de toutes façons faudra bien mourir un jour sur la route dans son lit par accident par maladie on n'a pas le choix si on a juste le droit de décider de se supprimer tout seul comme un grand ou comme un con
de toutes façons même si on croit le décider on n'a pas le choix parce que de toutes façons ça se termine pour tous de la même manière la mort et hop dans un cercueil et hop dans la terre ou dans le feu
de toutes façons dans cent ans y aura plus personne de maintenant toutes des nouvelles têtes peut-être juste les bébés nés ces jours-ci à condition qu'ils vivent cent ans comique de se dire que la terre continuera de tourner les gens de se disputer de faire l'amour de bouffer de déféquer de travailler de rire et que nous les gens de maintenant on sera plus que de la poussière revenue à la terre. A moins que la terre n'existe plus ce serait bien possible après tout on en parle tous les jours dans les livres les journaux la télé partout quoi
et toutes nos haines et nos angoisses et nos chagrins et nos colères et nos joies aussi tout sera oublié depuis très très longtemps nul ne s'en souviendra ce sera comme si rien n'avait existé
allez les gens c'est un peu con de se prendre comme ça au sérieux non
Léon Spilliaert
C'est qui encore qui disait "La vie est une chose trop sérieuse pour qu'on puisse se passer d'en rire" ?
RépondreSupprimerBen dis donc Coum je passe ici par hasard, parce que là où je suis la connexion c'est pas top rapidité, et qu'est-ce que je trouve ? un drôle de billet craché tout d'un jet sans points ni virgules, et qui parle de choses pas folichonnes. Un petit coup de calcaire ma Coum? elle est pô belle la vie? et pourtant je suis obligée de reconnaître que tu as raison tout plein, du début jusqu'à la fin. Armstrong, un jour tôt ou tard, on n'est que des os...Au fait il y a deux jours, je t'avais fait un long comm sur ton billet de la peur de l'orage, et plouf, il a disparu corps et bien quand j'ai cliqué sur "publier". J'ai pas eu le courage de recommencer.
RépondreSupprimerJe t'embrasse
Célestine
Bjr Coumarine, ce billet n'est bien sûr qu'évidence...et pourtant...c'est tellement clair que cela doit nous faire mal aux yeux et nous fait peur...alors on fuit dans le tourbillon de la vie en oubliant que celle-ci est brève et qu'on en passe une grande partie en se l'empoisonnant nous-mêmes, en oubliant finalement de vivre vraiment...car quand on regarde et qu'on écoute ce qui se passe autour de nous, ce n'est vraiment pas brillant...alors que quand on est proche de sa propre mort ou qu'on assiste à celle de nos proches, c'est là que finalement on arrive à se dire qu'on a été vraiment con de ne pas avoir pu ou voulu essayer de vivre différemment... plus près des autres...mais ça, c'est tout un travail!!!
RépondreSupprimerNos névroses du jour survivrons dans nos enfants. Si je me concentre bien, j'ai le souvenir de mes ancêtres vendéens trucidés par la République, d'un poilu de 14, d'un rouge de 36, d'un noir de 68, du bon caoutchouc du docteur biberon, de la chambre d'isolement pour apprendre à dormir.
RépondreSupprimerMais je le trouve un peu triste ce billet, désabusé, fataliste. Bien sûr que le jeu s'arrêtera pour nous un jour, mais en attendant on peut jouer à fond ;-)
Mais la terre continuera de tourner, même si les sapiens sapiens à cervelle minuscule cèdent leur place à une espèce plus intelligente et bien moins c...
RépondreSupprimerTout cela me semble réconfortant si on le regarde à l'échelle du cosmos et de l'évolution de l'univers dont chacun de nous n'aura été qu'un infime grain. Ce qui me chagrine, c'est l'égoïsme forcené et imbécile qui peut naître dans l'esprit de ceux qui ne voient de sens qu'à l'aune de leur ego. Je suis de ceux qui pensent que le temps des barbaries est celui où seul le soi fait sens, alors que c'est une indispensable fraternité planétaire qui évitera la disparition des sapiens.
Cela étant posé, je profite d'un matin où je peux accéder facilement à ton blog (depuis ton changement d'adresse, mon ordi coince pour te visiter) pour te dire que j'aime beaucoup le nouveau ton de tes billets. je m'y retrouve souvent, mais j'ai bien du mal techniquement à te laisser un comm. Et j'enrage !!!
