vous le constatez, j'écris ici de moins en moins
d'ailleurs je n'écris plus nulle part, ni ici, ni des petits trucs sur FB, à peine quelques rares commentaires sur les blogs
dix fois déjà j'ai pensé arrêter l'aventure du blog, il y aura bientôt 10 ans, on va dire que j'ai donné!
mais bon, je ne me résigne pas à terminer cette aventure vécue avec tant d’enthousiasme pendant toutes ces années
Je suis nostalgique, de tous qui sont partis: ils ont accompagné ma route, je me sens seule sans eux
mais la raison principale c'est que le moral n'y est pas. ouvrir ce blog, pour essayer d'écrire quelque chose qui ME plaira, qui me prouvera que je suis pas (encore) tout à fait conne, j'y arrive pas...
rien ne vient alors que l'instant précédent, je savais sur quoi je voulais écrire... et puis trop fatigant, j'abandonne
Tous les symptômes d'une (petite) dépression
Suis allée chez le médecin il y a dix jours, il me prescrit un antidépresseur
On l'aurait parié!
Seulement je ne me suis pas encore résolue à aller chercher le médicament.
Malaise à l'idée d'ajouter ENCORE un truc chimique à tous les médicaments que je prends fidèlement depuis trois ans. Je plains mon corps de devoir affronter tout ça. Je vois le côté négatif des choses. Une personne positive dirait que c'est GRACE AUX médicaments que je ne suis pas devenue aveugle
Mais je sais moi dans quel état ils me mettent aussi; le prix à payer est énorme. (malaises divers)
Et puis je suis atteinte dans ma fierté: j'aurais aimé pouvoir surmonter cet épisode difficile de ma vie sans sombrer dans la déprime. J'aurais aimé me battre et gagner la bataille. J'aurais aimé me lever chaque matin avec un peu plus d'espoir que la veille... Certains jours cela va mieux en effet, je respire, je me dis que le pire est derrière moi. Mais cela ne dure pas, et un peu la mort dans l'âme je vais me résoudre à prendre ce foutu antidépresseur. Rien que d'écrire le mot, j'ai les larmes
Bon, on verra. Je garde le bloc ouvert. On verra
Je publie ce billet écrit en hâte, avant de l'effacer. C'est comme une bouteille à la mer. Moi (et ma force intérieure comme disent les gens!) j'abdique!
Chère Coumarine, les béquilles chimiques empêchent un peu de boiter, pas sur les blogs où les coms continuent d'arriver et d'aviver notre confiance, parfois bien incertaine.
RépondreSupprimerJe donne depuis de longues années mais en définitive la camisole est limitée et n'isole pas bien au contraire.
Garder une fenêtre sur le monde par où entrent la lumière de l'amitié est un bienfait dont il ne faut pas se priver, même s'il peut y avoir des hauts et des bas, ce qui ne fait pas des bas. Quand le temps a filé comme les bas on montre des jambes nues mais cette vérité parfois insoupçonnée ne nous abat pas toujours, il y a tant de renoncements dans une vie qui finissent pas être acceptables.
Je t'embrasse affectueusement.
mais justeement je n'aime pas ces béquilles chimiques... impression qu'elles me feront plus de tort que de bien
SupprimerTu sais je vois l'état ds lequel me mettent les médicaments que je prends en nombre depuis trois ans! ;-((
merci pour ta gentillesse, thierry
t'inquiète, il a du te prescrire un antidépresseur léger, pour une période déterminée, et cela soulage un peu le manque d'énergie. Je t'embrasse et comme d'habitude courage :)
RépondreSupprimerben oui tu vois, je m'inquiète
Supprimerje veux bien croire que ce médicament me soulagera... mais c'est comme pour la cortisone... il y a des effets secondaires pénibles...
Et j'en ai un peu marre, tu vois!
Tu sais que je suis une personne optimiste qui t'aurait dit que c'est grâce aux médicaments que tu n'es pas devenue aveugle. Je ne saurais pas te dire autre chose aujourd'hui que cela. Prends tes médicaments, tu as le droit de ne pas être forte, tu as le droit de craquer depuis le temps que tu te bats contre cette saloperie. Tu as le droit d'appeler au secours, de lancer des bouteilles dans la mer. Tu as perdu des commentateurs mais tu en as gagné d'autres. Ils n'ont pas forcément les mots que tu attends, j'en ai conscience, mais ils parlent tous avec leur cœur. Et je ne sais pas si c'est forcément une bonne idée de fermer cette fenêtre. Tu fais comme tu le sens. Et puis dans quelques jours, ton angine de l'âme ira mieux.
