une semaine aujourd'hui que le mari s'est écroulé sur un lit de clinique.
il ne s'est pas relevé depuis, devenu dépendant pour tout, comme un bébé.
la maladie qui s'est emparé de lui ne lui laisse pas beaucoup le choix: il en a pour quelques mois à se remettre, avec un minimum de séquelles, on peut l'espérer!
En attendant, il faut continuer à vivre!
Lui sur ce lit dont il est prisonnier et dépendant pour TOUT
Moi en essayant de m'organiser au mieux pour ne pas sombrer dans l'épuisement tant physique que émotionnel
Je m'arrange pour aller tous les soirs lui donner son léger repas du soir. Depuis deux jours il mange presque tout ce qui est sur le plateau. Puis il déclare: "j'ai bien mangé!"
Voilà ce que j'admire en lui, c'est qu'il ne plonge pas dans la plainte, il cueille le bon qu'il reçoit, il est capable de s'informer gentiment du problème de santé de l'un de ses amis,
Moi j'ai encaissé cela comme un coup violent reçu par traîtrise et qui m'a déstabilisée, qui m'effraie aussi énormément: depuis que je suis fort affaiblie au niveau de ma santé, je me reposais sur lui pour un certain nombre de choses que je ne pouvais plus assumer. C'est terminé pour un long moment, il me faudra apprendre à gérer seule le quotidien, à reprendre la voiture pour de courts trajets, à oser m'adresser aux amis avec simplicité
Les enfants sont très présents, attentifs, affectueux. Papa a tant fait pour nous, disent-ils, c'est à nous aujourd'hui à être là pour notre papa!
Et en même temps ils sont soucieux de leur Coumaman. On se raccroche à notre tendresse
Dans cette tempête inattendue, je vois les petits éclats de bonheur, de tendresse, d'attention qui me (nous) sont offerts,
L'espérance et la gratitude seront capables de nous aider à porter cette énigme du malheur
Contente du " mieux" déjà une bonne nouvelle...
RépondreSupprimerPetit pas par petit pas...je connais....
Courage, on est là !
Amanda
Amanda... il n'y a pas vraiment du mieux.. il n'est pas encore arrivé au pic de la maladie...
Supprimerc'est lui qui reste positif au travers des moments inévitables d'intense découragement!
Oh, Coumarine ! J'ai beaucoup pensé à toi ces derniers jours... impuissant, on assiste aux coups durs sans pouvoir aider sinon en écoutant, en témoignant, en respectant le silence de l'autre. Courage, force et patience à toi !
RépondreSupprimerJe t'embrasse.
merci Agnès, tout simplement merci!
SupprimerLa solidarité et la tendresse familiales seront vos meilleurs atouts pour surmonter ce sale coup du sort. Et vous en ressortirez plus forts. Je vous embrasse.
RépondreSupprimerChère Coum'
RépondreSupprimerJe pense fort à toi :)
ouh! ça me fait mal de lire tout ça pour vous,
RépondreSupprimertrès très profondement je pense à vous deux et envoie de doux sentiments, bises
Courage, j'ai vécu plus de vint ans avec mon mari privé de la marche et de la parole et après une période de "sidération" nous avons eu une très belle vie. Tant que la conscience l'amour réciproque sont là tout est beau. Et je crois qu'avec de la patience il retrouvera la santé. Je t'envoie mes pensées les plus positives.
RépondreSupprimerOh! Ariaga, cela me fait plaisir de te voir ici!
SupprimerNormalement oui, il retrouvera sa mobilité... mais ce sera long et douloureux
Une énorme patience donc...un long chemin nous attend
Il y a le choc bien sûr
Supprimermais je sens qu'il y a de l'amour autour de toi, autour de vous deux, et cela m'apaise un peu, juste après avoir découvert cette horrible épreuve supplémentaire qui te tombe dessus
Mes pensées
Je voudrais aussi t'apporter toutes mes pensées encourageantes. Je vois combien vous êtes touchés durement, ces dernières années... Peut-être peux-tu te faire aider, au moins dans la maison? Et tous mes voeux de rétablissement pour ton mari, même si cela prendra du temps, mais il faut espérer...