Ça se terminera et nous le savons; c'est ce qui fait à la fois notre misère et notre grandeur, notre angoisse et notre art.
RépondreSupprimerProduire de la joie, donner de soi, c'est ce qu'on a de mieux à faire dans le temps imparti...
Bien à vous
Bravo, Sophie ! C'est exactement ce que je pensais écrire.
RépondreSupprimerUn grand A-KE-COUCOU Coumarinette !
@Walrus... penser à la mort ne m'empêche aucunement de rire et de vivre. Bien au contraire, l'intensité est plus forte
RépondreSupprimer@Célestine..lis ma réponse à Walrus. Je suis qqun qui pense très souvent à la mort, plus que la normale sûrement.
Pas pour cela que j'ai un coup de calcaire
Je trouve important de ne pas gommer ce qui finira par nous arriver à tous...
Il y a rien de triste d'en parler
(Ce que tu dis de l'accès à Blogspot me tracasse, tu n'es pas la seul à me dire cela. Dire que j'ai changé d'hébergeur justement à cause de ce problème d'accès...
Sais pas ce que je vais faire...;-(
@Josiane... voilà! c'est ça! mourir est d'une telle évidence que je veux pouvoir en parler de temps en temps
Cela me conduit en tout cas de remettre soucis et problèmes à leur vraie dimension: PETITE
@ppm... non ce billet n'est pas désabusé, il est réaliste. Enfin, c'est comme ça que je le vis..
RépondreSupprimerEt ce réalisme me conduit à m'occuper de l'essentiel, seulement!
@Incertaine tu écris:
"Je suis de ceux qui pensent que le temps des barbaries est celui où seul le soi fait sens, alors que c'est une indispensable fraternité planétaire qui évitera la disparition des sapiens."
Ah oui! alors! je te rejoins à 100%100!!!
C'est évident pour nous, mais pour combien d'autres seul compte le confort personnel?
(zut toi aussi tu me parles de ta difficulté d'accès à Blogspot... sais pas ce que je vais faire ;-((
@Sophie, bienvenue ici
Vos mots...oui je les signe tous et chacun...
Merci de votre passage
@Filo...un grand coucou à toi aussi chère Filo;-))
Si nous n'avions pas à l'esprit cette idée de la mort, la vie n'existerait pas. Sans la mort que nous savons inéluctable à la fin de notre vie (ou à n'importe quel moment de la vie), nous n'aurions pas cette vie (envie) en nous qui nous pousse à découvrir l'essentiel, oui, comme tu le dis.
RépondreSupprimerOui, je suis d'accord avec toi, c'est c... de se prendre au sérieux.
Hors sujet, mais pas tout à fait : connais-tu les textes et chansons de Julos Beaucarne ? Ton texte d'aujourd'hui m'y fait un peu penser. Tu aimerais peut-être...
Bon début de semaine à toi, Coumarine.
Je t'embrasse.
@Françoise... oui je connais non seulement les textes de Julos, mais je le connais tout court ;-))
RépondreSupprimerc'est un Belge, moi aussi et nous nous sommes rencontrés dans des endroits "littéraires"
Flattée d'ailleurs que mon texte d'auj (sans aucune ponctuation, tout le monde n'aime pas lol ) te fasse penser à ce grand poète
Heureusement que nous sommes appelés à mourir et disparaître...!
RépondreSupprimerImaginons un instant que nous soyons immortels...
Bon sang ! Quelle horreur ce serait !...
Des milliers et des milliers d'années à travailler(même 35 heures par semaine !!), pour enrichir la famille Bettencourt !!
Et Sarko !
Des élections seulement tous les 25 siècles !!
Franchement, je tiendrais pas...
;o)
j'allais écrire la même chose qu'Alain mais il l'a déjà écrit!
RépondreSupprimerLa vie est mortelle.De là à mourir de honte, d'ennui, de froid, de faim, de haine, d'amour je préfère mourir de rire.C'est le meilleur pied de nez qu'on peut lui faire.
Quelle chance tu as de connaître personnellement Julos Beaucarne, Coumarine ! Il était l'un des poètes préférés de mon frère. Il est venu chanter en France l'année passée, tout près de chez lui (à Ambert), mais celui-ci n'avait pas pu aller l'écouter chanter. Ses textes me parlent et me touchent énormément. Connais-tu "Femmes et hommes" ?