RépondreSupprimerQue est-ce qu'on s'en fout si c'est grâce à un médoc. Parfois c'est grâce à un mot. À une image entrevue dans le métro. A une parole entendue à la télé. Un livre qu'on a lu. Un bon repas entre ami. On ne va jamais mieux comme ça, sans rien. Il y a toujours un déclencheur, quelque chose qui nous entre par les écoutilles pour nous secouer le mérinos. Et quand on a la jambe cassée, on ne pense pas à faire le procès d'une paire de béquilles.
Je t'aime Coum.
Gros bec
tu vois Célestine ce que je redoute c'est d'ajouter ENCORE un médicament à tous ceux que je prends et qui me rendent malade une heure sur deux...
SupprimerEt tout ce que tu cites qui pourraient m'aider cela ne suffit plus... il FAUT que je fasse quelque chose pour me sortir de ce gouffre infernal
Tu as déjà ce sentiment impérieux qu'il FAUT que tu fasses quelque chose: c'est là que ton énergie se cache. Dans ce réflexe vital qui s'exprime en lettres majuscules.
SupprimerIl y a quelques années je suis allée voir mon médecin en lui disant "Je n'arrête pas de pleurer, ça ne peut plus durer". Il m'a prescrit un anti dépresseur. Et un an après je ne me disais "Mais que c'est triste de ne plus pleurer !". Parce que lorsqu'on pleure moins, on rit moins aussi... Alors j'ai arrêté l'anti dépresseur. Mais je regrette de l'avoir pris. Il n'a pas redonné de l'énergie, il a juste gommé les pics, dans tous les sens. Les bas, mais les hauts aussi. Et aujourd'hui encore, après l'avoir arrêté depuis des années, j'ai l'impression qu'il fait effet encore, je me sens plus lisse... Alors j'ai juste envie de te dire d'essayer de tenir encore un peu... C'était du P..z.c. Et non, ça ne fait pas voir la vie en rose, mais en nuances de gris avec quelques couleurs pâlichonnes.
RépondreSupprimerEt c'est totalement différent des médicaments fonctionnels, qui eux, t'ont réellement aidée.
Tu as sans doute raison, Pastelle. Sur le fond, la chimie n'est qu'un emplâtre sur une jambe de bois. Mais ponctuellement, j'ai vu des gens à qui le "pzc" a sauvé la vie. Parce qu'ils en étaient à une extrémité et que là, il ne faut plus réfléchir.
SupprimerC'est toujours très difficile de tendre la main à quelqu'un sans tomber dans les injonctions contradictoires..."tu devrais faire ça, tu ne devrais pas faire ça, et au final, fais comme tu le sens" ça demande de l'énergie supplémentaire pour démêler tout ça...mais je comprends très bien ton point de vue, qui est basé de plus sur une expérience personnelle.
Pastelle, ce n'est pas ce médicament là qui m'est prescrit, heureusement. Mon médecin référent me dit qu'il est léger
SupprimerDe toutes façons j'en suis à un point où je n'ai plus bcp le choix
On verra...
Je crois que justement Coum n'est pas dans cette extrémité, sinon elle l'aurait déjà pris, ce médoc... Moi je l'avais pris le jour même où j'ai eu l'ordonnance, j'étais trop mal. Ou je croyais l'être...
SupprimerEt je ne dis pas "Tu dois", je mets juste mon bout d'expérience dans la balance pour lui permettre de réfléchir en toute connaissance de cause.
Je crois simplement que parfois on peut attendre encore un peu... Et que si moi j'avais attendu encore un peu je serais mieux aujourd'hui. Ou plutôt, je serais encore moi...
Oups je répondais à Célestine et tu as répondu pendant ce temps Coum. J'espère que ce médicament te conviendra. :)
Supprimerje ne suis pas ds cette extrémité, mais je m'en approche... il y a des moments où j'ai peur
SupprimerJe sais aussi que le médoc ne commencera à agir que ds 15 jours...
Pastelle il semble que ce pzc ne t'ai pas convenu, heureusement ce n'est pas celui-là qu'on me propose. Sinon c'est SUR que JAMAIS je ne le prendrais!!!
