Beaucoup de commentaires, certains m'ont émue profondément.... certains m'ont fait réfléchir aussi, m'ont apporté bcp...
Beaucoup de mails privés aussi... je réponds à mesure des urgences et de mes capacités physiques (encore bien faibles pour l'instant, mais chaque jour un peu mieux!)...
Merci à vous, je redis la chance inouïe d'avoir autour de moi un réseau, qui pour être virtuel, n'en est pas moins réel. C'est bon, c'est chaud...
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Tania (de Textes et prétextes) a fait un compte rendu de mes Dessous de tables, dans lequel je me retrouve absolument: elle a lu mes nouvelles avec finesse et compréhension
Je suis particulièrement heureuse qu'elle ne fait pas l'amalgame entre la Coumarine que vous rencontrez dans ce blog, positive et je l'espère chaleureuse, et l'auteur qui fait son travail d'auteur, càd que les histoires que je raconte, parfois sombres, procèdent de mon travail d'auteur: et j'aime ça: explorer des mondes qui ne me sont pas à priori familiers, que ce soit dans l'Histoire, dans d'autres cultures, ou dans le simple quotidien qui cache, "en dessous des tables" tant de mystères drôles ou douloureux... Merci Tania
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Le7 septembre dans les locaux de la Sabam à Bruxelles (société des auteurs belges) à 9h 30, je serai longuement interviewée par un auteur belge dont j'apprécie énormément la délicatesse et la chaleur humaine qu'il témoigne aux auteurs qu'il interroge... Vous y êtes les bienvenus (un excellent petit déj est offert aux présents (il faut avertir simplement), puis je dédicacerai mes livres..
C'est dans 15 jours, il me reste à récupérer ma forme physique, pour faire face au défi de répondre à une heure et demi de questions réponses. J'y arriverai, je suis confiante, à chaque jour suffit sa peine.
Je vous souhaite une belle journée... sachez que le sentiment qui m'anime en premier est la gratitude, j'aime la vie...encore plus, et ne veux plus m'attarder aux détails qui stressent... m'informer, oui, être responsable, oui, me laisser démolir par la noirceur du monde, non!
Cet accident de santé (qui n'est pas le premier) me situe à un carrefour important de ma vie, que je désire gérer avec confiance et détermination... Pas mal de choses sont en train de bouger en moi... bouger, c'est la vie, non?
Heureuse de te lire, de te savoir à nouveau là :))
RépondreSupprimerQue de beaux projets à venir, quel bel ode à la vie surtout :))
De douces pensées pour ton rétablissement.
Des pensées douces, des câlins des encouragements encore et encore. Tendresse chère Coum :)
RépondreSupprimerJulia
Ne jamais se « laisser démolir par la noirceur du monde » ! J'avais écrit (il y a plus de cinquante ans...) cet aphorisme au dessus de mon lit de collégien-pensionnaire. Était-ce ma première rencontre avec Coumarine ? Aujourd'hui je le sais.
RépondreSupprimerMerci ! Je t'embrasse de tout mon coeur de troubadour.
Comme ton précédent article, je ne sais pas quoi écrire, de peur d'être à côté de la plaque. Alors, juste un petit message pour te dire que je pense à toi, te souhaite bon courage et bon vent à tes livres. A bientôt.
RépondreSupprimerC'est beau cette belle énergie de VIE que tu nous offres, à travers tes mots et malgré cette épreuve, tu fais preuve d'une sagesse exemplaire, sincère. Tu es portée par la Grâce! MERCI COUMARINE!!!
RépondreSupprimerde beaux événements en perspective pour donner l'envie et le courage d'avancer, bien à toi !
RépondreSupprimerJe vois que tu repars direct dans la vie active. tu as beaucoup de courage et je t'admire. Tu me fais penser à un arbre dans le grand vent, un arbre dont certaines branches casent mais dont le tronc reste solide et fier. Amitiés.
RépondreSupprimerJe suis "portée", tout simplement par le souffle de la Vie
RépondreSupprimerIl y aura des moments plus difficiles sans doute, je le sais, je devrai au max puiser dans mes ressources intérieures
Petit Belge, je t'en prie n'aies pas peur d'être "à côté" de la plaque... sois toi-même, comme je veille à l'être... tes mots portent et me réconfortent
De même certains (nombreux d'ailleurs) m'ont écrit qu'ils n'osaient pas me mettre un comm
Et pourtant... ces comm m'ont portée sur l'eau de ma tempête durant la semaine écoulée...
