Des soucis, j'en ai. C'est pas original, tout le monde en a...
Des grands, des petits. Des qui me font ruminer. Me tourner dans mon lit à gauche, à droite. Me tourneboulent l'estomac...
C'est pas bon de ruminer me direz-vous! Je suis bien d'accord. Je dirais la même chose à quelqu'un qui ruminerait devant moi.. Mais entre ce que je dis et ce que je fais.... hélas... il y a parfois un monde!
Il m'arrive de ruminer tellement, et tellement longtemps que ça fait bouillie là à l'intérieur de mon ventre. Ou alors ça me coupe au couteau à l'intérieur de moi, c'est pas mieux!
Il m'arrive de ruminer tellement, et tellement longtemps que ça fait bouillie là à l'intérieur de mon ventre. Ou alors ça me coupe au couteau à l'intérieur de moi, c'est pas mieux!
Alors, comment je fais pour cesser de ruminer?
Evidemment je ne rumine plus quand le souci s'envole: mais ça n'arrive pas forcément. Et puis si le souci concerne quelqu'un que j'aime, je n'ai aucun pouvoir sur sa cause...
Alors comment je fais?
J'ai deux trucs à moi qui fonctionnent pas mal...
Vous voulez que je vous les dise?
D'accord (constatez que je suis dans un bon jour... je partage mes petits secrets!)
le premier
Je me mets à l'ordi, j'ouvre mon dossier d'écrits top secrets kiakemoikipeulèlire, et je commence à écrire. Dans ce cas, c'est commencer qui est important. Je ne sais pas forcément où je vais, je ne structure rien, je me contente d'écrire au sujet de ce qui me fait ruminer.
Vous me croirez ou pas...Le champ s'ouvre très vite. La décantation commence à se faire. Si la rumination me recroqueville sur moi-même, la décantation qui apparait très vite en écrivant, m'ouvre des possibles. Des respirations plus libres. En écrivant, en me laissant écrire, comme ça vient, des "tilts" se font auxquels mes ruminations grrrrrrrrrrpffffffffff ne me donnaient aucun accès. Les soucis ne s'envolent pas pour autant, mais en écrivant j'en balaie les scories, des noeuds se défont (aussi physiquement) et des ouvertures se font jour. Finalement ruminer me bouffe mes énergies, ma joie fondamentale de vivre.
Vous me croirez ou pas...Le champ s'ouvre très vite. La décantation commence à se faire. Si la rumination me recroqueville sur moi-même, la décantation qui apparait très vite en écrivant, m'ouvre des possibles. Des respirations plus libres. En écrivant, en me laissant écrire, comme ça vient, des "tilts" se font auxquels mes ruminations grrrrrrrrrrpffffffffff ne me donnaient aucun accès. Les soucis ne s'envolent pas pour autant, mais en écrivant j'en balaie les scories, des noeuds se défont (aussi physiquement) et des ouvertures se font jour. Finalement ruminer me bouffe mes énergies, ma joie fondamentale de vivre.
Bien sûr, me mettre à écrire me demande un certain courage, il me faut affronter de face les soucis les plus forts, pas de fuite possible.
J'ai à choisir: qu'est-ce que je préfère? Des heures de rumination? Ou une heure (parfois moins, mais à renouveler régulièrement, tous les jours en période plus fragile) d'écriture perso soutenue?
le second
chausser mes baskets et sortir. Marcher. Marcher. Marcher. Trente minutes au moins. Regarder les arbres, le vert, les nuages, respirer l'eau de mon étang qui miroite au soleil, qui ondule sous les caprices du vent, écouter les frissons des feuilles ou le bavardage des canards... J'ai cette chance, je n'ai même pas à prendre la voiture pour me plonger dans un peu de nature calme.
Et c'est fou! Les jambes ont des solutions, des envolées qui échappent à la tête encombrée de ruminations...
Vous en avez vous, des trucs pour sortir de la rumination?
A moins que bien sûr, oh! gens parfaits, vous ne ruminez jamais...;-))
Oh que oui, je rumine, moi aussi, Coumarine ! ;-)
RépondreSupprimerIl m'arrive aussi, oui, de prendre les baskets, et d'aller prendre l'air. J'ai, tout comme toi, la chance d'habiter la campagne. J'emporte avec moi mon appareil photos, et le fait de chercher des photos à faire, me change les idées, et me fait du bien.
