'y mettre aussi au "je me souviens..."
RépondreSupprimer@Walrus...merci pour ton commentaire, il me touche. Mon "enfant" nous a donc fait nous "rencontrer"...
RépondreSupprimer@Jeanne... brasser les souvenirs les tendres comme les plus difficiles, tu fais ça beaucoup... pas comme un exercice d'ailleurs, plutôt comme un surplus de vie... c'est moi qui te dit merci!
@Sandrine... oui, il y a des moment où recevoir la vie comme un cadeau est un exploit...
@Aifelle...merci à toi
@Hermione... et pourquoi pas, ça pourrait démarrer comme un tag, surtout en cette période de bilan d'année...
Je me souviens de tous mes ateliers chez toi, de la chaleur, de la richesse de cet apprentissage, de nos rires !
RépondreSupprimerBonne année à toi, chère Coum' !
Je me souviens d'une époque où je ne t'avais pas encore rencontrée, toi et ta plume si délicate...Je me souviens m'être dit que ce nom si caressant, Coumarine...ne pouvait que cacher une âme forte et douce à la fois...
RépondreSupprimerJe me souviens m'être dit que j'aimerais devenir ton amie.
Il est beau ce texte… (Comme souvent, je devrais ajouter…)
RépondreSupprimerIl parle de ta sensibilité, des hauts et des bas, de la surface et de la profondeur, il dit « toi ».
Il dit aussi « chacun de nous ».
J'aime beaucoup cette manière de reprendre le fil des jours et des souvenirs, particulièrement lorsque l'année touche à sa fin.
À travers ton texte, j'ai le sentiment que tu rejoins quelque chose de l'humanité, telle qu'elle est dans le quotidien des hommes qui marchent, espérons-le, vers un peu plus de lumière…
@Amanda... merci à toi: c'est souvent toi qui apportait la bonne humeur;-))
RépondreSupprimer@Célestine...je me souviens avoir écrit mon livre sur les blogs, en disant que des gens fantastiques se trouvent de l'autre côté de l'écran, qui n'a rien de virtuel...
Je me souviens m'être dit aussi que j'aimerais être ton amie
@Alain...ce texte parle à le fois de moi dans ses détails concrets et de chacun de ceux qui viennent ici me lire... en effet
c''est en tout cas ce que vous tous, m'avez dit souvent...
Je crois et j'espère, comme toi que les hommes marchent vers plus de lumière, la recherchent en tous cas avec courage
Il y en a ici plus d'un, plus d'une
Je me souviens de ces quelques mots échangés un jour d'été le long de "notre" étang.
RépondreSupprimerJe me souviens...
Eh oui, la vie est belle, même si parfois il y a des cailloux un peu lourds.
Ouiiiiiii naline... je me souviens aussi!!!
RépondreSupprimerje me souviens aussi...
RépondreSupprimerj'ai aussi beaucoup de nostalgie...
j'ai aussi beaucoup de mal à écrire ce soir, alors,
je te dirai tout simplement merci, merci pour tout ce que tu écris et tout ce que tu nous apportes ; comme l' a dit si bien un autre de tes lecteurs " tu n'es pas virtuelle, tu es devenue une amie " une amie que j'aime retrouver et lire.
A propos de lire, j'ai terminé les "dessous de table", je t'en parlerai plus tard. deux mots ici ne suffiraient pas ; sache que je l'ai vraiment aimé ; il y a tellement de facettes à tous tes personnages et il est tellement riche en sentiments.
Amicalement
Moi aussi je me souviens de l'infinie persévérance qu'il faut pour continuer la vie et croire en elle
RépondreSupprimerNotre devise,ici, au Québec est "Je me souviens" Votre texte me fait aimer cette devise, je ne m'étais jamais arrêté à ces 3 mots. Mais ils disent beaucoup en fait. Ils disent notre histoire en tant que peuple.
RépondreSupprimerMais plus profondément, en nous, les souvenirs racontent notre histoire intime. Tous ces souvenirs sont précieux. On les aime, on les aime moins, on essaie parfois de les revivre, souvent sans succès, mais ils sont bien vivants en nous, ils sont notre couleur.
J'aime vos textes mais celui-ci particulièrement. Maty
Cette photo est à moi, prise par moi, elle est sur mon blog ;)
RépondreSupprimerPubliée sur mon blog le 7 octobre 2010 dans le billet titré "balade automnale".
