C’était hier.
(Ecrit vers 15h30’, hier une heure avant les orages qui se sont déchaînés sur toute la Belgique)
La peur a pris possession de mon ventre. Comme une tenaille, comme un couteau pointu. Comme un rongeur qui m’aurait squattée. La peur me brûle au plus près de mon cœur. Putain, je fais quoi pour sortir de cette prison étouffante, qui m’empêche littéralement de respirer ?
Bien sûr comme toujours, je crains le pire. On annonce le pire d’ailleurs : vents violents, orages terribles, pluies torrentielles, avec grêlons pour corser le tout. Alerte rouge
J’habite une rue dans laquelle je me sens vulnérable : elle est en pente et toute l’eau du haut dévale jusqu’à nous. En cas de fortes pluies, les avaloirs sont incapables de canaliser cette eau qui dégringole en force. Elle s’engouffre alors dans la pente du garage et monte de manière inquiétante. Elle a tôt fait de s’infiltrer en dessous de la porte pour venir inonder tout. Cinq, dix, quinze centimètres d’eau en un rien de temps…C’est arrivé plus d’une fois ! Impossible de se battre contre l'eau...
En même temps le vent va se déchaîner et mettre à mal les arbres environnants. Des branches pourront se rompre et se fracasser contre la maison. Cassant au passage un bout de toit, des tuiles, un coin de la maison. C’est déjà arrivé. Le bruit de la chute est impressionnant !
Le vent et la pluie me font peur. Les forces de la nature, quand elle se déchaînent me semblent sans pitié. Dures, froides, cruelles. Balayant aveuglément tout ce qui se trouve sur son passage.
L’homme de moi est sur la route. Je l’ai averti de la menace. Ils se rit de mes peurs. Or, je n’invente rien, je surveille le site de la météo Belgique : on recommande de ne pas sortir, d’éviter tout déplacement qui ne serait pas nécessaire. Lui, comme de bien entendu hausse les épaules. Le danger, les avertissements, il connaît pas. Et surtout ce n’est pas une "petite pluie" qui risque de l’arrêter !
Je me sens impuissante à le convaincre : ma peur ne l’arrêtera sûrement pas
.J’ai beau me dire : « attends de voir, ne te mets pas dans un état pareil, n’angoisse pas de cette façon…ce sera peut-être un orage de rien du tout » rien n’y fait, alerte rouge... mon estomac est pris dans un étau qui me serre depuis ce matin, depuis que j’ai ouvert l’ordi, depuis que je suis allée voir les prévisions de la météo
En ce moment, le ciel se couvre lentement, le temps s’assombrit. Le vent se lève de plus en plus fortement. Je pourrais attendre que l’orage soit là, vraiment là, pour avoir peur (éventuellement !) Pourquoi ne suis-je pas capable de gérer mon angoisse AVANT ?
Quelle est cette peur qui me vient de si loin, est-ce normal d’avoir peur à ce point ? Les autres sont-ils aussi inquiets ? Un peu ? Fort ? Ou suis-je la seule ? J’aimerais le savoir. Mais les gens s’avouent pas si facilement leurs peurs. Et puis cela me soulagerait-il de savoir que je partage cette peur si grande avec d’autres ? Juste savoir que je ne suis pas la seule, que je ne suis pas complètement déséquilibrée.
Oui l’orage, les vents violents, les pluies diluviennes me font très peur…c'est comme une phobie je crois
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Aujourd’hui nous sommes au lendemain de la tempête. Dans certains endroits de la Belgique ça a été apocalyptique. Des centaines d’arbres sont tombés un peu partout. Des toits envolés, même un clocher d’église, des câbles de haute tension sur la route. Des blessés aussi hélas...
Et chez moi ? Rien de très grave...
La rue en bas inondée (50 cm d’eau) des branches d’arbres cassées net, heureusement sans dégâts, l’inondation habituelle dans le garage et une belle peur..
A quand la prochaine tempête, pour exercer ma capacité zen???
Rassurée que tu aies été épargnée cette fois-ci.