RépondreSupprimerOui j'ai une aide pour le gros ménage tous les 15 jours... et moi toute seule, je ne salis pas énormément...;-))
SupprimerUn billet plein de tendresse. Cultiver l'espérance... un beau défi. Courage...
RépondreSupprimerContente d'avoir des nouvelles Coumarine. C'est sûr que je pense souvent à toi. Je ne peux pas prendre ton fardeau, mais mon cœur... peut-être un peu... pour que ce soit moins lourd sur tes épaules. kéa
RépondreSupprimeroui kéa... tu sais ce que c'est que d'avoir Horton. Je ne suis certes plus comme il y a trois ans! J'espère que cette tuile est la dernière qui me tombera sur les épaules...
SupprimerLa perte d'autonomie est très dure à vivre, même momentanée, quand c'est si soudain que ça vous tombe dessus, peut être un effet boomerang avec tout ce qu'il stoïquement enduré, sait on jamais ! C'est pas évident de devoir assumer de nouveau en entier une vie avec des moyens limités, même si on peut toujours essayer de s’adapter. Alors encore plus de courage et aussi des messages d'amitié.
RépondreSupprimerVous allez vous en tirer tous les deux.
RépondreSupprimerTu conduiras avec plus de sûreté et moins de crainte.
Tu te sortiras de tout ça.
Lui aussi.
Tu verras, c'est fou ce qu'on est capable de faire sous la pression des évènements...
"Tu verras, c'est fou ce qu'on est capable de faire sous la pression des évènements..."
Supprimerj'espère, en effet, que ce sera le cas
je veux me battre en tout cas
merci Patrice
Tu te battras, fais moi confiance.
SupprimerEt vous gagnerez tous deux.
Il n'est pas arrivé au pic de la maladie dis-tu...
RépondreSupprimerQue d'angoisse à vivre.
Je pense à toi et comme les pensées sont des ondes tous les souhaits qui te sont formulés se rendront à ton coeur pour te soutenir. Même en prenant soin de ton mari ne t'oublie pas, prend soin de toi aussi. Maty
non hélas, j'espère que auj est le dernier jour d’aggravation
SupprimerOui j'ai conscience que j'ai à prendre soin de moi pour lui, pour moi, pour nous deux
C'est une énigme ... Pourquoi , quelle explication à ce lot de tracas ? forcément , tu aurais besoin de comprendre , de régler des comptes avec le destin , mais , tu sais bien que tout cela n'a rien de rationnel
RépondreSupprimeralors , tu saisis ce que l'autre vous offre , tu prends ce que tu as donné , sans rien reprendre , sans trop demander
je te sais capable de déployer des forces
et le lien qui vous unis va tanguer , mais la barre est solide , et dans la tempête , les marins ont de bonnes boussoles
je t'embrasse Coumarine
il n'y a as d'explication... je n'ai aucune révolte, ce qui nous arrive nous arrive, c'est tout!
SupprimerJe garde mon énergie pour me battre POUR pas pour me battre contre...
Merci pour ton passage Jeanne
Moi aussi je t'embrasse Coumarine, dépitée, sidérée depuis mardi, démunie, impuissante, moi la "positive" qui n'ai pas trouvé une seule parole, croyant que ma pensée était assez forte pour t'assurer de mon amitié.
RépondreSupprimerJe ne trouve pas de mots, encore, pour te signifier mon soutien, mon admiration toi si forte, si courageuse, et je serre mes poings devant cette injustice qui vous frappe à nouveau.
Non ce n'est pas rationnel, ce n'est qu'une loterie, et je réalise à quel point tu es frappée par le destin.
Alors au-delà de nos différends et de nos faiblesses, je voudrais te dire que je suis de tout coeur avec vous.
¸¸.•*¨*• ☆
oui cela m'a fait de la peine que tu ne sois pas venue me mettre un simple mot me disant ta présence, toi qui te dis mon amie!
SupprimerCe qui ne se dit pas ne peut pas se deviner...
Comme je le dis à Jeanne, je n'ai aucune révolte devant ce qui nous arrive, lui non plus d'ailleurs
Je crois sincèrement qu'il y a une raison à tant de souffrances, et que nous la trouverons en restant dans l'amour
Et la raison c'est peut-être simplement qu'il y a des "corrections" à faire à notre façon de vivre... difficile à expliquer (je suis fatiguée)
Cela s'éclairera dans les jours qui viennent!