Autrement, je prends un bon bouquin pour me changer les idées.
Mais l'écrire, oui, sûrement, cela doit aider. Tiens ! je vais ouvrir moi aussi un dossier ultra secret où pouvoir déverser toutes ces pensées obsédantes et bouffeuses d'énergie !... ;-)
Bonne soirée à toi, Coumarin. Bisous.
Bsr Coumarine. Je pense que dans un premier temps il est important de prendre réellement conscience que le fait de ruminer nous fait beaucoup de mal, je pars donc de ce premier constat et je me dis que si cette souffrance est arrivée elle repartira...puis trouver les moyens de l'aider à partir le plus vite possible. Tout comme toi j'écris même si je pleure et puis ça commence à aller mieux (d'ailleurs depuis plusieurs mois je me contente de commenter sur certains blogs) je marche quand j'ai le temps; tous les matins je fais 20mm de méditation et 20 mm de yoga, quasiment tous les soirs je refais un peu de yoga. Tout cela me permet de rester le plus souvent possible dans la pleine conscience de ce que je fais, de ce que je ressens, de lâcher prise plus facilement et justement de ne pas rester "accrochée" à mes pensées négatives...mais bien sûr Coumarine tu peux comprendre facilement que si je fais tout ce travail là, c'est qu'il fait partie de toute une remise en question et que tous ces "trucs", sont devenus au fil des mois et des années comme des petits plaisirs qui m'ont aidée et qui m'aident à retrouver mon équilibre, la paix et la joie de vivre malgré les soucis qui vont et viennent dans ma vie comme je pense dans la vie de tout être humain...Bonne soirée à toi et à tous ceux qui vont nous livrer quelques trucs en plus.
RépondreSupprimerTrès bonnes solutions, Coumarine, comme tout ce qui peut distraire l'esprit.
RépondreSupprimerAmitiés !
@Walrus dis donc... c'est pas de jeu! Je voudrais savoir comment tu fais pour TOI pas ruminer!!!
RépondreSupprimerPardon? tu rumines jamais?
C'est que les nanas qui ruminent?
ah! j'avais pas prévu ça!!!
amitiés aussi
@Josiane...oui je sais que tu as fait tout un beau chemin de conscientisation
moi par contre j'ai jamais pu me mettre au yoga
J'ai tort sans doute, paraît que c'est vraiment bien pour la sérénité...
@Françoise...bon je récapitule...
Prendre son APN et chercher LA bonne photo à faire... oui, j'aime aussi faire des photos, mais j'y pense pas toujours...
Par contre lire... ah oui! ça! ça me connait! Et en effet c'est assez efficace...
Bisous aussi
je suis aussi uen bovine qui rumine comme toi
RépondreSupprimerJ'écris aussi , et ça m'aide beaucoup à relativiser des petits et les grands
j'essaye un peu d'en parler , aux interessés si possible ou à de bonnes oreilles à l'écoute
et en plus de ça , devine , et bien pas de baskets aux pieds , mais des sons et des mélodies qui sortent de mes tripes
je chante !!!!!!!!
très fort , très haut , et pas toute seule si possible , avec la troupe
et je reviens regonflée à bloc
mais trop enervée pour trouver le sommeil , alors , je tourne , je vire ....
Bonne soirée à toi
@Jeanne... ah ouiiiii
RépondreSupprimerchanter de tout son coeur, de tout son corps!
Idem pour danser d'ailleurs...
On sort littéralement de la spirale de rumination...
Merci de nous le rappeler....
Je ne dirais pas que je "rumine", mais que je "cogite" (plus cérébral qu'organique ?). Peut-être parce que je ne suis pas trop confronté aux autres dans des relations affectives, qui me semblent plus propices aux ruminations ? Dans mon idée les cogitations sont orientées vers un changement intérieur (vision du futur) alors que les ruminations s'appliqueraient à des soucis du présent...
RépondreSupprimerChez moi les cogitations viennent par vagues, en fonction du "morceau que je suis en train d'avaler" (ce qui ressemble à de la rumination, donc...). Je sais que quand je suis dans un sujet qui cherche sa réponse il m'est bien difficile d'y échapper : il me rattrape sans cesse. Alors je préfère me lancer à fond dedans jusqu'à ce que je résolve ce qui me tarabuste. Ensuite je suis tranquille pour un certain temps. Mais si c'est plus léger, alors les sorties dans le jardin, les balades dans la nature et la photo me permettent efficacement de penser à autre chose (me laisser aller à ne "rien" penser).