RépondreSupprimerJe dois dire que face aux cieux qui se déchaînent, mes vieux démons reprennent le dessus... et mon anxiété et mes angoisses que j'étais parvenue à dompter (eh oui, les chiens ne font pas des chats : maman est une inquiète de nature !) reprennent le dessus.
Fort heureusement, nous ne sommes pas les plus à plaindre !
Je comprends bien votre peur, que je ressens souvent, mais pour rien... Que de l'angoisse. L'orage aurait plutôt tendance à me rassurer: il va finir bientôt. On est dans la réalité. La nature, pour autant que l'on ne soit pas sous les Tropiques, finit toujours par se calmer. Mais je vous entends bien. Je vous souhaite des jours plus sereins...
RépondreSupprimercomme je comprends ta peur , elle est basée sur des faits réalistes , pas comme la peur des fantômes ou des soucoupes volantes
RépondreSupprimerles vents , l'orage détruit ,ôtent des vies
Les hommes fanfaronnent souent avec ça , prennent des risques aussi
j'ai longtemps eu peur de l'accident de voiture
ma fille commence la conduite , quand elle sera sur la route , dans un an , j'aurai la peur au ventre , il faudra lutter aussi
Soulagée que ta maison ne soit pas trop touchée
mais y'a les autres , les dégats , c'est cruel
@Naline...tu n'as pas été dans la tourmente, toi?
RépondreSupprimerje suis allée cet AP à l'étang voir si il y avait des dégâts... ouf, rien de grave, les canards sont toujours la...
Et l'eau bouge, bouge, tu en sais quelque chose ;-))
@Natacha...heureusement surprise de vous voir dans mon petit chez moi sur le net...
Pas eu de problème par chez vous?
C'est curieux les différences: ainsi l'orage vous rassure... ça alors... ;-))
@Jeanne... ouf que je n'apparaisse pas comme une demi cinglée qui a peur pour rien...
Oui l'orage me fout une sacrée trouille, mais je sais bien qu'elle est trop forte, c'est quasi une phobie
Mes enfants conduisent tous, je n'y pense pas... sinon je ne vivrais plus...;-))
Ben... moi aussi, j'ai parfois très peur. De dangers réels (moi aussi je trouille quand il y a un gros gros orage: nous sommes sur un terrain pentu, en haut, avec pas mal d'arbres derrière et pas de cave... J'imagine souvent ma maison descendant dans la rue sur un beau glissement de terrain, ou la forêt s'abattant sur notre toit dans un joli jeu de dominos!)
RépondreSupprimerMais une fois, j'ai eu une peur panique inexplicable - et jamais expliquée par la suite! - alors que nous nous promenions dans un lieu que j'aimais et connaissais bien. Le vent s'est levé et j'ai eu la sensation étrange que le vent était "méchant", voulait que je parte, qu'un grand danger se trouvait là. J'ai eu si peur que le castor n'a pas discuté et on est rentrés.
Je n'ai jamais su si quelque chose s'était passé là ce jour-là, mais je suis toujours certaine qu'il y avait "une menace".
Heureuse de savoir qu'il n'y a pas eu de gros dégâts pour toi.
RépondreSupprimerJe crois que la nouvelle gestion des alertes météo contribue à développer la peur. On nous prévient à l'avance, avec force messages d'alerte, on envisage le pire, on conseille de ne pas sortir etc.
Je me souviens que pour la dernière tempête que nous avons eu dans le Sud ouest de la France (janvier 2009), j'ai ressenti pour la première fois une grande angoisse tout en restant scotchée à la radio pour suivre heure par heure l'évolution de la tempête, ce qui entretenait ma peur, parce que finalement, chez nous, les dégâts avaient été peu nombreux par rapport à d'autres départements. Les gens téléphonaient au stations de radio, appelaient à l'aide, décrivaient des situations apocalyptiques.
Bien sûr, cette gestion des aléas climatiques est tout de même une bonne chose car elle permet de prévenir et de sauver des vies.
Mais je reste persuadée qu'elle entretient l'angoisse.
Depuis 1999 et sa tempête nous avons peur tout le temps, les éléments ont pris une taille XXL, il ne pleut pas, il "trombe", le vent n'a rien d'une brise c'est tout de suite la tornade et la peur est toujours là. Contente que pour toi tout aille bien.