RépondreSupprimerMaman disait parfois:"La vie ne vaut rien mais rien ne vaut la vie"
RépondreSupprimerJ'adore! Je vais t'imiter aussi un jour, bientôt.
RépondreSupprimerMais je me suis reconnue en tellement de tes Je m'en souviens!
Non seulement en 'quand j'avais cru que c'était possible...' mais aussi dans les montagnes de crêpes prépares et tant des autres!
On partage tes souvenirs, et on s'y sent aussi.
Est-ce la fin d'année? Moi, aussi, différemment, je parlais ce matin des souvenirs.
Je m'accorde aux autres coms pour ressentir l'humanité et la sensibilité de ce texte. Il est vraiment "tout toi"!!!
RépondreSupprimerTant de "je me souviens" tissés comme un fil de vie à la couleur unique.
Tiens! je crois que tu me donnes envie à moi aussi...
Je me souviens de la première que je suis venu sur ton blog Coumarine, ça m'a marqué !
RépondreSupprimerj'adore ce genre d'exercice!
RépondreSupprimerQuelle belle idée, quels beaux souvenirs, j'aime ... J'aimerai en être aussi capable...peut être vais je essayer... Tendrement
RépondreSupprimer@manou...oui si le coeur t'en dit... vas-y, écris des "je me souviens". L'idée ne vient pas de moi, mais comme je l'ai indiqué, de Georges Perec
RépondreSupprimer@Adrienne... comme je viens de l'écrire à Manou... je te passe le relais...
@thierry... c'est gentil ce que tu dis là, ça me touche...
@fabeli...chouette, si tu t'y mets aussi, ça sera un texte magnifique, je connais ton écriture au service de ta sensibilité...
@Julie70... j'irai lire tes souvenirs à toi...je crois que en cette fin d'année, c'est une démarche récurrente de se tourner vers le passé, proche ou plus lointain!
@mab... ta maman avait des paroles de sagesse...
RépondreSupprimer@Praline... merci de te faire connaître: j'ai trouvé ta photo merveilleuse, tu vois...et je t'en ai rendu la paternité ;-))
@Maty... je ne savais pas que tu me lisais du Québec... alors là la devise de ton pays est une belle devise et mon texte doit te parler particulièrement, j'en suis touchée...
@Gazou... une infinie persévérance, oui il en faut parfois...
@loulotte... toi aussi tu es devenue une personne bien "réelle"...
merci de dire que tu as aimé mes "Dessous de table"...bonne fin d'année à toi!
C'est amusant! l'autre jour j'ai écrit une page de "je me souviens" mais pas sur le blog!!
RépondreSupprimerC'est beau, les souvenirs, les tristes commeles merveilleux....
Je me souviens
RépondreSupprimerc'était le temps des fleurs
c'était le temps de rires
les souvenirs se ramassent à la pelle
je me souviens et répond à l'appel
je me souviens dans le début des années soixante
dans des contrées pas si reculées que ça, pas loin de la forêt de Bercay (qui a bercé mon enfance) la terre battue, l'éclairage à la lampe à pétrole, pas d'eau courante à l'évier bref toutes ces commodités qui sont venues après.
Je me souviens de ma tante trisomique qui m'a éveillé à la différence et inculqué le respect et l'écoute.
Je me souviens de la chaleur du feu de cheminée, de l'odeur acre et entêtante de la fûmée, et des jambons qui vieillissaient pendus dans l'âtre.
Je me souviens des retrouvailles et de la maisonnée pleine qui bruissait des rires et des chansons.
Je me souviens des livres d'histoire et de ceux sur les camps, des martyrs
c'est mon histoire et on ne m'a jamais dit qu'on ne savait rien du tout.
Que de lumière ! Mystère des mystères de ce monde avec cette chose inouïe qu'est la vie, avec cette chose plus inouïe encore qu'est la pensée, et avec... l'amour... Que de lumière !
RépondreSupprimerJe me souviens d'une rencontre par hasard dans les allées de la Foire du Livre de Bruxelles... Je me souviens d'un commentaire que j'avais longtemps hésité à te mettre (de peur de te froisser)... Je me souviens de la lecture de "L'enfant à l'endroit, l'enfant à l'envers"... Par contre, je ne me souviens plus comment je suis arrivé sur ton blog (peut-être grâce à Delphine?).