Je vous en prie, n'hésitez jamais à vous exprimer... c'est valable pour moi et pour n'importe quelle personne "en souffrance"
Merci aussi pour le courrier postal reçu...je peux pas vous répondre à chacun, mais...vous savez que je les reçois avec reconnaissance...
J'espère bientôt revenir vous visiter, mes amis blogueurs...pour l'instant c'est encore trop tôt.
RépondreSupprimerJ'arrive (lentement)à écrire sans trop de problème... c'est-y pas merveilleux????
Je ferai très court aujourd'hui, tu as bien des choses à lire.
RépondreSupprimerJe voulais seulement t'adresser le plus beau des sourires, celui que j'ai eu en découvrant tes mots pleins de vie, tes mots qui te ressemblent...
Tendrement.
Heureuse de te sentir si pleine de courage, mais ménages toi....je viendrais chaque jour voir si tu donnes de tes nouvelles!!! Bonne signature je regrette d'être si loin!!! Bises
RépondreSupprimerBon courage Coumarine. Mes pensées et voeux vont vers toi.
RépondreSupprimeroui bouge-bien Coumarine et surtout récupère au maximum. Je sais que tu as du courage, mais je t'en envoie en plus, Bises...
RépondreSupprimerbon courage et prompt rétablissement.
RépondreSupprimerChère Coum,
RépondreSupprimerj'espère que tu le sais mais je viens te le dire de nouveau, tu comptes pour moi.
Dans ma vie, plein de changements et surtout plein de décisions à prendre pour accepter le grand tournant de la retraite professionnelle.
je t'embrasse et te porte dans ma prière.
nicole
Je ne savais pas que mon article sur la grande vague de Kanagawa aurait pu avoir un écho chez toi mais maintenant je comprends.
RépondreSupprimerNicole, je suis ému mais en même temps j'apprends en te lisant. Au moins autant qu'au travers de toutes les leçons d'écriture que tu m'as données.
Je te lis, tu grandis, nous apprenons. :)
Bonsoir Coumarine, je te fais de grosses bises et je me souviens encore de notre rencontre à la mairie du 11ème arrdt à Paris. Cela reste un beau moment.
RépondreSupprimermerci , encore merci de nous donner des nouvelles
RépondreSupprimerJe suis heureuse , vraiment soulagée de savoir que tu peux à nouveau écrire , mes pensées t'accompagnent très souvent au cours de mes journées , je pense à toi , à tout ce que tu m'as déjà apporté , et à cet avenir que tu saisis de manière positive
Oui , oui !! évidemment , j'ai pensé comme Tania en lisant "les dessous de table " , il ne faut pas faire l'amalgame entre ce blog de vie et un ouvrage de nouvelles qui nous emportent nous lecteurs , dans des histoires de vie , incroyablement bien ficelées , ou se mêlent la jalousie , les remords , les vengeances , et la mort
C'est ça tout le talent d'un auteur
Je relirai cet hiver , et je ferai un billet sur ce livre , je te le promets
Prend le temps qu'il te faut , la ronde est très très grande autour de toi
Je t'embrasse
Bonjour Coumarine. Devant tant d'acceptation, de courage et de force, je n'ai pas grand chose à dire si ce n'est MERCI car en même temps tu nous transmets tout cela. Je ne laisse ce message que sur le conseil de Colette (je crois!) "Il est sage de verser sur le rouage de l'amitié l'huile de la politesse délicate." C'est donc tout simplement pour te dire que je continue (et continuerai) à te lire en silence (je sais pourtant que tu es soucieuse d'être lue en silence!)car écrire n'est pas très facile pour moi...alors continue Coumarine à prendre bien soin de toi et à nous faire vibrer à travers ce blog et tes livres.
RépondreSupprimerJe t'embrasse.
Maman disait souvent "la vie ne vaut rien mais rien ne vaut la vie"
RépondreSupprimerBravo pour ton optimisme, Coumarine. Je pense à toi.
RépondreSupprimerMerci, Coumarine. Bravo pour la confiance et la détermination ! Bonne chance pour franchir ce carrefour délicat mais sans doute porteur.
RépondreSupprimerUn projet ça porte. Tu as juste le temps de reprendre des forces avant ce rendez-vous du 7.