Je ne pratique plus que sporadiquement l'écriture secrète, ayant découvert que l'écriture publique me faisait travailler sur un de mes problèmes : le souci du regard des autres. C'est parfois source de difficultés, mais ça fait partie du "travail" sur moi-même.
Donc, pour résumer ces propos confus : si je sens que je suis dans un épisode de fortes cogitations je ne l'évite pas. Si c'est plus léger je fais de temps en temps diversion en allant dans la nature ;o)
moi aussi, c'est deux trucs qui me conviennent tout à fait et que j'utilise souvent Gazou
RépondreSupprimerRuminer non pas vraiment mais penser à en boucle à des choses pas agréables, ça je sais faire.
RépondreSupprimerMarcher.. Oui marcher.. j'ai la chance d'avoir la campagne à 50 mètres de la maison.
RépondreSupprimerMarcher à la mer c'est encore mieux.. mais une heure de voiture.
Et le top du top... aller marcher à la mer avec l'appareil photo. Regarder, viser, appuyer sur le déclencheur... et là, oui là, vraiment toute rumination est envolée pour faire place à la beauté et à la sérénité.
Ou encore aller danser "breton".. oui ça aussi c'est imparable contre la morosité et la rumination.
j'ai les deux mêmes trucs que toi: l'écriture et la marche :-)
RépondreSupprimermais en fait je ne suis pas une "ruminante", je suis plutôt comme Pierre, ça cogite, je découpe le problème en tranches, je décortique, j'analyse... et puis j'essaie d'être "philosophe" parce que ça n'a aucun sens de se rendre malade pour des choses sur lesquelles on n'a pas de prise
ça me rappelle un billet d'une amie blogueuse: "tous tes problèmes insurmontables, tiens, pose-les là, sur la table" de la chanson de Bécaud et qui serait selon elle "l'attitude taoiste"... alors allons-y pour le tao, ça me va ;-)
je dirais comme Josiane : ce qui est important dans tout ça, c'est qu'à un moment, tu te dis "stop, là, faut que je trouve un moyen d'arrêter de ruminer !" Parce qu'en ce qui me concerne, je me complait souvent à continuer à ruminer, ce qui ne me fait pas du bien, tu t'en doutes bien.
RépondreSupprimerPartir marcher, c'était moi aussi un de mes "moyens anti rumination" du temps où j'en avais la possibilité (un parc pas loin). Maintenant je suis à Paris, alors c'est un peu bof.
A propos de l'écriture, j'ai une question : dans ces cas là, tu écris sur le sujet qui te préoccupe, ou sur autre chose ? Cela m'arrive de le faire...Et c'est vrai que ça fait du bien.
En général, dans ces cas là, je n'arrive pas à prendre un bouquin, par contre. Je n'arrive pas à penser à autre chose qu'à mon sujet de préoccupation.
(bravo pour la description, la bouillie, la coupe au couteau...oh, c'est tellement ça...)
Ruminer ! J’ai l’impression que c’est par périodes. Comme si par parfois je suis immunisée et puis tout à coup, quand je m’y attends le moins, me voilà submergée. Comme si tout et tout le monde s’était donné le mot pour tester mes limites. Ca commence alors à trotter dans la tête et puis ça descend un nœud dans la gorge, des crampes au ventre…J’aimerais poser mon « fardeau » là ! Ne plus le voir, ne plus l’entendre !
RépondreSupprimerLa balade à pieds ou à vélo, prendre l’air à plein poumons, ça m’oxygène l’esprit mais, c’est le temps de la balade et pas plus !
Et puis, jouer de la guitare, ça fait du bien aussi. Elle reconnait mes humeurs et les traduit bien.
Mais, jeter par écrit tout ce qui tourne en rond dans ma tête c’est à plus long terme ce qui me soulage le plus. Et me relire quelques mois plus tard, c’est assez surprenant !
Le Creuset
Ruminer ? Oh oui, je sais faire ! Mon truc à moi pour passer à autre chose, c'est d'ouvrir un bouquin au hasard ! Le premier qui me fait de l'oeil ! Parfois je tombe sur un auteur qui rumine encore plus que moi, alors je change ! Et au bout de quelques pages.... miracle !