RépondreSupprimer@Edmée... oui, ce dont tu parles, cette peur étrange qui semble irraisonnée, et pas habituelle, je crois qu'il est bon de l'écouter
RépondreSupprimerAu contraire d'autres peurs comme celle dont je parle, qu'il faut pouvoir gérer au mieux!
@Fabeli, je crois que tu as tout à fait raison: si je n'étais pas allée voir la météo, je me serais épargné quelques heures d'angoisse.
Les alertes impressionnent, font peur
Mais d'autre part comme tu le dis, elles permettent de prendre des précautions bien utiles: comme fermer tous les parcs (ce qui a été fait chez nous!)
@mab...c'est depuis les tempêtes que ma peur s'est développée de cette manière. C'est finalement plus la grosse pluie et des vents violents que je redoute, plus que des orages proprement dits (tonnerre et éclairs)
Bonne journée à tous (il fait venteux ici sur Bruxelles...)
peut-être, pour comprendre ce qui se passe dans ces cas-là, faudrait-il distinguer la peur de l'angoisse.
RépondreSupprimerLa peur concerne généralement un danger présent au moment même. Elle permet souvent d'avoir un comportement adapté à la situation (hormis la panique qui inhibe). certaines personnes ont alors un décuplement de leurs forces qui les sauvent du danger imminent.
L'angoisse nait d'une inquiétude qui prend des proportions anormales, qui envahit le champ de conscience et fait perdre ce qu'on appelle habituellement « le bon sens », car le danger est supposé venir,il n'est pas présent, et l'imaginaire fait croire que le malheur va suivre.
un raisonnement objectif fait dire que c'est « sans raison ». En réalité il existe des raisons profondes dans le psychisme, généralement liées à l'histoire personnelle.
c'est parfois l'occasion de découvrir quelques-unes de nos névroses... !
:o))
Vu d'ici, je ne savais même pas que vous aviez subi la tempête... C'est dire si nous sommes bien informés !
RépondreSupprimerTout comme toi, je ne suis pas rassurée par le déchaînement de la nature. Et cette fois, j'avoue que j'ai vraiment eu peur.
RépondreSupprimerNotre petite ville a été lourdement touchée : toitures envoléées, arbres par terre, poteau en béton couchés et ni tél ni électricité dans plusieurs quartiers, des blessés légers, heureusement
.
Nous avons eu des dégats : la toiture (mais c'est réparé déjà), 3 volets roulants tordus à remplacer (ils étaient pourtant baissés et les fenêtres fermées), le jardin saccage, un peu d'eau dans le garage (ça c'est le moins important)
C'est dans ces moments d'impuissance qu'on réalise notre insignifiance...
Mes bonnes pensées
agnès
En cas d'orage, je surveille mon saule pleureur! comme si en l'ayant à l'oeil, il ne peut pas tomber!
RépondreSupprimerC'est qu'il fait vraiment le fou en temps de tempête: il ne se maîtrise plus!Je crois qu'alors il est en pleine angoisse!
J'ai moi aussi des peurs incontrôlées
RépondreSupprimerA d'autres moments tout aussi inquiètants je reste calme sans trop de difficultés, je ne sais pas pourquoi....L'angoisse, c'est un poison dont on m'a nourri dès avant ma naissance, je crois..et c'est très contagieux...J'ai essayé de ne pas en nourrir mes enfants..il me semble moins intoxiqués que moi
Contrairement à toi, Coumarine, les déchainements naturels ne me font pas peur. Ils peuvent m'impressionner, me faire craindre des dégats, mais de peur point. Il y a quelques années le secteur ou j'habite a été dévasté par des pluies diluviennes. Ce n'était qu'eau de partout, qui dévalait, creusait le sol, emportait tout sur son passage et se transformait en torrents déments. Je n'avais pas peur, parce que je cherchais pas à résister à cette fatalité que je savais infiniment plus forte que moi. J'étais plutôt fasciné par cette puissance absolument incontrôlable. Je crois qu'il faut vraiment se rappeler que nous ne pouvons pas lutter, et agir en conséquence en se plaçant en sécurité.