Merci d'être venue ce soir...
Merci de nous donner des nouvelles, Coumarine. Je pense toujours bien à toi, et à ton mari. Courage et patience, en attendant que son état s'améliore. Repose toi, toi aussi, le mieux que tu peux.
RépondreSupprimerJe t'embrasse fort.
Que te dire ma chère Coumarine? L'amour et le sérieux que ton mari a mis dans son rôle de papa a "capitalisé" sans cupidité et maintenant, il a des enfants qui l'aiment assez et avec assez d'élan pour avoir un vrai espoir. Une chose inestimable. Et toi...vacillante mais trop en vie que pour lâcher le gouvernail de ce rafiot qui tangue furieusement... on sait que tu ne lâcheras pas avant qu'on te dise que tu le peux. Et alors, toi, tu pourrais pleurer sur toi et te féliciter de ton courage :)
RépondreSupprimerJe t'embrasse
j'aime bcp ton commentaire chère Edmée
SupprimerJe ne sais pas si j'ai du courage... je veux juste tenir le coup, instant après instant et tant que ce sera nécessaire
Tu as raison, je suis vacillante, je chancelle même parfois, mais je suis en vie
Merci à toi...
Hier, j'ai dit à Papa cette petite phrase magique que l'on m'a un jour transmise : "Qui excelle dans le lent, devient excellent"
RépondreSupprimerUne phrase de circonstance, et de surcroît quand on porte notre Nom de Famille !...
suis désolée de ne pas répondre à tous les commentaires. mais vous le comprendrez j'espère
RépondreSupprimerSachez que chacun de vos mots en ces temps difficiles m'aident à tenir le coup
Je pense qu'il faut garder espoir malgré la douleur que peut engendrer une telle épreuve. Vous avez un atout formidable: une famille unie et aimante. Puisez y la force dont vous avez besoin.
RépondreSupprimerc'est un grand bonheur d'avoir cette tendresse familiale, ce soutien des enfants et des amis.
RépondreSupprimerMais oui, il faut oser les solliciter, je suis sûre qu'ils sont heureux de rendre service, on se sent si impuissant face à la douleur de l'autre qu'on aime pouvoir faire quelque chose pour l'aider!
Ce sont des moments difficiles, autant pour votre mari que pour vous-même et vos enfants. Mais vous semblez unis, et cela c'est une grande force.
RépondreSupprimerBravo pour cette union et cet amour qui vous aideront à tenir.
Je vous embrasse.
Je crois que quelque chose de bon sortira de tout cela, tu verras. Mais pas tout de suite, certes. Il va y avoir des moments difficiles mais vous vous en sortirez plus forts qu'avant. Je t'embrasse affectueusement et t'envoie plein de courage et de force.
RépondreSupprimerJe venais te remercier pour ton invitation dans FB et j'apprends la mauvaise nouvelle.Il y a toujours de l'espoir et je te souhaite bon courage.
RépondreSupprimerJe t'invite aussi à rejoindre le groupe Video que j'ai formé car je pense que tu pourrais être une source d'inspiration.Bien sûr, lorsque ton époux sera rétabl...Courage.Alain
Je partage entièrement tes peurs et ta détresse. Comme toi j'ai subi le choc de la maladie survenue chez mon mari qui est soigné par chimiothérapie depuis un mois...Nous avions la chance d'être en très bonne santé, nous pensions que ça allait durer toujours...Je me sens fragilisée, d'autant que ma fille aînée a dû subir une autre intervention au niveau de son moignon, elle est hospitalisée à 80 km de chez nous depuis un mois elle aussi. Je me dois de "tenir le coup". J'ai recours à des amis pour m'aider dans mes déplacements. Ca fait chaud au cœur de se sentir épaulée.
RépondreSupprimerCourage à toi chère Coumarine. La tendresse de nos proches est là pour nous aider à continuer d'espérer. Je t'embrasse.
Tanette cela me fait plaisir ta visite
SupprimerTu n'es pas épargnée non plus je vois...