RépondreSupprimerComme toi, la marche, rapide et nettoyante, je râle ou m'agite au début, et puis les choses perdent un peu de leur intensité. Mes pensées s'éloignent du chaudron et le laissent refroidir.
RépondreSupprimerOu alors j'écoute des CDs que j'aime beaucoup beaucoup beaucoup, qui enlèvent tout à fait mon esprit, loin loin du chaudron. Une autre humeur s'installe en moi.
Alors j'arrive mieux à accepter ce qui me fait ruminer, si on accepte le fait qu'on n'a pas toujours de pouvoir sur tout, mais qu'on doit simplement faire de son mieux et "espérer pour le mieux"... on se détend un peu.
Mais j'aime bien que tu rumines parce qu'alors tu nous pond des choses sur papier kiakenouskipouvonspeutêt'comprendre et on se régale de ton style....
@Pierre...oui tu as raison de distinguer
RépondreSupprimerCogiter est différent de ruminer
Cogiter c'est ce que tu fais:réfléchir de man détaillée à un aspect de ta vie ou de la vie en général
Ici ruminer je l'emploie ds le cas ou je suis TRES tracassée, angoissée je dirais par un GROS souci, et où je m'en sors pas bien, d'autant plus que je suis impuissante totalement..
Plus tard, qd le souci en question sera devenu moins prégnant, je pourrais davantage cogiter pour en cerner les tenants et les aboutissants
@Gazou... ;-))
@Mab... penser en boucle à des choses qui tracassent, ben c'est ça pour moi ruminer...;-))
@Suzame... bien sûr l'appareil est en bonne place dans les anti-ruminants chez toi
Eh oui! la danse bretonne.... yes, ça doit être sympa!!
@Adrienne... rester cool, zen, attitude taoïste... oui évidemment c'est l'idéal...
RépondreSupprimerMais pas si facile quand même!!
@sel... j'écris à partir du sujet qui me tracasse, qui m'angoisse
Et au lieu de tourner dans mon c.... c'est l'inverse (pour moi) qui se passe, je prends distance, je vois les choses avec du recul, et mes mots me font découvrir des choses que je savais mais sans le savoir ;-))
Les mots me responsabilisent en fait...
@Le Creuset... la musique, oui celle que l'on joue, que l'on danse, que l'on chante, elle est magicienne bien souvent
Et tu dis vrai...quand on se relit quelque temps plus tard, c'est parfois étonnant
Soit on a changé du tout au tout, soit rien n'a évolué
C'est alors le temps de se poser certaines questions!!
@liacht... prendre un bouquin, oui j'aime aussi!
Sauf qu'il faut un minimum de tranquillité autour de soi ;-))
@Edmée...ah la musique... elle est souveraine pour laver l'âme on dirait
(comme ça tu aimes bien mes billets "kiakenouskipouvonspeutêt'comprendre"???
(j'ai ri enlisant ça...)
Moi aussi je rumine en ce moment, ce n'est pas bien du tout !
RépondreSupprimerPour changer : je regarde un dvd sympa, je vais au ciné, je bouquine,
ou j'attends que cela passe !
Bises à toi.
@Fauvette... c'est vrai que tu n'écris pas beaucoup tous ces temps ci:je te croyais partie loin de Paris...
RépondreSupprimerOUi aller au ciné...c'est aussi un excellent dérivatif!
Un truc? Aller à fond dans sa rumination jusqu'à l'écoeurement pour vomir le tout. Ensuite aller regarder une vache. ( j'adore les vaches) je ne connais rien de plus apaisant.
RépondreSupprimerSculpter, écrire, crier, pleurer, mettre la musique à tue tête , boire un verre de vin rouge blanc ou rosé ,du champagne, danser comme une folle, se couper les cheveux en quatre en huit en seize, faire les carreaux, vider une armoire,remplir son frigo de bonnes choses, se mettre en mini jupe, se jeter à l'eau ... etc tout est bon, à prendre ou à laisser( si c'est sans effet) à recommencer s'il le faut!
Si après cela ,on rumine toujours c'est qu'il y a un gros gros problème en vue...dans le fond du ventre.
