Juste un champ de colza
Parce que je me souviens... d'elle et de ses mots
C'est étrange ses divers blogs ont disparu pour toujours de la Toile. On ne peut plus la lire nulle part.
Nulle part.
Et pourtant si...
Ses commentaires ont émaillé nombre de mes billets sur mon blog des Petites Paroles chez canalblog. Et sur d'autres blogs aussi. Et parfois quand j'écris un billet un peu particulier, je me demande ce qu'elle aurait mis comme commentaire. Si elle aurait aimé (par exemple) mon changement de titre de blog.
Hier soir j'ai relu quelques-uns de ses mails gardés précieusement: le dernier date du 18 avril 2009, quelques jours avant..
Avant qu'elle ne parte définitivement.
Et puis je garde comme un trésor précieux un texte écrit sur son blog qu'elle m'a envoyé et dédicacé spécialement, elle prévoyait son départ, elle savait qu'elle allait mourir et a fait ce cadeau à quelques uns d'entre nous qui la lisions fidèlement (ils se reconnaîtront...)
C'est étrange, il m'arrive de lui "parler" dans mon cœur... Comme à un ange gardien, je sais ça fait un peu... un peu... Tant pis, j'assume!
Est-ce possible d'avoir eu tant d'affection pour une blogueuse que je n'ai jamais rencontrée?
Peu de mes lecteurs d'aujourd'hui l'ont connue, la vie tourne, c'est bizarre. Je la cite plusieurs fois dans mon livre Tout d'un blog... Elle écrivait bien et avait des choses à dire.
Je me suis dit que je m'attache à certains d'entre vous et que ce serait très dur de vous perdre.
(Et parfois je n'ai plus envie de m'attacher. Alors je me tiens un peu à distance des blogs pour le moment et ne commente que très peu... )
(Et parfois je n'ai plus envie de m'attacher. Alors je me tiens un peu à distance des blogs pour le moment et ne commente que très peu... )
Je partage cette nostalgie avec Telle (qui a fermé son blog).. et qui m'a écrit il y a quelques jours pour me parler d'elle..
Photo Marie-Aude
Je suppose que l'on est tous, nous, blogueurs, étonnés de pouvoir s'attacher "virtuellement" à une ou plusieurs personnes, des êtres parfois sans visage ni voix mais que nous avons pourtant le sentiment de connaitre et de comprendre aussi bien et parfois mieux que ceux que nous côtoyons dans le monde réel.
RépondreSupprimerIllusion ou réalité?
Illusion d'un besoin accru de communication?
Réalité d'une complicité intellectuelle qui se passe de chair?
L'attachement me semble pourtant bien réel et je comprends tout à fait ton chagrin et le sentiment de perte qui l'accompagne.
Tu me sembles bien mélancolique ces derniers temps...mais je comprends parfaitement ce que tu ressens. Moi aussi, quand un de mes lecteurs ne donne plus signe de vie depuis un certain temps, je me pose des questions ou/et je m'inquiète. Lorsque j'en parle autour de moi, on ne me croit pas mais j'ai vraiment quatre groupes de personnes dans ma vie : ma famille, mes amis, mes collègues et mes amis de la blogosphère. Avec ces derniers, on a l'avantage de partager coups de coeur et coups de gueule tout en n'entrant pas dans la vie privée et dans l'intimité de ses lecteurs. Et c'est quelque chose qui va bien avec mon caractère discret. Par contre, je ne suis resté que quelques semaines sur Facebook où le côté voyeur ne me plaisait pas du tout. Je n'avais pas envie de savoir ce que mes proches ou mes collègues faisaient à tout moment.
RépondreSupprimerBon week-end du 1er mai, Coumarine.
P.S. Peux-tu ajouter dans tes liens mon blog sur les écrivains belges? Merci d'avance.
@Fabeli... ce n'est plus vraiment du chagrin, c'est une très grande nostalgie, et un souvenir toujours très présent
RépondreSupprimerMarie-Aude m'a marquée, c'est clair!