RépondreSupprimerJe te souhaite un joyeux réveillon et une heureuse année 2011.
Je me souviens de Toi Coumarine... :) Ce chapelet de souvenirs qui tinte comme une prière contre l'oubli de notre humanité en ces temps de froideurs, de craintes et d'individualisme, ça réchauffe... Meilleurs voeux à toi et à ceux qui te sont chers. Bises d'une ancienne blogueuse ;)
RépondreSupprimerje me souviens, au début du 21e siècle, d'une blogueuse généreuse qui partageait de l'amour et de l'émotion !
RépondreSupprimermerci madame Coumarine ! et continue encore longtemps à nous régaler de crêpes et de textes salés et sucrés !
@madame de K...oui, je me souviens aussi d'une rencontre amicale à Paris... c'est un beau souvenir!
RépondreSupprimer@Julie M. quel bonheur ton petit mot ici. Combien de fois ai-je déjà regretté que tu n'avais plus de blog... je me souviens de ta fougue qui me rejoignait quelque part... MERCI de me faire signe, ça me touche énormément!
@Petit Belge... oui je me souviens de tout ce dont tu parles... C'est formidable d'avoir des souvenirs avec chacun d'entre vous... c'est magique!
@Jacques... avec toi aussi j'ai partagé des moments forts... et tu restes fidèle à Coumarine alors que c'est plutôt Nicole au départ que tu rencontrais... Je te souhaite le meilleur et promis on se fait un tit resto en 2011?
@Thierry... merci pour l'émotion des quelques souvenirs que tu confies à ce blog... c'est beau tout ça...
@marie-madeleine...et cette page de souvenirs...tu comptes la mettre sur ton blog? Ou en écrire une autre?
Arrivée ici par chez Jeanne je découvre une bien belle façon de finir l'année... Je suis touchée, émue et cela va m'accompagner toute la journée... Merci....
RépondreSupprimerBonne année à toi que je ne connais pas...
@La Dame des Crys... bienvenue à toi
RépondreSupprimerMerci pour cette émotion qui fait du bien, comme je l'ai écrit chez Jeanne
On a besoin de ces moments forts de vérité...
Je passe en coup de vent pour t'embrasser et te suggérer d'aller lire ceci :
RépondreSupprimerhttp://femmepsy.unblog.fr/2010/12/30/jirai-massoir-sur-le-trottoir-da-cote/
Juste parce que je me souviens !
A l'an prochain, Coum !
Je suis passée chez Jeanne, je suis venue ici, je ne t' ai rien écrit ce matin: pas osé, pas toujours facile de pousser des portes qu' on ne connaît pas même si on y vient de temps en temps "en douce". Et puis, tu m' as parlé chez Jeanne, alors je reviens te dire "bon jour".
RépondreSupprimer@Nicole... oui j'ai lu, tu as raison, je me souviens aussi...;-))
RépondreSupprimerEt oui! à l'année prochaine...
@Pierrot Bâton... il semble que malgré ton pseudo masculin, tu sois une madame ;-))???
merci d'avoir poussé la porte des commentaires...
Je vais te dire: comment ça se fait qu'on soit intimidé(e) d'aller chez des blogueurs qu'on ne connait pas et qu'il arrive qu'on aille lire de temps en temps "en douce"?
Peur de ne pas être accueilli(e)?
Peur de déranger?
moi aussi je reconnais que ça m'arrive de ne pas OSER, pfffffff
mais venant de chez Jeanne, vous ne pouvez n'être que des gens bien... comme elle quoi!
Merci à toi
Voui, je suis une "madame" !
RépondreSupprimerPeur de ne pas être accueilli(e)?
Peur de déranger?
Peut-être aussi que ça fait remonter des choses, des fois ...
Je me souviens des émotions, celles qui survivent à la gomme du temps; je me souviens des joies et des chagrins, des bonheurs et des trahisons. J'ai tant oublié et pourtant je me souviens.
RépondreSupprimerIl chante en moi ton texte Coumarine, doucement, paisiblement.
Je te souhaite une joyeuse fin d'année et une année 2011 riche de pleins de bonheurs, ces petits bonheurs essentiels que tu sais si bien nous dessiner. Je t'embrasse, si tu permets.