Déjà, penser que l'on fait partie d'un grand troupeau est un vrai réconfort. Pour le reste, écrire, marcher, prier (surtout), je pratique tout, quand je peux, mais il faut avouer que tout est différent depuis que je suis sous traitement contre la dépression... Il se passe tant de choses qui m'échappent au-delà même de mes ruminations...
RépondreSupprimerAh ruminer! Ca me connaît! Mais depuis quelque temps, depuis que j'ai lâché prise sur un certain nombre de points sans importance qui me faisaient ruminer pour rien, ça m'arrive un peu moins souvent;pourtant, il y a beaucoup de sujets qui me hantent encore, ce qui est normal quand on vit, finalement. Travail, enfants, avenir, santé, relations, que de sujets de rumination intense!
RépondreSupprimerMa recette, elle tient en trois lettres: PPP, pensée positive permanente.Quand je sens que je rumine un peu trop, je m'asseois, j'écris la liste de tout ce qui va bien dans ma vie, de tous les sujets de satisfaction que j'ai, j'attrape ma guitare ou je me mets au piano (aïe les oreilles des voisins!) je vais courir, vider mes tripes sur un footing à fond la mule, en rentrant je me plonge dans un bain parfumé, je me regarde un film à l'eau de rose, en trempant trois mouchoirs, tant pis, je laisse couler mes larmes, et après je me sens comme neuve. Et je me dis que, finalement, tout ne va pas si mal.
Gros baisers ma Coum
Célestine
Regarder une vache dans les yeux et se dire que finalement elle n'est pas belle quand elle rumine? Je rigooole... Parler de ce qui nous préoccupe à un proche qui sait écouter et en général, les choses reprennent leur place... rentrer dans une église vide, s'asseoir et se mettre face à l'essentiel!
RépondreSupprimer@Charlotte....ohhhhhhhhh! tu en as des trucs toi...je vais tous les essayer!
RépondreSupprimer@célestine...toi aussi tu donnes ici de bien bonnes idées...la PPP ça me plait, le bain parfumé, j'adooooooore... et le reste...merci!
@Myosotis... prier tu dis...je sais pas... j'ai perdu cette (bonne) habitude...pourquoi ne pas réessayer? J'y penserai!
@Delphine...oui parler à un proche qui peut comprendre et qui aide à voir clair...
Entrer dans une Eglise...oh là là... il y a si longtemps...Mais comme je le dis à Myosotis, pourquoi ne pas essayer?
Se mettre face à l'essentiel, voilà qui est le plus important!
Moi, quand je rumine, je prends mes crayons ou mes pinceaux et mon carnet de croquis ou je vais autour de "notre" étang, regarder le même frémissement des feuilles, écouter le même concert d'oiseaux et de canards... et cela me fait un bien fou, à moi aussi !
RépondreSupprimerQuelle merveille, cet étang à proximité de chez nous. Je suis certaine qu'il est à mille lieues d'imaginer le pouvoir relaxant dont il dispose !
Bonsoir Coumarine,
RépondreSupprimerJ'ai tendance à ruminer beaucoup. Dans l'idéal c'est de prendre mon crayon et mon cahier, de chausser mes baskets, prendre le livre en cours qui me font du bien.
Mais comme je suis maso je ne fais pas souvent tout ça : je me culpabilise de ruminer et je fais des crises de boulimie.
Pour résumer, j'alterne entre les deux.
@Michelle... je te souhaite la bienvenue (je ne crois pas t'avoir déjà vue ici?)
RépondreSupprimerLes crises de boulimie... je sais que c'est dur, un membre de ma famille proche en souffre...
Je te souhaite bon courage
je reprends un peu de temps pour penser à autre chose qu'à moi, pas à moi dans mon égo, à moi et à mon avenir... ruminer, je connais, je connais même trop et cela devient préjudiciable sur ma santé.
RépondreSupprimer@loulotte...en effet ruminer ..pas bon pour la santé!!
RépondreSupprimerJe fais pareil, j'écris, j'écris au fil de la plume sur le sujet qui me tracasse.... J'ecris sur mon blog en pratiquant l'auto-dérision et quand je ne suis pas trop au fond du trou (pas comme ce matin), je vais nager 1 km....
RépondreSupprimerJe fais pareil, j'écris, j'écris au fil de la plume sur le sujet qui me tracasse.... J'ecris sur mon blog en pratiquant l'auto-dérision et quand je ne suis pas trop au fond du trou (pas comme ce matin), je vais nager 1 km....
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