Je pense que tu mets le doigt sur quelque chose de très vrai: complicité intellectuelle et de ressentis qui se répondent... qui se passent de chair, mais qui conduisent à une profonde connivence
Je réalise que les non-blogueurs ne comprennent pas ça: par contre ils sont nombreux les blogueurs à éprouver cette connivence très profonde avec des gens jamais rencontrés
Et avec cette connivence naît l'attachement...
Je crois que les blogueurs nous sommes une race à part, pas tellement comprise de ceux qui ne connaissent pas ce monde des blogs
Dans les billets du blog, ou les commentaires, il n'y a que l'essentiel de la personne, pour autant bien sûr qu'elle soit sincère. Son âge, son aspect, son milieu, son vécu, ses humeurs n'ont aucune importance.
RépondreSupprimerElle parle de ce qui compte vraiment. Elle peut être malade, mourante, en train de divorcer, de lutter contre l'alcoolisme, d'élever toute seule ses enfants, de chercher un nouveau boulot... Toutes ces choses sont importantes, mais seulement dans un temps déterminé et un espace bien précis. Elle n'en parlera peut-être même pas.
Le blog - ou la correspondance - c'est le chant intime, même si on ne parle pas de choses intimes.
Et oui, alors on s'attache à cette lumière au centre, on vient papilloner autour, et elle, à son tour, vient papilloner autour de la lumière qu'elle trouve chez nous.
Si elle meurt ... c'est affreux. Une lumière s'éteint. Et puis ... il reste le souvenir de cette nourriture de soleil, et on se vautre dans la certitude que oui, ça existé, et nous avons eu la chance, parmi des milliards de rencontres possibles, d'avoir celle-là.
C'était le destin, et le destin ne perd pas son sens quand un élément en disparaît.
@Petit Belge... oui je dois paraître mélancolique... et bien c'est comme ça ;-))
RépondreSupprimerOn disait qu'on ne cherchait plus à plaire à ses lecteurs, mais à être vrai!
Et moi, aujourd'hui en ce jour du premier mai, jour anniversaire de la mort de M.A, je suis mélancolique, et j'ai envie d'évoquer son souvenir
C'était une grande dame... voilà!
Quant à ce que tu dis de la blogosphère, je te rejoins, j'en parle à Fabeli de cette connivence entre blogueurs que les non-blogueurs ne peuvent comprendre
@Edmée...tu as là une phrase remarquable:
"Le blog - ou la correspondance - c'est le chant intime, même si on ne parle pas de choses intimes."
Mince, c'est tout à fait ça!!!
le blog est un chant intime (du moins les blogs du type journal intime) et ce n'est pas pour autant qu'on se montre nu(s) sur la place des blogs
Alors ce chant intime, on y vibre...ou pas...
Il y a tant d'espaces dans la blogosphère, et certains de ces espaces, nous ne les rencontrerons pas... trop différents du nôtre, de nos mots, de notre façon de voir et de vivre les choses
Mais ceux de ces espaces dans lesquels on vibre... on finit par s'y attacher
C'est incroyable de penser que tu vis si loin...et si proche en même temps
Ça, c'est la magie des blogs!
Dès qu'on aime, on entre dans la peur de perdre. Dès qu'on vit, on est confronté à la perte. Je ne sais pas si on a le choix, aimer ne pas aimer. Et si l'essentiel était d'aimer justement? Je trouve que le blog est merveilleux,oui, en ce sens qu'on rencontre parfois l'essence d'une personne, ou une part essentielle d'elle-même, mais tout de même, la rencontre réelle... Ca n'a pas de prix.
RépondreSupprimerIl y a aussi ses textes, sur Paroles plurielles...
@Pivoine... tu as raison bien sûr...
RépondreSupprimeraimer c'est AUSSI souffrir, perdre, quitter, partir, mourir
L'essentiel est d'aimer...oui mais, parfois on a envie de s'enfermer dans un cocon de protection, non?
(oui, ses textes sont encore sur Paroles Plurielles...merci de le rappeler
Je ressens toujours comme un grand vide quand un blog que j'apprécie ferme, souvent sans qu'aucune raison ne soit avancée.