Pastelle, je suis entièrement d'accord avec toi, j'ai été peut être trop injonctive en disant " prends tes médicaments" mais je sais aussi par expérience cette fois, que lorsque l'on dit " tu dois" ce n'est pas toujours mal. J'ai dû le dire à ma mère cet hiver, elle avait besoin de quelqu'un de fort à ses côtés, elle était devenue comme un enfant qui ne sait pas ce qui est bon pour lui, et la psychiatre m'a clairement dit que je lui avais sauvé la vie. Il y a des moments où l'on a besoin que quelqu'un nous aide un peu, ponctuellement, même si, je suis d'accord avec toi, Coum, tant que ta petite voix intérieure te parle, c'est toujours toi qui décides. L'extrémité dont je parle fait peur mais il ne sert a rien de se voiler la face. Ça existe. Il m'est arrivé de tenir quelqu'un à bout de bras au téléphone pendant deux heures pour l'empêcher d'aller se jeter par la fenêtre.
SupprimerMaintenant, je suis de l'avis de Charlotte. Une aide psychologique pourrait être une solution moins traumatisante pour le corps que la chimie.
PS : Et non, tu n'es pas conne ! ;)
RépondreSupprimerj'en doute parfois, parce que en plus je "perds" l'écriture. ;-)
SupprimerÇa c'est certain. Tu es loin d'être ce que tu dis. Et l'écriture ne se perd pas, c'est comme le vélo... :-)
Supprimeroui, il faut les prendre, Coumarine et je comprends ton sentiment, j'ai eu le même il y a bientôt huit ans.
RépondreSupprimer(on veut être "fort" et se passer de ces "trucs chimiques" mais on a tort, je te le dis, j'avais tort)
bises
je le prendrai quand je serai intimement convaincue que je ne peux plus faire autrement... ce qui n'est pas encore le cas puisque il y a des moments où je me sens pas trop mal
Supprimermerci Adrienne
et bien entendu, si nous donnons chacun notre avis, il y en aura de complètement divergents ;-)
RépondreSupprimerva donc t'en sortir, après ça ;-)
j'écouterai ma petite voix intérieure...
Supprimerelle se trompera pas...
mais ça m'intéresse d'avoir vos avis!
Je trouve cette phrase pleine d'espoir. Tant que tu te fies à ta petite voix intérieure, c'est que tu es là, dans la vie, bien là avec nous. Et tu vas t'en sortir, puisque ta petite voix ne te trompera pas.
Supprimerje suis sûre que je vais m'en sortir Célestine... mais il faudra du temps
SupprimerJe ne m’habitue pas à la vision monoculaire, et à la perte du champ périphérique... cela me demande énormément d'énergie
Je crois que l'élastique s'est trop détendu!!
Une aide médicamenteuse est parfois nécessaire .
RépondreSupprimerUne aide psychologique est indispensable en cas de dépression . Qu'est ce qui te retient de t'engager dans cette voie ?
je fais les démarches pour trouver quelqu'un, Charlotte, mais ce sont les vacances, et ce n'est pas si facile à trouver, une personne compétente et chaleureuse
SupprimerAccepte tout ce qui peut t'aider, Coum.
RépondreSupprimerJ'aurais tant de choses à dire, mais ici n'est pas le lieu. Promis, j'utiliserai un autre canal, tout prochainement. Tiens bon !
oh! Vertumne...prends contact avec moi, j'aimerais bien... tu es un sage... (et un poète, donc sensible...)
SupprimerToi seule peut savoir ce qui est bon pour toi, Coumarine. Ecoute ta petite voix intérieure, oui. Laisse la s'exprimer, c'est elle qui sait.
RépondreSupprimerJe t'embrasse très fort.
merci Françoise...
SupprimerOh Coumarine quel jugement sévère tu as pour toi.
RépondreSupprimerTu n'es pas conne !
Peut être effectivement un peu fière à refuser l'aide médicamenteuse.. mais je comprends très bien tes hésitations.
Comme tes autres amis bloggeurs "Ecoute ta petite voix intérieure".
Je t'embrasse fort et je te serre dans mes bras.
merci Suzame de ton passage, toujours affectueux
SupprimerBonjour Coumarine,
RépondreSupprimerJe suis arrivée sur ton blog en suivant des liens d'un autre blog... donc par hasard. J'ai lu ton billet qui se trouvait dans une bouteille à la mer et son contenu m'a ému. Je suis sûre que ta petite voix intérieure sera de bon conseil.
bienvenue Maritxan
Supprimeroui oui je l'écoute ma petite voix intérieure, je l'écoute en écrivant mes sentiments profonds (dans mon cahier secret!!)
