Journée ponctuée par la prise régulière d'antidouleurs, de réflexions tantôt amères, tantôt plus sereines. j'ai à puiser au plus profond de mon courage la force de tenir!
Et je tiens... heure par heure
Evidemment ça tourne là, dans ma tête, dans l'optique de comprendre ce qui se passe et pourquoi: aucune réponse sinon l'intense douleur de ces chairs à vif, de mon corps en compote
Aujourd'hui nous deviens fêter l'anniversaire de mariage d'amis très chers. Mon mari y est allé seul. Une de mes filles est venue un moment me tenir compagnie
C'est le début d’une longue liste de renoncements, et c'est dur les renoncements
Et voilà que je tombe sur ces mots de Guillevic:
Chaque instant
ouvre un prélude
Je veux y croire...comme le prélude de Bach, le plus connu qui mouille à chaque fois mes yeux
Ma toute petite expérience me fait dire que le renoncement-obligé , on peut ne pas en être « victime » dès lors qu'il devient une acceptation de la réalité pour ce qu'elle est. C'est ainsi qu'on débouche le plus souvent sur une ouverture nouvelle qui peut parfois grandement nous surprendre.
RépondreSupprimerMais je comprends que pour l'immédiat, mieux vaut ne pas renoncer aux antidouleurs !
et que pour ce que je dis plus haut, il faut un temps d'intégration. Rien ne se fait en 24 heures dans ce genre de choses.
Raison de plus pour commencer tout de suite !
Je ne renonce pas non plus à t'embrasser bien affectueusement…
courage cher Coum. Le meilleur est devant.
je comprends et je compatis...
RépondreSupprimerbises, chère Coumarine
Tu fais bien d'y croire, et de t'accompagner de la musicalité lumineuse de Bach. Cœur, patience, espérance...
RépondreSupprimerTu veux y croire et tu as raison, ma chère Coumarine. Je t'envoie mes pensées les plus affectueuses et je t'embrasse très fort.
RépondreSupprimerQuelle belle citation de Guillevic. Ainsi, au tréfonds de toi, il y a cette petite flamme intacte qui vacille parfois, mais qui est toujours là.
RépondreSupprimerJ'aimerais être là pour te jouer le prélude (le seul truc que j'arrive à massacrer à peu près correctement au piano). :-)
Et tenir ta main pour t'aider maladroitement à tenir, heure après heure.
Je t'embrasse fort ♥︎
¸¸.•*¨*• ☆
J'ai appris que tu étais rentrée à la maison. C'est déjà un pas vers du meilleur.Je pense à toi.
RépondreSupprimerC'est chouette que tu écrivez à nouveau sur ton blog.
Bisous.
Ce n'est pas un renoncement, c'est un interlude. Juste avant le prélude, quoi... :)
RépondreSupprimerNe veux pas croire.
RépondreSupprimerCrois.
Tant que tu crois tu grandis...
(ouais, je sais, ne dis rien...)
Accepter et vivre au mieux l'instant, totalement, pleinement......
RépondreSupprimerRenoncer... vivre autrement... ce doit être très dur en effet. La vie ne nous demande pas notre avis mais je sais que tu n'as pas dit ton dernier mot. Je pense souvent à toi, je t'embrasse bien affectueusement.
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