RépondreSupprimerJe comprends cette nostalgie, les premiers blogs que j'ai suivis ont fermé et j'attends encore. Je passe voir parce que j'avais de l'affection pour leurs auteurs. J'ai l'impression d'avoir noué des amitiés avec certains ; s'ils venaient à mourir, j'en aurais du chagrin, comme quand on perd un ami.
RépondreSupprimerPivoine écrit : « Dès qu'on aime, on entre dans la peur de perdre. Dès qu'on vit, on est confronté à la perte. ». Je suis évidemment d'accord avec la seconde affirmation, pas forcément avec la première...
RépondreSupprimerJe crois qu'il est possible d'aimer en acceptant la perte, c'est à dire sans la redouter. En aimant au présent. Il me semble que c'est un des grands enseignements que je retire de ce monde des blogs, que je transpose maintenant dans la réalité. Je m'étais "attaché" à beaucoup de personnes qui, par l'écriture en ligne, ouvraient leur intériorité dans un rapport de confidences qui ressemblait beaucoup à de l'amitié. Du moins est-ce ainsi que je le ressentais. Avec le temps un grand nombre de ces auteurs se sont effacés de la toile, délaissant quantité de leurs "amis" plus ou moins abruptement. Ces pertes successives ont été pour moi, à chaque fois, une occasion de "travailler" sur le sentiment d'abandon que je ressentais. Si bien que dans mon rapport au monde réel je vis désormais les relations autrement : au présent.
Cela n'enlève rien à la tristesse de voir disparaître quelqu'un, surtout si cette disparition est définitive, mais, il me semble, la rend bien plus acceptable. Comme étant « dans l'ordre des choses ».
Par contre je ne crois pas que cette logique d'acceptation de la perte soit applicable à des liens construits antérieurement "avec la peur de la perte". Il me semble que seuls les nouveaux liens peuvent être établis de cette façon "détachable".
Mais bon, peut-être que tout ceci n'est que pure spéculation, de la part de quelqu'un qui s'est seulement endurci avec l'idée de perte :o)
Tes billets et les commentaires qui les animent viennent à moi comme des tendresses. J'ai l'impression aussi d'y entendre tous ces silences qui chantent la ferveur...
RépondreSupprimerBonjour à chacune et chacun.
RépondreSupprimerJe n'ai pas de blog parce que je n'ai rien à dire et que je ne sais pas le dire mais je crois que je peux reprendre à mon compte ce qui a été écrit. Ce chant intime qui m'a nourrit lorsque dans ma vie il faisait faim ...et je pourrais continuer avec la chanson complète de Brassens.
@ Pierre
j'espère que vous développerez ici ou sur votre blog le paragraphe :
"Par contre je ne crois pas que cette logique d'acceptation de la perte soit applicable à des liens construits antérieurement "avec la peur de la perte". Il me semble que seuls les nouveaux liens peuvent être établis de cette façon "détachable"."
Je n'ai pas de blog... et pourtant des amitiés virtuelles se sont tissées. L'une d'elles compte beaucoup pour moi et est particulièrement belle et touchante ! Elle m'est précieuse.
RépondreSupprimerAlors comme je te comprends Coumarine... même si ça fait un peu.. un peu.. ben tant pis ;)
Je garde d'elle l'image de sa première bannière, je la lisais, la commentais peu, j'ai été émue par tous les billets que ses amis virtuels lui ont consacrés. Parce que j'ai longtemps moi aussi vécu dans la peur de perdre. J'ai toujours peur, mais je me soigne.
RépondreSupprimerIl reste que, comme tous ceux qui ont commenté avant moi, ce billet me parle vraiment
@mab... ce qui est parfois difficile à vivre, c'est le silence qui entoure la disparition d'un blog...Je suppose que le ou la blogueuse essaie de se protéger d'un trop plein d'émotions peut-être, en tournant la page aussi sec...
RépondreSupprimer@Berthoise, oui c'est comme perdre un vrai ami de la vie réelle... d'autant plus qu'une vraie connivence peut se créer, parfois même dans le silence, quand on lit sans mettre de commentaire...
@Pierre, j'entends bien ce que tu dis (enfin! façon de parler...!)