Je te souhaite une bonne année emplie de mille petits bonheurs quotidiens.
RépondreSupprimerMoi aussi, je me souviens... mais je ne pense pas pouvoir l'écrire aussi bien que toi...
RépondreSupprimerJe me souviens en tout cas de notre première vraie rencontre, j'étais arrivée en retard. J'essayais d'entrer dans la salle le plus discrètement possible mais il restait une dernière chaise libre... juste à côté de toi!!
Meilleurs voeux pour 2011 Coum!
@alors madame Pierrot...m'est avis qu'on se rencontrera encore ici ou là ;-))
RépondreSupprimer@Incertaine...bien sûr que j'accpete que tu m'embrasses, chère Incertaine pas si "incertaine" que ça!
Merci pour tes voeux...je les aime;-))
@coucou Tanette...contente de te voir ici... tu fais partie de mes premières rencontres dans ce monde virtuel des blogueurs...je me souviens!
@Tilleul... oh! te voilà! sais-tu que je reviens dans les mêmes circonstances en mars la-bas? Ce serait bien si tu venais t'asseoir à côté de moi, je te garderais une place...;-))
Il y a encore tant de souvenirs à construire, c'est ce que je te souhaite pour cette nouvelle année.
RépondreSupprimerIl n'y a pas de hiérarchie dans les souvenirs, ton texte le décrit fort bien, des tranches de vie qui nous rendent si proches. Cet endroit a un parfum de partage inestimable ...
Très heureuse année Coumarine !
RépondreSupprimerJe me souviens bien de nos rencontres.
Je ne me rappelle pas t'avoir présenté mes vœux. Que cette nouvelle année soit riche et lumineuse. J'écris ça, et le soleil qu'on na pas vu depuis des jours sort de son manteau de nuages pour me faire de l'œil. Ça doit être un signe. Un bon signe.
RépondreSupprimerJe me souviens de Coumarine, la première fois que je l'ai rencontrée, en 2008 ... Depuis, c'est la symphonie des textes lus, partagés, le début d'une connivence en écriture. C'est la découverte de la blogosphère. Merci pour tes textes, Coumarinette, et puisse 2011 t'accorder la publication de bien d'autres encore. Excellente année 2011 !
RépondreSupprimerJe me souviens de mes débuts sur les blogs, un seul en fait
RépondreSupprimerje me souviens qu'emprunté je cherchais le mode d'emploi dans les interventions entre lâcher prise et retenue
je me souviens de mon inquiétude à la réaction éventuelle des autres bloggueurs quant à mon attitude de blagueur
je me souviens de la contagion qui m'a pris et surtout de la créativité qui s'en est dégagé
je me souviens de cette nouvelle gymnastique mentale en forme de trous d'emmental
je me souviens du plaisir de partager qui ne fait jamasi rager
je me souviens des premières vraies conversations et de la qualité d'écoute
je me souviens du bien procuré à trouver à cette expression libérée au quotidien une soupape mais bien tarée et un exutoire pas en forme de suppositoire
je me souviens du passage de la pudeur jusqu'à plus d'heure à une franche et saine participation
je me souviens que ça reseemblait à une auberge espagnole mais sans l'inquisition
je me souviens de mes yeux fatigués à scruter
je me souviens que cet espace virtuel a des vertus réelles et notamment celle de développer un autre rapport à l'altérité
Merci Coumarine de cette occasion de plus d'oraliser à l'orée de l'année neuve et permets moi de te souhaiter tout le bonheur du monde
@thierry...il semble tu aimes beaucoup les jeux de mots, que tu utilises en abondance...j'ai souri en lisant tes "je me souviens"...
RépondreSupprimermerci pour tes souhaits...
je te les réciproque de bon coeur
@Filo...dommage que la vie et ses impératifs nous séparent... j'aimais bien nos rencontres littéraires et amicales... sans doute en été à nouveau? Ce serait bien...
@Berthoise...éh! si le soleilafait une apparition quand tu as écrit ton commentaire ici... c'est que l'année sera bonne, pour toi comme pour moi
Merci!
@Fauvette, moi aussi je me souviens de nos rencontres, chaque fois dans un resto sympa...
Bonne année à toi, à Corbillo et aux enfants
@Saravati... c'est tout à fait vrai ce que tu dis: il n'y a pas de souvenirs plus importants que d'autres... si le souvenir est resté vivace, c'est qu'il avait son importance pour nous...même si c'est un petit quelques chose...
