deux jours très difficiles: la douleur omniprésente malgré les antidouleurs, mes visites quotidiennes en clinique pour contrôler soit la maladie de Horton, soit mon coeur qui palpite, soit "l'héroïne" de ces jours, la plaie ouverte à la jambe
Qui suis-je encore, plongée dans cet engrenage infernal?
Je ne bouge pas, prisonnière d'une maison capharnaüm... (oui le mari est bordélique et ne veut rien jeter, rien donner, s'énerve quand je lui en parle, et moi pour le moment je suis incapable de prendre à ce niveau la moindre décision) Il est super gentil, fait les courses et bien d'autres choses, mais ce point là nous sépare... de plus en plus
Comment retrouver mon envie de vivre? Quand elle se cache pour le moment derrière des sentiments bien moroses (et plus que cela!)
heureusement que dans mon jardin, il y a des paquerettes qui frémissent dans le soleil...
Puisque tu vois frémir les violettes c'est qu'en toi tu sens frémir la vie.
RépondreSupprimerJe comprends tellement le désarroi que tu dois vivre Horton, infarctus et la de la douleur intense qui vole l'énergie. Je pense beaucoup à toi et accroche toi à tous les frémissements possibles. maty
Que ces pâquerettes qui frémissent dans le soleil soient pour toi le petit moteur qui va te permettre de retrouver le goût que les épreuves et les douleurs de ces derniers temps ont emporté... Je t'envoie une brassée de pensées positives et te souhaite tout le courage dont tu as besoin.
RépondreSupprimerComprendre n'a de sens si l'on a d'abord ressenti.Je suis incapable de ressentir ce que tu vis et que tu nous rends vivant.Je suis juste capable de t'écrire un petit mot, pour te dire, que oui, oui,j'aimerais alléger ta peine et ta douleur.
RépondreSupprimerDéjà lorsque tu vas arrêter de souffrir, tu te sentiras mieux.
RépondreSupprimerIl y a toujours des choses positives dans la vie. Il faut s'accrocher à elles !
RépondreSupprimerJe me représente ton jardin, que j'avais tant aimé, avec ses grands arbres et la belle pelouse. Et j'imagine bien ces petites fleurs comme autant d'étoiles d'espoir, en souhaitant ardemment que tu souffres moins.
RépondreSupprimerje t'embrasse de tout coeur.
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Oui, Coumarine, c'est cela qu'il faut faire, apprécier les petites joies toutes simples, comme regarder ces petites pâquerettes si jolies, ce sont ces petites joies qui vont te faire patienter et t'aider à attendre les jours meilleurs. Je t'embrasse très fort, ma douce et chère Coumarine.
RépondreSupprimerLa première impression qui me vient, c'est "pourquoi ?" Je ne sais pas pourquoi... j'ai pensé en te lisant que ce n'était pas pour rien. Ce que tu dis au sujet de ton incapacité de vivre dans ce capharnaüm est peut-être une des raisons à ce que tu traverses. Dans mon cas, je pense que Horton vient peut-être d'une situation que je voulais fuir sans en avoir la force et que Horton m'en a donné l'occasion. Horton était l'excuse dont j'avais besoin. Ça peut être aussi niais que ça. L'inconscient est une drôle de machine qui essaie de nous satisfaire mais parfois ça va dans un sens que l'on ne voulait pas du tout. Dans ton cas je ne sais pas, toi seule pourrait le dire. kéa
RépondreSupprimerOn ne dit jamais assez la vertu des petites fleurs. " Le pouvoir des fleurs" a pourtant été chanté.
RépondreSupprimerJe t'embrasse.
Le bric-à-brac qu'entasse ton mari n'est peut-être que son moyen de défense à lui, contre ce qui t'affecte et bouleverse aussi son quotidien... Est-ce si grave, au fond, tout ce bazar? Le conjoint aidant se sent parfois comme une éponge qui n'arrive plus à absorber un trop plein de souffrances qu'il est impuissant à soulager... Lâcher prise et s'inspirer des pâquerettes, le monde est en désordre, et pourtant, il tourne!
RépondreSupprimerBises empathiques
Je ne suis pas toi mais je peux vraiment comprendre que ce n'est pas facile ce que tu vis pour le moment que c'est même très douloureux...Mais je crois que tu es une battante. Ne te décourage pas, va au jardinte ressourcer.
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