RépondreSupprimerIl faut bien avoir conscience que la mort est au bout de notre chemin, du moins de ce chemin qu'est la vie, et qu'il faut vivre tout ce qu'il nous est donné de vivre. Après nous attend un autre chemin... dont nous ignorons la texture, comme dirait Julos Beaucarne...
Oui Coumarine, nous n'avons pas le choix... raison de plus pour choisir ce que l'on vit ! Sans trop penser à l'après puisque c'est maintenant qu'on y est.
RépondreSupprimerSérieux, pas sérieux... peu importe : ce qui compte c'est de se sentir bien dans la vie qu'on se choisit :o)
Vivre en sachant que ce n'est pas éternel permet de goûter chaque seconde. Il ne faut pas l'oublier, ni oublier d'en rire. Je suis d'accord avec toi.
RépondreSupprimer@Alain...si on ne mourrait pas, en effet quelle cata!!!!
RépondreSupprimeron se marcherait tous sur les pieds;-))
@Charlotte, oui je sais que tu dis la même chose que Alain, mais j'aime que TOI tu le dises à ta manière ;-)))et ce sera différent, crois-moi!
@Françoise, Julos est un homme simple et authentique... je suppose que tu connais son histoire tragique? Sa femme aimée a été assassinée...et la nuit de ce drame, il a écrit une lettre de paix...magnifique!
@Pierre, tu écris:
" nous n'avons pas le choix... raison de plus pour choisir ce que l'on vit"
j'aime bcp ta formule ramassée...
@Berthoise... gouter chaque seconde... pas toujours si évident, mais possible
Idéal vers lequel tendre...
C'est la vie tout simplement et comme disais une vieille tante philosophe, parler de la mort n'a jamais fait mourir personne.
RépondreSupprimereh bien oui, c'est la vie..et elle est courte..Raison de plus pour ne pas se disperser ;.et savourer toutes les bonnes choses qu'elle nous donne cette vie si éphémère..raison d eplus pour "aimer à tort et à travers" comme nous le recommandait notre ami Julos
RépondreSupprimerQuand je t'ai lu hier, je ne savais pas trop si tu avais un coup de grisou ou si tu écrivais pour booster un peu la morosité ambiante (si si.. en tout cas, perso, j'suis un p'tit peu morose en ce moment estival).
RépondreSupprimerJe reviens lire les commentaires ce matin. J'aime celui de Pierre qui résume l'essentiel.
Bon ben va falloir que je m'y mette : arrêter de trop penser et profiter pleinement des instants présents.
C'était un sujet de philo qui était tombé l'année précédant celle où j'ai passé mon bac et auquel j'ai été bien contente d'échapper "Faut-il vivre comme si nous ne devions jamais mourir?" Curieusement, je me souviens très bien de ce sujet que je n'ai pas dû faire, alors que je ne me rappelle plus du tout de celui que j'ai eu lors de mon examen!
RépondreSupprimerJ'aime ce texte ! A placarder aux vues des râleurs, des pinailleurs, des enquinineurs, des blasés, des mal lunés, des éternels insatifaits etc .. bref, il faut que je me l'imprime et que je le lise à chaque fois qu'un petit bobo me bouche la vue qui me permet de voir l'essentiel ! (mince, j'étais partie pour râler aujourd'hui ... changement de programme ! .. merci qui, merci Coum' !)
RépondreSupprimer@mab...elle était pleine de bon sens ta vieille tante philosophe...
RépondreSupprimer@gazou... ne pas se disperser, mais vivre à fond les bonnes choses...
Parfois on se trompe de bonnes choses...;-((
@Suzame... quand je rumine, ça ronge à l'intérieur de moi
Alors pour cesser la rumination, j'écris ce que je vis
Le plus souvent ça se décante, et en écrivant des "tilt" se font, des prises de conscience utiles, des découvertes...
Mais il faut plus de courage pour prendre une demi heure pour écrire, que de ruminer pendant toute une journée...
@Pascale, contente de te revoir... donc tu ne te souviens pas de TON sujet de bac??? (sourire...)
@Miss Line...merci à toi Miss gentille de me dire ça... ça fait plaisir!