Oh Coumarine, ne sois pas si dure avec toi même ! Tu sais , à cause de ma phobie social, j.ai du me résoudre par 2 fois dans ma vie a prendre des antidépresseurs pour me permettre d.affronter. J.ai réagi comme toi a chaque fois, mais il n.y avait pas d.autre solution valable, et ça m.a aide à ne pas tomber plus bas. Toi seule sais, au fond de toi, ce qui est le mieux pour toi, écoute ta petite voix, elle te dira quel est le bon choix, ou quel est le moins pire et sois indulgente avec toi comme tu peux l'etre avec les autres. Courage Coumarine, courage :)
RépondreSupprimerah! Cassy... d'avoir écrit ce billet m'aide à décanter un peu... je suis restée des jours plantée devant mon ordi sans écrire un seul mot
SupprimerEcrire a débloqué quelque chose. En fait je ne souffre que d'une déprime passagère, pas d'une véritable dépression
Et elle est dur en grande partie au syndrome d'anniversaire... trois ans aujourd'hui que j'ai chopé cette foutue maladie de Horton...
Les environs du 15 aout sont difficiles à vivre pour moi!
Merci Cassy
Bonjour Coumarine,
RépondreSupprimerJ'arrive comme Maritxan au hasard de mes pérégrinations, entre nous de chez Alma... Pour trouver une bouteille qui enferme un message, sur cette plage toute rose toute douce...
J'ai tâté de l'anti-dépresseur, pas longtemps après tout pourquoi pas ?
L'écriture, une fois un peu d'énergie retrouvée, c'est comme une amie... Surtout ne pas l'abandonner, pas trop ! D'autant que la vôtre semble si intéressante...
Je reviendrai vous lire ! J'y compte bien !
Amitiés
Bonjour Pascale Madeleine et bienvenue dans mon antre!!
SupprimerJe m'en sortirai, j'en suis sûre et certaine, d'ailleurs je réponds aux commentaires... c'est dire!!
Amitiés à vous aussi
Oui, ta petite voix intérieure te dira de prendre ou de ne pas prendre... Cependant que son murmure ne soit pas faussé par une posture radicalement forte... Le roseau plie mais ne rompt point... Accepter ce tumulte intime et se faire accompagner un petit bout de chemin. Je l'ai fait à plusieurs reprises et je ne l'ai jamais regretté. Parallèlement, j'étais soutenue par des médicaments homéopathiques et phytothérapiques ou par l'acupuncture qui n'altéraient pas le champ de ma réflexion. J'ai écrit aussi, mettant à plat mon cheminement introspectif... et puis je m'obligeais à rester connectée au monde extérieur. Juste ce regard vers dehors de soi, sans attendre que les autres comprennent vers où je m'étais égarée... Etre heureuse qu'ils soient là simplement et qu'ils me prennent dans les bras... Laisse couler tes larmes, Marraine Soleil, plus elles couleront, plus elles emporteront loin cette bouteille à la mer et plus tu récolteras en retour l'aide qui te porteras. A tout bientôt, Coumarine, je te bise avec tendresse...
RépondreSupprimermerci Aimedjee pour ton commentaire
SupprimerJ'ai plus besoin de parler et d'être écoutée que de prendre un truc chimique
Tu as peut-être lu plus haut que le 15 aout est une date anniversaire pour moi, difficile à passer
Je me suis recroquevillée en attendant qu'elle passe... et ... ça y est. Ce soir je serai "hors de danger!!!
Oui bon c'est tout une histoire ce qui m'est arrivé le 15 aout 2011... si tu veux en savoir davantage va lire mes billets de cette époque...
Merci pour ton message comme toujours si amical!..
Ben dis donc ma belle, ta bouteille à la mer provoque un raz de marée ! Tu vois que tu n'as pas perdu tout le monde...
RépondreSupprimerPas de conseil de ma part, j'ai confiance dans ta jugeote et ta détermination.
Mille pensées affectueuses !
Walrus... ma nostagie ne porte pas sur les commentateurs que j'aurais perdus...
Supprimermais sur les blogueurs qui disparaissent: soit qu'ils arrêtent leur blog, soit qu'ils sont décédés ;-(
En dix ans, il y a 5 blogueurs qui sont ainsi partis... dur dur quand même
Merci pour ton affection!
Ce genre de période, on les connaît tous un jour ou l'autre. Un seul conseil, si je peux me permettre : ne ferme pas ce blog. D'abord parce que tu as écrit plein de choses et que chaque article fait partie de ta vie, que tu y as consacré du temps, de la joie ou de la tristesse mais un peu de toi. Ensuite, parce que plein de gens aussi ont passé un peu de temps à te lire et à te répondre. Jeter le blog c'est jeter tout ça. Ne plus y venir, un temps, longtemps, toujours, pourquoi pas. C'est très personnel. Mais tant qu'il est ouvert, il est là et un déclic peut se produire.