RépondreSupprimerJe crois, comme Fabeli, que l'anticipation médiatique et le désir d'informer tout en faisant du sensationnalisme (fais-moi peur !) est pour beaucoup dans ces angoisses irraisonnées...
Je n'ai pas de peur panique lorsqu'il y a un orage ou un déchainement naturel. C'est vrai que si je dois dormir le bruit de l'orage me dérange un peu mais, pour l'instant, je me suis toujours sentie en sécurité dans l'immeuble ou la maison qui me protégeait même si de temps en temps j'ai entendu des histoires incroyables de la foudre qui avait fait le tour d'une maison dans le sud-ouest et moi-même qui me suis retrouvée une fois à 10 mètres à peu près d'un transformateur où la foudre est tombée !
RépondreSupprimerJe me souviens également lors de la tempête de décembre 1999 sur Paris, notre immeuble en tremblait et l'une de mes filles peut être une heure avant nous avait réveillé avec un pleur tout à fait inhabituel qui m'avait marqué, comme si elle avait sentie le danger...
@Alain...merci pour ces mots du spécialiste...quant à savoir d'où me vient cette angoisse si profonde, et bien je ne sais pas...
RépondreSupprimerJe devrai faire avec comme on dit en Belgique (en France aussi peut-être?)
@Fauvette... rien n'a filtré par chez vous? ça alors, il y a eu du grabuge pourtant!
@Agnès...oups je vois que tu t'es trouvée dans une des zones assez bien touchée... et que tu aies eu peur, oh! que je le comprends!!!
@Charlotte... mon saule à moi, je n'ose plus le regarder, tellement il se déchaine en cas de tempête...Franchement, il exagère...!
@gazou... j'ai eu une mère dépressive et angoissée... ceci explique pas mal de choses!
RépondreSupprimerEt comme toi j'ai essayé de ne pas trop transmettre cet héritage à mes enfants. Je n'ai pas tt à fait réussi!
@Pierre, oups je risque de dire quelque chose qui va pas te plaire: un homme n'est-il pas moins anxieux qu'une femme de manière générale, et en ce qui concerne les éléments naturels qui se déchainent en particulier
Tu dis être "impressionné", n'est-ce pas une forme de peur?
Ou alors être impressionné comme tu dis, c'est être subjugué, fasciné par ce que tu vois et qui peut dépasser l'entendement...
Et ta remarque qui rejoint celle de Fabeli... je suis vraiment d'accord avec ça. Les avertissements étaient plus que sévères et ont éveillé l'attention (angoissée) de bcp de monde...
@Myriam...dis donc tu es passée tout près de la foudre toi!! oups impressionnant ce que tu racontes!
Quant aux pleurs de ta fille avant la fameuse tempête, les animaux ont souvent ce genre de comportement, qui devrait avertir les humains que qqch de sérieux se prépare...
Lors du Tsunami, c'est ce qui s'est passé
@Pierre, je dis que ça risque de pas te plaire, parce que je sais que tu n'aimes pas trop qu'on fasse preuve de sexisme: les hommes sont comme ci, les femmes sont comme ça!!! ;-))
RépondreSupprimerJ'aime l'orage. Il me procure de la détente. Mais je comprends que les forts orages puissent effrayer.
RépondreSupprimerIci, point de bourrasque, pour l'instant…
RépondreSupprimerPetit, l'orage me terrorisait, je me réfugiais sous le duvet de mon lit, prétextant une fatigue soudaine…
@Berthoise... j'aime l'orage APRES...quand c'est fini! Alors il a soulagé la chaleur moite et lourde, il a arrosé tout et l'herbe sent bon...
RépondreSupprimerVertumne, les orages ne sont pas arrivés par chez vous...
(je souris en pensant à ce petit garçon soudain trèèèèèèèèès fatigué, sous la couette...)
À quand une nouvelle tempête pour mettre à l'épreuve votre côté zen ? J'espère : jamais plus.
RépondreSupprimerL'orage... j'ai une peur terrible de l'orage. En fait, je me demande de quoi je n'ai pas peur ?... (sourire)
RépondreSupprimerLorsque l'orage est au-dessus de ma maison, éclairs, tonnerre, je me réfugie dans une pièce sans ouverture (ma penderie par exemple), tellement j'ai peur. Et lorsqu'un orage nous surprend en pleine randonnée (en montagne, par exemple), je marche à toute allure, et même mon mari qui habituellement marche plus vite que moi, n'arrive pas à me rattraper...