Alors juste COURAGE
Tu as déjà prouver que tu en as...
Je t'embrasse fort
Merci aux autres qui franchissent la barrière de la peur en me mettant un petit mot.
RépondreSupprimerLa peur, oui celle qu'on éprouve quand on se trouve devant qqun qui a plusieurs coups durs!
Vos mots sont un appui pour moi, je le redis...
et ne pensez surtout pas que vos mots sont dérisoires: bien sûr c'est bien à moi de vivre toutes ces souffrances
RépondreSupprimerVous me signifiez votre présence... sinon comment voulez-vous que je sache que vous êtes là??
Il est beau ton message, Coumarine.
RépondreSupprimerEt je pense que la vie, c'est là qu'elle se trouve. Comme si, dépouillé de tout le futile, l'essentiel se laissait approcher. Le partager avec nous est précieux pour nous. Sois en certaine : c'est à nous que tu fais du bien en écrivant ! Je t'embrasse.
"Comme si, dépouillé de tout le futile, l'essentiel se laissait approcher"
Supprimervoilà! c'est exactement ça!
merci Anne**
j'avais fait un "brouillon" la semaine dernière ( je voulais trouver les mots justes ...) et puis ...il est resté là .le mot courage me dérangeait , car pour moi , quand on est dans la tempête , on rame sans se poser de question .A t-on alors le choix ? Alors simplement ,je pense à toi , à vous .Se reposer, noter chaque petit bonheur , chaque sourire , trouver des beautés infimes ... Et être là . Ce billet là partira .Mimi8 ...
RépondreSupprimertu as bien fait de le faire partir ce commentaire là, comme je l'ai dit cela me fait plaisir et surtout du bien!
Supprimerjuste dire que je suis là, même si j'habite bien loin.
RépondreSupprimerJe pense beaucoup à vous
RépondreSupprimerMa bonne Coum',
RépondreSupprimerAprès les voeux en MP, me v'là r'viendu !
Parce que, pour le coup, j'ose !
J'ose te reparler de mon com' du 23 octobre 2012 sur "La patiente est patiente..."
Tu sais, "Plein la gueule !"...
J'ose parce que la vie, vos vies à tous les deux ne te laissent pas le choix.
Tu commençais à sortir la tête du trou, on commençais à te sentir prête à affronter tes difficultés, à ne plus te replier sur toi-même, et l'approche du printemps me laissait croire que tu allais "rentrer dedans" à cette saloperie d'Horton.
Guillain-Barré te mettent au pied du mur comme moi à l'époque au pied de la falaise, et va bien falloir y aller ! Et tu peux ! Et quelque part, tout au fond de toi, tu sais que tu peu ! Suffit juste d'oser. Oser respirer, te redresser, sortir, faire les courses, prendre la voiture...
Je vais te dire : j'ai une collègue de la cinquantaine à qui on a dû retirer l'oeil droit (celui du rétroviseur) à vingt ans ! Tu imagines la tuile ? Le moral ? C'était ça ou conserver l'oeil et laisser le cancer qui l'avait grignoté envahir la tête...
Aujourd'hui, elle va, elle vient, elle conduit fort bien sans accident particulier et se sert de son unique oeil pour être maquettiste en DAO (Dessin Assisté par Ordinateur) !
Elle cache l'orbite vide avec un pansement rond qu'elle change chaque jour, et quand elle doit se décrire au téléphone à quelqu'un qu'elle doit rencontrer et qui ne la connaît pas, elle annonce sans ambages : "Je suis borgne".
On peut se demander pourquoi la vie vous a envoyé cette tuile. D'aucuns y verraient quelque chose de symbolique, j'en sais rien, suis pas compétent, mais l'idée m'aurait bien effleuré un peu. Juste un p'tit peu, alors...
Moi je crois que vous allez vous en sortir parce que ton homme a besoin de toi, et que c'est quand même pas cette saloperie d'Horton qui va vous emmerder ! Non .. "Plein la gueule !"
Je suis avec toi, avec vous deux, comme tous les copains qui ont écrit avant moi !
Bon, d'accord, je fais pas dans la dentelle et c'est un peu guerrier mon truc !
Mais c'était le quart d'heure de soutien de Tonton Candide...
