Pour les contacts simplement virtuels, avec les blogueurs et blogueuses, même et surtout ceux/celles qui nous nourrissent, par leurs mots, leur présence attentive et affectueuse... manque le contact avec les yeux! Rien ne remplace le fait de les voir sourire, de les voir émus, d'entendre le son de leur voix.
Je donne aussi rarement à voir ma photo, je dirais même jamais
Je reçois tout aussi rarement le photo d'autres amis virtuels
Est-ce un bien, un mal? Est-ce prudent? Je ne suis pas méfiante, mal m'en a pris parfois, de là ma réserve
un petit mot tendresse reçu aujourd'hui d'une de mes filles
Elle achève la lecture d'une histoire parlant d'amis. Elle demande à sa fille (2ans et demi):
"tu as des amis toi?
La petite répond oui!
ma fille: ah oui et comment s'appellent-ils
Et l'enfant de répondre: maman et papa!
Trop mignon cette réponse d'enfant...
RépondreSupprimerOh oui, ils nous manquent nos êtres chers...Et on voit clairement les limites du virtuel, dans ce moment où il est roi.
Bisous et courage Coum
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et en même temps quelle chance qu'on puisse quand même communiquer de cette manière
Supprimermerci pour les bisous
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Délicieux petit dialogue entre une mère et sa fille…
RépondreSupprimerla présence physique de mes enfants et petits-enfants ne me manquent pas. Il faut dire qu'il y a bien des années qu'ils ont quittées les parages. Cet éloignement physique, une famille à l'autre bout de la France, l'autre famille à 11 heures d'avion, a plutôt resserré les liens intérieurs par le mode d'échange que dans le temps on qualifiait d'épistolaire, mot si merveilleux.
Aujourd'hui on dit « je te maile », si on est canadien c'est un courriel.
Occasionnellement j'en suis revenu à la plume en or du stylo. Ça laisse plus de trace qu'une boîte à courrier électronique qui disparaîtra un jour à l'occasion d'un desossement de l'ordinateur qui les hébergeait. À moins que tout ne se perde dans les nuages électroniques…
et c'est parfois touchant d'entendre : « papa, j'ai relu tes lettres… »
les baisers s'envolent, les écrits restent…
OK, d'accord pour les écrits qui restent... sauf en cas d'incendie et pfffffff tout est parti en fumée
SupprimerChez moi, les baisers font un grand bien, très grand!
Allez courage cher Alain et bises du coeur!
Les mots qu'on dit avec les yeux ? T'écouterais pas Christophe par hasard ?
RépondreSupprimerBisous !
ces derniers jours oui j'ai eu l'occasion de l'écouter.Et cette chanson est particulièrement jolie!
SupprimerBisous pour toi
Saisissant commentaire d'enfant, tellement dans sa vérité première. Si seulement tous les enfants pouvaient penser ainsi! Et mon cœur se serre pour tous ceux qui sont confrontés d'autant plus à la violence parentale, confinés entre 4 murs...
RépondreSupprimerPrivée de bisous et de câlins, oui, mais pour être plus certaine d'en profiter après, quand bien même l'après mettra des mois à venir... Je n'embrasse pas mon homme qui ne m'embrasse pas, tu sais, depuis des semaines, notre fille s'abstient aussi de tout geste trop affectueux, il faut le protéger, comme je le disais à Ambre, le passage sous respirateur serait sans retour.
Restent les mots, et les regards. Et l'amour.
Surtout l'amour. Qui n'est pas fleur bleue ni rose, mais au plus près de la douleur. Celui qui résiste à tout. Que, je crois bien, malheureusement, bien peu connaissent.
Baiser doux
@ La Baladine.
Supprimer«il faut le protéger, comme je le disais à Ambre, le passage sous respirateur serait sans retour. »
Je me permets d'intervenir ici, car cette phrase s'applique parfaitement à ma petite personne. Nous prenons exactement les mêmes précautions, prêts à les vivre dans la durée. Si durée il y a ....
moi comme vous deux, je tiens (hélas!) les baisers à distance!
SupprimerMais le mari est sans cesse là, prêt à me témoigner son affection! C'est un peu crève-coeur de l'éloigner sans cesse
Parce que je suis aussi fortement immunodéprimée, merci aux médicaments divers et variés que je me coltine chaque jour ;-(
@la Baladine,je suis sûre en effet que l'"après" mettra beaucoup de temps à venir, hélas!
SupprimerEt dire qu'il n'y a pas si longtemps on ne souhaitait une bonne année 2020!
Je suis tt à fait d'accord avec ton dernier &...
"Surtout l'amour. Qui n'est pas fleur bleue ni rose, mais au plus près de la douleur. Celui qui résiste à tout. Que, je crois bien, malheureusement, bien peu connaissent."
"l'amour au plus près de la douleur..."
SupprimerJe le connais cet amour, au plus près de la douleur... Accompagner l'être aimé dans la perte d'un enfant, c'est une épreuve à laquelle seul l'amour vrai résiste.
Supprimer❤️🌷❤️
tu me vois rassurée que tu aies construit un amour pareil, capable d'accompagner l'être aimé dans un immense chagrin
SupprimerBon courage à toi...
Moi aussi ma famille me manque. Rien ne vaut le contact physique !
RépondreSupprimerc'est pour cela que les contacts physiques me manquent beaucoup aussi!
SupprimerLes petits enfants ne me manquent pas car ... j'en ai pas. Mon fils habite à une bonne heure en voiture et ma fille est revenue à la maison (après une déception amoureuse).
RépondreSupprimerComme chez La Baladine et AlainX, pas de câlins ni de gestes affectueux. La tendresse se devine dans les gestes et les regards.
Allez, patience, voilà un exercice enrichissant mais ... Hein, Coumarinette ! Belle journée ensoleillée et lumineuse et à demain !
faudra que je convainque le marigentil de rester à l'écart! C'est impératif!
Supprimermerci chère Filo!
Commentaire de AMBRE
RépondreSupprimer(décidément blogspot fait des siennes!)
"‘J'aime bien le commentaire de La Baladine.
J'écris chaque jour, depuis toujours; et si j'ai déjà fait des "feux de joie" de mes cahiers, je garde généralement ceux des années précédentes. Cela permet, par moment, de s'y replonger, de voir ce qui a changé, là où on a progressé (ou pas).
En ce moment j'ai l'impression de régresser....
Merci Coum de venir à nous chaque jour
Je te fais de gros bisous
impossible de te répondre en ce moment ;-(blogspot ne veut pas
SupprimerJe crois que les bisous et câlins de nos petits nous manquent à tous. Combien de temps faudra-t-il attendre avant de pouvoir en faire ? Dernièrement, ma belle-fille de Lyon me disait que dès qu'ils le pourraient, ils viendraient nous voir, que Ruben nous réclamait régulièrement. Le jour viendra mais pourra-t-on se lâcher autant qu'on le voudrait ?...
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