Bonsoir Coum ! Je te souhaite tout simplement une très bonne année 2011 ! Bises
RépondreSupprimerBonne et heureuse année et bonne santé à toi et à tous ceux que tu aime ainsi qu'à ton blog COUM et à tous tes lecteurs.
RépondreSupprimerContinue à nous ouvrir l'esprit.
je t'embrasse.
@Magel... merci pour ces "simples" voeux. Simples peut-être mais qui me disent que tu continues à venir ici... et ça me fait plaisir!
RépondreSupprimer@Vince...je sais pas si j'ouvre l'esprit de mes lecteurs, tu le dis...
Je sais juste que j'aime écrire ici ce qui me passe par la tête,alors je suis contente si ça apporte quelque chose...
Bonne année ma Coum. Tout plein de choses à construire.
RépondreSupprimerBisous
Bonne année Clairette... à bientôt ici ou là...
RépondreSupprimerOn dit qu'on a tout le mois de Janvier pour se souhaiter une Bonne Année.. alors Coumarine je t'envoie tous mes voeux pour 2011 !
RépondreSupprimerPlein de belles choses pour toi.. A bientôt.
Ben oui, au stage d'été chez AMT, j'espère qu'il y en aura un de programmé ! Yahooooooo.
RépondreSupprimer@Brigou...plein de belles et bonnes choses pour toi aussi...;-))
RépondreSupprimer@Filo...........ouiiiiiiiiii si c'est possible on sera à ce stage d'été...;-))
Et moi, je me souviens aussi que je passais te lire régulièrement, que tu m'intimidais, et que je n'osais pas laisser de commentaires, j'avais peur que ceux-ci soient ternes et te semblent inintéressants. Maintenant que je te connais, je sais que tu ne négliges jamais aucun commentaire, que tu ne trouves jamais personne insignifiant, que tu es une personne généreuse et aimante.
RépondreSupprimerC'est ton blog qui m'a donné envie d'ouvrir "J'ai envie d'en parler", c'est toi qui m'as donné l'envie d'écrire des choses plus personnelles, de me dévoiler un peu plus par mes mots, et non par ceux des autres.
Plein de bonheur, de douceur et de tendresse pour toi pour l'année 2011, Coumarine. Je t'embrasse très fort.
@Françoise...tu sais que tu n'es ni la seule, ni la première à dire que j'intimide...
RépondreSupprimerMais tu me connais un peu mieux maintenant, et tu sais que TOUS les commentaires (ou plutôt TOUTES les personnes qui viennent ici sont important(e)s pour moi
J'aime ton blog "j'ai envie d'en parler". Il parle davantage de toi, on apprend ainsi à te connaître, et j'apprécie beaucoup cette femme qui s'appelle Françoise...
L'infinie persévérance de vivre, dans ces moments de grâce que vous partagez ici. Et j'ajouterais l'apprentissage permanent qu'il nous faut suivre. On doit tout apprendre, pour en éprouver l'importance et le plaisir. Aimer sans condition, oui, mais aimer est facile, on est fait pour ça; construire une relation durable entre deux personnes, c'est bien autre chose...
RépondreSupprimerJe vous souhaite le meilleur, Coumarine, bons et doux moments en cette année qui commence. Vous êtes une inspiratrice, c'est le mot qui me vient en pensant à vous.
merci Sophie pour votre passage amical en ces lieux.
RépondreSupprimerEtre une inspiratrice, voilà un compliment qui me comble
Je ne l'attendais pas, je me demande même si je le "mérite", mais après un moment d'hésitation, je l'accepte pour ce qu'il est...
Merci
J'arrive de chez Jeanne qui vante délicieusement tes ouvrages et qui donne envie d'en découvrir davantage. Alors je me suis posée un instant dans ton univers de mots.
RépondreSupprimerOui tu as raison la vie est un cadeau ! Et il faut profiter de chaque instant comme s'il était le dernier...
Chriss sur son îlet
Merci Chriss,
RépondreSupprimersois la bienvenue dans ma maison
plus que jamais je réalise combien la vie est un cadeau...
J'ai vu que tu habites la Réunion? oh! que c'est loin ça! Quelque chance qu'il y ait le Net qui rapproche les coeurs!