Crer des liens de façon "détachable" comme tu dis, moi je ne peux pas... suis trop entière. Et quand je me "protège" d'une façon ou d'une autre, alors je sais que je vire dans le détachement de l'indifférence
@Jacques, juste merci de ne pas m'oublier... je t'embrasse
RépondreSupprimer@Nicole... étrange que tu écrives que tu n'as rien à dire, alors que tes commentaires sont toujours nourris et intéressants. C'est quoi cette mauvais opinion de toi-même!!!! Allons on change ça et vite ;-)))
(Je laisse Pierre lire ta demande d'approfondissement de ce passage que tu mets en évidence...)
@brigou... ah ! il est plus rare de créer des liens forts avec des blogueurs quand soi-même on n'a pas de blog... alors je suppose que tu es très présente dans les commentaires...
(oui ça doit faire une peu... mais on s'en fout hein! on sait qu'on vit de belles choses...!)
@Cassy... Oui nous sommes plusieurs à lui avoir consacré un billet qui la remerciait de tout ce qu'elle avait été pour nous... telle, Valclair, Alainx entre autres
Je me demande s'il faut se "soigner" quand on vit dans la peur de perdre...
Il y a simplement à veiller à ce que cette peur ne vire pas à l'obsession qui empêche de vivre le moment présent dans toute sa plénitude
Pour le reste avoir peur de perdre peut aussi être une façon de rester bien conscient de ce qu'on vit et que rien n'est un dû, mais un cadeau de la vie...
- Oui, je comprends pour le cocon... Bien que ce ne soit pas dans mon naturel de me protéger (et je ne sais d'ailleurs pas si c'est une bonne chose, je ne le pense pas o;)
RépondreSupprimerPeut-être que j'ai la chance aussi que mes blogueurs préférés n'ont jamais fermé leur blog ou ne se sont jamais enfermé dans le silence, a fortiori, celui, hélas définitif qui est évoqué ici.
Quand je parlais d'entrer dans la peur de perdre, je pensais plus spécialement à la mort physique. Je pensais aux personnes les plus proches, évidemment. Je n'ai pas fait l'expérience de perdre une amie (ou un ami) blogueuse-blogueur proche, donc, je ne puis en parler. De cette expérience-là en particulier; ainsi, je connaissais Amaily un peu, mais nous avons relativement peu échangé, je la lisais quand je "trouvais" un blog - avec de l'attention, mais certainement pas dans un degré d'intimité comme le vôtre.
Par la peur de perdre, je pense par exemple aux menaces qui peuvent peser sur la santé de ceux que j'aime. J'ai envie de leur dire "préservez-vous", mais je ne puis le dire, sauf à certains moments. Mais je vis aussi lucidement avec cette peur, ou disons, avec cette évidence que je ne peux garder personne sous mon aile et que personne ne le peut. Que personne n'est éternel...
Voila un blog où tout le monde a beaucoup à dire. La longueur et la profondeur des commentaires n'ont d'égale que la richesse de cœur de celle qui a écrit ce billet. Qu'il est réconfortant ce réseau serré d'amitiés, qu'on a beau jeu de dire "virtuelles". La souffrance de la perte est la même. C'est un bel hommage que tu rends, Coum, à celle qui fut une amie.
RépondreSupprimer@Pivoine
RépondreSupprimer@Célestine
Ce soir il est tard, je répondrai demain à vos commentaires...
Merci à vous;-))
juste des bisous. Mais le reste, tu le sais. C'est çà aussi le miracle des blogs, parfois on peut même se passer des mots.
RépondreSupprimerTout plein de bisous comme des coquelicots.
bisous , Coum. T'es une femme super ! Tu as une sensibilité qui m'émeut beaucoup ! Et mon affection pour toi se fait plus profonde encore avec le temps qui passe .
RépondreSupprimerCe billet sur ton amie du blog est un bel hommage et une preuve que ton amie continue de vivre dans ton coeur . C'est beau .
J'aime ta présence dans la blogosphère et il m'apparaît même que tu y es un pilier solide et fidèle . Je viens te lire chaque jour quand je suis près de mon écran , tu sais - même si je ne laisse pas toujours de commentaires . Bonne journée et à bientôt .