J'ai une véritable peur de l'orage, et impossible de me raisonner.
Donc, pas cool du tout, quand l'orage est là ;-)
Bon week-end à toi, Coumarine. Bisous.
Pauvre Coumarine ! Je n'aime pas trop les orages non plus, et ils sont méchants par ici, mais le plus important pour moi reste d'être capable de rassurer mes petits : avoir la voix suffisamment ferme pour leur dire que ce ne sera pas long et que nous ne risquons rien, et leur proposer une activité (comme par exemple sortir les allumettes, des bougies et des lampes de poche...). Bon courage pour la suite !
RépondreSupprimer@Christophe... ben les orages semblent devenir de plus en plus féroces. J'ai donc intérêt à devenir zen...
RépondreSupprimer@Françoise... c'est amusant comme nous avons des points communs toi et moi ;-))
@Myosotis... revenue de vacances?
Quand mes enfants étaient petits, je cranais, je jouais la forte, pour eux...
Maintenant seule dans ma maison je n'en mène pas large ;-))
Je n'y ai pas échappé ! J'étais trempée de la tête aux pieds ! Et dès que l'orage s'est éloigné, je suis allée aussi, dans la soirée, voir l'état de l'étang...
RépondreSupprimerBeau dimanche, Coumarine !
en l'occurence ici, la peur était fondée. On ne peut rien contre la Nature lorsqu'elle se déchaîne, et les pluies torrentielles peuvent être extrêmement angoissantes lorsqu'on est déjà un peu phobique des orages.
RépondreSupprimerMoi c'est le contraire, j'adore. J'adore la pluie, j'adore les trombes d'eau qui me dégringolent dessus, mais j'habite en région parisienne, et le "pire" que j'ai jamais connu c'est le débordement de l'Oise à quelques kms de chez moi. Mais qu'en serait-il si ma cave (en supposant que j'en ai une :-)) était inondée ?
Tout cela pour dire que cette angoisse que tu décris, Coumarine, ne me semble pas moins que toute naturelle.. tout autant que la réaction de ton homme qui se rit de la "petite pluie" ..
Bonne fin de dimanche
J'ai moins peur de l'eau que du feu....mais je rejoins l'explication d'Alain. Le monde est à l'image de nos perceptions.
RépondreSupprimer@Naline... il est toujours là notre étang...;-))
RépondreSupprimer@Ambre...merci... je trouve ton commentaire très sympa...
@Yog...tu sais quoi? j'ai peur du feu tout autant
L'homme de moi fait des feux d'enfer dans la cheminée... on a eu par deux fois des feux de cheminée... pas drôle...
Oooh, j'arrive trop tard pour te rassurer ... C'est vrai que les media exagèrent parfois, gonflent tout, tant et si bien qu'ils risquent de semer une angoisse, si on les écoutait.
RépondreSupprimerVenant d'Afrique, je ne crains pas trop les gros orages mais les apprécie.
Ici, j'observe le comportement des chats pour savoir si je vais mettre mon panicomètre en route ou pas :D
@Filo...oui je crois que les animaux pressentent ce qui se passe...
RépondreSupprimerEt j'imagine qu'en Afrique, tu as dû en connaître des vertes et des pas mûres question climat!!
Heureusement que je ne pouvais pas accéder à internet et lire ton blog pendant mes vacances, sinon, j'aurais paniqué à distance avec toi. J'avoue que j'étais un peu inquiète en rentrant chez moi, chez ma soeur à Paris, l'orage a été terrible, leur installation électrique a disjoncté. Quand j'étais petite, j'avais une peur panique de l'orage, et puis, je ne sais pas comment, c'est passé. Même pendant les typhons, au Japon, je n'étais pas plus inquiète que ça...
RépondreSupprimer@Pascale... ah oui alors! heureusement que tu n'as pas pu accéder à Internet: on s'en fait toujours trop, c'est ce que je me suis dit une fois de plus!
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