"Mais il faut plus de courage pour prendre une demi heure pour écrire, que de ruminer pendant toute une journée.."
RépondreSupprimerD'accord avec toi... je suis très forte pour ruminer... et pas assez courageuse pour prendre le moyen d'arrêter ça.
Il va falloir que je me mette à l'écriture sérieusement. Mais quand j'écris dans ces moments là, cela peut être si noir...
@Suzamz, je crois que je vais écrire un billet sur le fait de ruminer...
RépondreSupprimerdemain sans doute..;-))
Avec les filles nous évoquions la mort
RépondreSupprimerla petite " nan , je veux pas entendre parler de ça "
la grande " ça fait partie de la vie , imagine qu'on soit immortelles "
j'ai choisi mon camp , je ne serai pas procédurière , je ne perdrai pas des années de ma vie dans des attaques minables pour acquerir un semblant de pouvoir
j'irai à ce qui me semble essentiel sans trop penser à la fin
parce que tu as raison , dans 100 ans même ma petite fille ne sera plus là pour parler de sa mère alors ....
mais j'espère bien qu'on se retrouvera ensemble pour papoter tranquillement
Belle journée Coumarine
J’arrive un peu tard pour réagir! Ce que j’aurais dit est dit ! Merci à ceux qui m’ont devancés !
RépondreSupprimerJ’ajouterais que pour ma part, à chaque départ d’un ami proche, je croque un peu plus avidement dans la vie, comme si en m’offrant un maximum, je pouvais me rapprocher de celui qui n’a pas eu l’occasion ou pas pris le temps de s’offrir tout ce qui lui était offert. Quand tout va bien, un rien peu faire mon bonheur. Il est des moments où j’ai besoin de me secouer et de me rappeler à mon réveil que je vais vivre la première journée de ce qui me reste à vivre.
Bien contente, Coumarine d’avoir découvert ton blog !
Le Creuset
@Jeanne..tu écris:
RépondreSupprimer"j'irai à ce qui me semble essentiel sans trop penser à la fin
parce que tu as raison , dans 100 ans même ma petite fille ne sera plus là pour parler de sa mère alors ...."
C'est ça qui m'a soudain si fort frappée: lemonde dans cent ans sera complètement renouvelé!!
Le Creuset...croauser dans la vie ah ou!
Faut pas attendre la disparition d'mis pour ça... prendre conscience que lea vie, c'est urgent!!
Merci à toi:j'aime bien qd on aime mon blog;-))
@Le Creuset... CROQUER évidemment
RépondreSupprimerFaut que je relise voyons!!!
La mort, j'y pense tous les jours, mais d'une façon naturelle.
RépondreSupprimerUne seule chose me tracasse, à l'inverse de mon homme qui voudrait "se réveiller mort", je voudrais (sans mélodrame) que tout soit bien rangé (au propre comme au figuré).
j'ai peur de la mort de mes proches, j'en ai même une hantise, pas de la mienne.
.
Alain X m'a fait rire, et il faut rire chaque jour "c'est bon pour la Santé !"
Avoir la philosophie de Bernard Giraudeau et son courage.
bisous Coumarine
Moi aussi je pense à la mort, je suis à l'âge où les parents s'en vont et parfois même des amis. Comment ne pas y penser?
RépondreSupprimerPourtant je suis tout à fait d'accord avec toi, ce n'est ni triste ni morbide. C'est avoir conscience de sa place/temps. "On est bien peu de chose" etc... Mais quelle importance pour ceux dont nous touchons la vie. C'est tout. Une goutte d'eau dans l'Océan, mais un Océan d'incidences dans notre sphère directe.
Nous savons tous que nous allons mourir, et pourtant ça ne nous empêche pas de faire des drames, des projets, des folies, des enfants, des prières et tout ce qu'on veut, parce que notre passage est en fait un des maillons de l'éternité de notre lignée.
Chère Coum, j'ai aussi cette impression de passage éclair d'une poussière dans l'univers, mais ce zzzzzzzzzzzzzoup influe sur les autres qui me croisent... Et c'est tout, et c'est rien.
En attendant je profite du voyage :)
Merci pour ce sujet de discussion ...
Dans ses «Mauvaises pensées et autres», Paul Valéry écrivait: «La Mort nous parle d'une voix profonde pour ne rien dire».