@Clairette... je sais ta tendresse pour moi ... et j'adore les bisous en forme de coquelicots ;-)))
RépondreSupprimer@Julie... je rougis tu devrais me voir...
pilier dans la bogosphère (une toute petite, il y en a bien d'autres...) je sais que je le suis, tout simplement de par mon "ancienneté"
@Pivoine... c'est vrai que tu es dans les "anciens" blogueurs et que de ce noyau du début, il en reste pas mal...
RépondreSupprimerTu parles donc plus de la peur de perdre dans la vie réelle
Je pense que cette peur est présente par rapport aux personnes qui nous sont proches nos enfants en particulier...
Bien sûr on ne vit pas au quotidien avec cette peur, elle resurgit dans des moments de stress (quand l'un ou l'autre tarde à rentrer par exemple)
@Célestine...oui il y a ici des lecteurs qui commentent avec bcp de coeur et de richesse humaine
Non les relations virtuelles ne sont pas que virtuelles au sens où ceux qui sont extérieurs pourraient le comprendre et le juger
Je pensais avoir laissé un commentaire hier, mais sans doute étais-je un peu trop bouleversée par ton billet et avais-je besoin de recul: il est dur comme la mort mais en même temps il apporte la caresse du souvenir : la mémoire qui savoure encore et encore les mots échangés, telle couleur, telle note, telle expression qui lui étaient propre et que tu gardes intacte dans ton coeur et au bout de ta plume.
RépondreSupprimer@Delphine...MERCI
RépondreSupprimerTu dis si bien les choses... ce sont tes mots qui sont des caresses...;-)
Un ange gardien... oui, c'est un peu ça. Je crois qu'elle m'a marquée bien au-delà de ce que j'imaginais, moi aussi.
RépondreSupprimerEt ce texte laissé comme un guide-vie, qui m'aide quand je me demande un peu que choisir et comment faire.
Et hier avec ma mère, c'est de la mort de ma grand-tante et de ma grand-mère (sa mère) que nous parlions, évoquant ce qu'elles nous avaient transmis, et ce que nous aurions aimé qu'elles nous transmettent encore. Nos chères mortes qui font partie de nous. Et sans lesquelles nous ne serions pas comme nous sommes.
Je t'embrasse bien fort, toi.
@Telle je suis heureuse de te voir ici... très heureuse...
RépondreSupprimerTu vas bien?
Moi aussi je t'embrasse fort...
Bonne journée et à très vite pour un commentaire ! Pascal.
RépondreSupprimerJe connais ce sentiment d'attachement, Coumarine, et je redoute, aussi, très fort, le "départ" de certain(e)s. Cela est déjà arrivé que certains de mes amis virtuels disparaissent de la toile et, à chaque fois, j'ai ressenti un grand vide, un manque. Les relations sont tellement riches, concentrées, qu'il n'est pas possible de ne pas s'attacher et d'éprouver du chagrin lorsque l'un des nôtres (on peut le dire...) disparaît.
RépondreSupprimerBelle journée à toi, Coumarine.
@Djemaa... bienvenue à toi..
RépondreSupprimer@Françoise... oui les relations virtuelles (certaines en tout cas), sont riches et approfondissent une connivence...
Alors les départs sont douloureux
C'est vrai que l'on s'attache virtuellement et que l'on est triste lorsque l'un de nous disparais ...je comprends ta tristesse en plus réelle...Bises
RépondreSupprimerAu fait comment je fais pour avoir ton livre "l'enfant.." merci
oui, oui, très bien... merci ! (bien occupée mais ça tu le sais, ou tu l'imagines sans peine)
RépondreSupprimerA bientôt ! bises
Je remonte le fil du temps, j'aimbe. Oui, je crois que des liens se tissent, aussi incroyables soient-ils car impalpables, et oui la disparition d'un blog sur la toile emportant avec elle l'auteur, peut rendre triste, vide, abandonné. Ce ne sont pas des sentiments rationnels, forcément, puisque ce sont des sentiments. Et alors ? Laissons-les vivre.
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