RépondreSupprimerQuant au reste... je suis un peu dans ton cas. Plein de médicaments divers et variés et un malaise qui perdure depuis plusieurs mois. Pas d'anti-dépresseur. Pas encore parce que je ne me résous pas à admettre que mon état puisse avoir quelque chose à voir avec la dépression. Pas que j'en aie honte, non mais je n'aimerais pas, comme toi, que ça s'ajoute à la longue liste des autres choses. Pourtant, ceux qui prennent ces anti-dep peuvent aller mieux, un temps. Le risque c'est de trop s'y attacher, d'en avoir besoin tout le temps après. Mais, si ça permet d'aller mieux, après tout. Je te souhaite d'aller mieux, avec ou sans ces cachets. Courage.
Bonjour Béatrice... voilà c'est ça: devoir ajouter un truc chimique à tous ceux que la maladie m'oblige à prendre en quantité depuis 3 ans... c'est à ça que je ne me résous pas
SupprimerQuant au blog... j'y tiens BCP! je ne pense pas, ni l'arrêter, ni le supprimer... il m'a accompagné durant toutes ces années (dix ans!)
J'ai simplement ralenti le rythme de parution de mes intéressants billets ;-))))
C'est un cycle normal et tout le monde passe par là, je crois. Tout ce qui compte c'est de savoir qu'on peut y revenir, reposter quand on en a envie, beaucoup ou de temps en temps. Au choix ! Bonne soirée.
SupprimerUn article simple et très intéressant, sur lequel je viens de tomber par hasard...
RépondreSupprimerhttp://lecerveau.mcgill.ca/flash/a/a_08/a_08_p/a_08_p_dep/a_08_p_dep.html
Peut être que ça pourra guider ta petite voix, qui sait ? :)
Tu sais quoi Pastelle... je ne pense pas souffrir d'une véritable dépression! Mais d'un épisode dépressif (d'une déprime donc??? ) comme tant de gens!
SupprimerDonc ça ira! dixit ma petite voix ;-)
Conne... c'est un peu fort n'est-ce-pas Coumarine ;)
RépondreSupprimerOn redoute souvent de prendre des médicaments mais souvent il faut passer par un traitement pour se sortir d'un mauvais moment.. tout doucement on se fait une raison aussi !
Toute mon amitié Coumarine.
merci brigou merci pour ton passage ;-)
SupprimerComme tout le monde, ici, je te souhaite beaucoup de courage (et tu en as du courage... Et, comme le disait quelqu'un que j'ai connu... Il faut parfois beaucoup de courage pour avoir... Un tout petit peu de courage!) Je n'ai pas d'avis à donner sur la question des médicaments sauf qu'en général, je fais confiance aux médecins. Même si cela ne me fait pas toujours plaisir... Je comprends aussi ta tristesse, pour les blogues, je viens de lire le point final de Bernard M. C'est un peu tristounet... Je devrais m'y remettre aussi... Pas beaucoup de courage, phénomène de procrastination connu... Mais allez, ce 15 août touche à sa fin... Et il vaut mieux être maintenant qu'il y a x temps... Je t'embrasse !
RépondreSupprimeroui, c'est triste quand les blogueurs mettent le point final à leur blog ;-(
SupprimerQuant aux médecins, je leur fais une confiance qui discute des traitements qu'ils me donnent... je n’accepte pas tout et surtout, je discute!!
(oui contente que le 15 aout se termine!!
Bonjour Coumarine,
RépondreSupprimerJe ne viens pas te donner de conseil, étant donné que je n'en ai pas les compétences et que chacun vit ce genre de situation différemment.
Alors je suis juste venue accueillir cette bouteille à la mer avec émotion et te soutenir.
Tu as bien fait d'écrire ce billet en tout cas.
Bon courage Coumarine.
je crois en effet que j'ai bien fait
SupprimerJ'ai pu donner le coup de pied au fond de la piscine
J’écrirai un billet à ce sujet très bientôt!
merci!
Je prends le blog en chemin et je lis deux autres textes après celui-ci assez triste à lire. Ouf ! L'anti-dépresseur n'a pas tari la source des cris. Joies ou misères, tout fait farine au moulin. Dix ans de blog appellent une continuation, même sporadique. Les fidèles continuent à lire, quelque soit le rythme de publication. Haut ton coeur, Coumarine, pour nous éviter des hauts-le-coeur.
RépondreSupprimermerci Patrice...
RépondreSupprimerce blog j'y tiens, je ne l'abandonnerai pas je crois...