RépondreSupprimerCette phrase convient à mon grand âge, j'aimerais ne jamais devenir sourde à la Vie!
J'aime ce texte sans ponctuation, comme sorti d'un coup des entrailles de son auteure!
RépondreSupprimerJ'aime ton réalisme qui est aussi le mien!
Bon, parfois, c'est un peu "encombrant de voir la vie toute crue, toute nue...mais on n'y peut rien, on marche comme ça, c'est tout!
@Loulotte...oui j'ai pu écouter une video de Bernard Giraudou peu de temps avant sa mort. Il est impressionnant de sérénité!
RépondreSupprimer@Edmée...parfois je me demande si notre présence ici influe vraiment sur ceux qui nous entourent
Si on quittait la blogosphère pas exemple... on se souviendra vaguement de nous...
Non allez, ce matin je vois les choses en gris...;-))
Sourire silvouplè!!
@Natacha...tiens j'ai m'impression au contraire que la Mort nous parle d'une voix profonde et qu'elle dit des choses qu'il serait urgent d'entendre...
(votre grand âge? c'est moi qui pourrais parler ainsi...!!!;-))
@fabeli... tu es la seule à me parler de la forme de mon billet
Et ça me fait un très grand plaisir
Toi et moi, qui aimons écrire, on a besoin d'avoir un écho sur notre façon d'écrire
Oui j'ai écrit ce texte comme s'il était sorti tout entier et tout droit de mes tripes...
Oh lala, j'aime beaucoup écrire comme ça...et toi?
J'écris comme ça dans ce que j'appelle mes "pensées volantes", comme un dialogue avec moi-même, histoire de prendre de mes nouvelles.
RépondreSupprimerParfois ça vient tout seul, d'autres fois ça coince ;-)
Tu veux rire?
RépondreSupprimerMon cousin est un gars qui n'a pas réussi grand chose dans sa vie. C'est triste, mais il s'est toujours donné des excuses d'une part, et est très paresseux pour le reste. Mauvaise recette.
A plus de 65 ans, le bilan ne l'enthousiasme pas.
Un soir, tout déprimé, il téléphone à sa soeur et lui récite la litanie de ses échecs et insatisfactions, puis s'arrête, attendant la parole d'encouragement, car sa soeur l'adore. Au lieu de quoi... silence. Silence encore.
Et puis ...
"Mais tes chiens t'aimaient bien ...."
Enfin, on rit, mais c'est amer aussi, je sais. Cependant, c'est lui qui me l'a raconté en riant, car il sait rire malgré tout!
Ceci pour te dire, eh bien sa vie a au moins eu une influence sur celle de ses chiens ... :)
@Edmée... ben il aurait pu se dire que si ses chiens l'aimaient bien, c'est qu'il était pas qqun de si nul que ça...
RépondreSupprimerCeci dit, j'ai souri en te lisant...!
Pourquoi est-ce que chaque fois que je viens te faire une petite visite, je me dis : "c'est exactement ça que j'aurais pu écrire aussi". Je ne l'ai pas fait parce que je n'écris pas comme toi bien sûr et ne suis pas toi, que je ne prends pas le temps de réfléchir assez pour mettre des mots ensuite, ni surtout ne prends pas le temps d'écrire.
RépondreSupprimerC'est vrai pour ce billet, mais aussi pour les suivants et tellement d'autres avant.
On sera tous quelques pieds sous terre bientôt, mais en attendant profitons de la vie, de l'été, de l'amour, des enfants, des petits enfants.
Merci d'écrire aussi pour nous ou en tous cas de partager tes réflexions.
#Calliprune... bonjour
RépondreSupprimerJ'aime partager mes réflexions aussi diverses que variées. Écrire est important pour moi, tu l'auras remarqué ;-))
Si elles font écho en vous mes lecteurs, j'en suis vraiment heureuse: je n'écris pas pour rien..
Bonne journée à toi!
Ce texte fait écho à toutes les pensées qui, depuis un ou deux ans, me bousculent à tout moment, me prennent au débotté ! J'aime assez la fluidité qu'apportent les mots accolés sans rupture comme le fil de nos pensées dans l'encéphale.
RépondreSupprimer@Gicerilla... oui c'est bien ça! les mots accolés sans rupture contrôlée par l'intellect apportent la fluidité des sentiments...
RépondreSupprimerBonne journée à toi