;o)))
tu vois Candide, il n'y a que trois ans que je suis borgne...de plus, j'ai l'âge que j'ai, càd plus si jeune ;-(
Supprimermon cerveau ,'a pas pu encore s’accommoder complètement de la situation. Je peux juste espérer qu'il finira par le faire
De plus Horton avant la perte de l'oel me cause avant tout des problèmes divers de santé que je ne vais pas détailler ici ;-))
Donc voilà! je fais de mon mieux, et si tu veux venir me secouer, je n'y suis pas opposée ;-))
J'espère que pour toi, la vie vers vers le printemps?
Ma bonne Coum'
SupprimerTon invitation à revenir te secouer m'honore, mais je te laisse imaginer combien ça peut être difficile à faire. On risque 99,97 fois sur cent de mal tomber et de faire des ravages. C'est d'ailleurs pour ça que j'étais resté silencieux si longtemps.
Ce que je voulais dire, c'est que j'ai l'impression que Guillain-Barré t'obligent à mettre la tête dans le guidon et à outrepasser tes blocages, et que ce faisant ils te secouent bien mieux que je ne saurais jamais le faire. Tu ne peux compter que sur toi-même pour accompagner ton homme et vous sortirez sans doute exténués de cette double épreuve. Mais on se découvre dans l'adversité des ressources qu'on ignorait. Je te souhaite de trouver cette force. Quand vous relèverez la tête, ce sera l'été et le soleil vous donnera sa chaleur et sa force. Un autre temps sera venu...
Quant à moi... je ne peux pas te répondre autrement : objectivement, météorologiquement parlant, ma vie va vers le printemps...
En fait c'est un peu plus incertain et porteur d'angoisses... Mais chacun patauge dans son bocal, et je suis le seul à détenir la clé des orientations de ma vie...
"Quand on fait ce qu'on peut, on fait ce qu'on doit"...
RépondreSupprimerJ'ai suivi pendant un an ma Maman devenue dépendante physiquement, mais restée LIBRE dans sa tête...
Je suis mon chemin à présent, avec des priorités à me donner, le ménage aussi à faire un peu autour de moi pour aller à l'essentiel...
Tu me sembles presque sereine, plus dans l'acceptation qu'il y a quelques mois...
Tu oses écrire ici ce que tu cachais un peu du côté d'Horton...
Coum, je te suis dans tes difficultés comme dans l'espoir qui doit toujours guider nos vies.
Je t'embrasse fort.
Cathy
merci bcp Cathy, merci d'être venue!
Supprimerje ne sais si je suis sereine, il y a des moments où je n'en mène pas large
pourtant je garde ma petite flamme de l'espoir bien allumée, c'est vrai!
ah y est!! j'ai enfin ton livre ce fût long! je vais le commencer ce w end bises
RépondreSupprimeret bien bonne lecture!
Supprimer(et n'oublie pas qu'il y en a d'autres de livres...!!!)
Je suis abasourdie par ce que je viens de lire, Je n'ai que ma compassion à t'offrir et c'est bien peu.
RépondreSupprimermab
oui mab... moi aussi je n'en reviens pas...!!!
Supprimersi, la compassion j'en ai besoin!
Prise moi même par une personne très proche qui est en situation brutale de dépendance quasi totale (et je l'espère passagère), je n'ai pas lu ton post avant aujourd'hui. J'en suis profondément désolée. J'aurais aimé t'adresser une simple parole d'amitié dès que tu nous as fait part de l'accident de santé de ton époux. Pardon d'avoir tant tardé!
RépondreSupprimerLes amis de Job cherchaient des raisons à l'avalanche totale de malheurs qui lui tombaient dessus. Et Job a eu "raison" de leur résister en refusant leurs prétendues explications. Dans le malheur (comme dans le grand bonheur), toute raison est dépassée, à mon avis. Y'a pas d'raison! On ne peut qu'espérer contre toute espérance que ces épreuves nous emportent là où l'Amour commande... sans raison! C'est ce que je souhaite pour toi, ton époux et vos enfants.
je crois que c'est très vrai Christine
Supprimernous ne cherchons ni coupables, ni raisons... nous vivons au mieux l'instant présent...
merci d'être venue