RépondreSupprimerBonne chance
Si tu parviens à écrire, c'est génial, il va te pousser des ailes et une inspiration nouvelle. Pour l'entretien, c'est trop loin, je serais allée te soutenir avec joie, çà se passera très bien j'en suis sûre. Grosses bises Coum.
RépondreSupprimerJe suis vraiment sous le choc... Mais j'espère que tous ceux dont tu es entourée (j'en suis sûre), dont ceux qui ont parfois souffert très fort physiquement - et qui vivent souvent des vies si intenses - t'aideront à passer ce cap, maintenant, mais plus tard aussi.
RépondreSupprimerJe pense vraiment très fort à toi, j'espère que vous vous débrouillez aussi pour tout le côté administratif - lié à la maladie, je t'envoie, pour ça aussi, des maxi-doses de courage.
Repose-toi bien, surtout... Et gros bisous !
Comme c'est bon de lire ce titre et de savoir que tu peux caresser la lumière de ton regard.
RépondreSupprimerComme c'est bon de savoir que le combat a été (à moitié) gagné, que tu vois. Par quelles angoisses tu as dû passer, je n'ose l'imaginer...
Comme PB, je ne trouve pas les mots, ils sont trop pauvres, trop malhabiles, tu vois, mais je t'ai laissé quelques maigres petites choses afin de te dire que tu es entourée et que je pense bien à toi. Courage pour cette rapide reprise. Je t'embrasse
Je reviens de vacances et découvre tes déboires. Je viens souvent par ici sans toujours me montrer. Si tu es déjà venue faire des petits tours par chez moi (nous) tu as du découvrir que la vie prend souvent le dessus sur les difficultés, avec des larmes et des coups de blues,mais si l'amour est là, tout est possible! Repose toi bien, ne passe pas trop de temps sur l'ordi!!A bientôt, bon courage.
RépondreSupprimerOuep! la vie ça bouge, c'est merveilleux, c'est extraordinaire! TU es extraordinaire de souffle, de rebondissement, de chaleur, de VIE!
RépondreSupprimerBravo Coumarine
je t'♥!
Bon rétablissement Coumarine !!
RépondreSupprimerle 7 septembre, je serai devant une de mes classes, mais je penserai à toi :-)
RépondreSupprimerbravo pour la sagesse et l'appétit de vivre, et bon rétablissement, Coumarine!
Vive la vie!
RépondreSupprimerC'est tout à fait ça. "Bouger c'est la vie". Même un tout petit pas. Et toi tu fais des pas de géante. Merci pour le bel exemple.
RépondreSupprimerJe ne te connais que trop peu, à travers peu de mots mais ceux-là m'ont déjà donné l'idée que tu étais une femme digne, respectable, chaleureuse, courageuse et humaine. J'allais oublier talentueuse. Je souhaite que les épreuves que tu continues de subir avec le sourire te grandissent (si c'est possible) et que tu retrouves une forme d'acceptation sereine. Sans perdre de ta verve ! Je lirais bien un de tes ouvrages, je vais fureter sur ton blog pour savoir où me les procurer.
RépondreSupprimerJe t'adresse toute mon amitié, et te souhaite des jours meilleurs, des jours aussi beaux que le roseau, qui comme toi "ploie mais ne se rompt pas "...
Contente de te savoir battante et pleine de vie !
RépondreSupprimerBeau dimanche, Coumarine !
Super, ces coms, Coumarinette ! La blogo, c'est quand même qqchose, hein. Je serai à la Sabam le 7 septembre, avec enthousiasme. Je t'embrasse bien affectueusement
RépondreSupprimerJuste venue te dire bonjour et que tu es dans mes pensées.
RépondreSupprimerJ'aime quand il y a du soleil le matin!
RépondreSupprimerRepose toi bien pour être en forme le 7, les visites peuvent attendre...
Je suis toute heureuse de te savoir en meilleure forme. Plein de jolies pensées pour toi et tes proches!
Un petit coucou à Filo Filo par la même occasion en passant quelques heures après elle!
Bruxelles et le sept septembre ne semblent matériellement pas loin. Mais la capitale malgré tout et encore à distance trop critique, s'il faut en croire la faculté qui me cornaque. Et les calendriers, des utopies fantaisistes pour qui se trouve limité au jour le jour.
RépondreSupprimerReste ce voeu que je vous envoie sous forme d'avion en papier. Que vous vous libériez de cet accident à l'un des carrefours de votre cheminement. Et repartiez les cheveux dans le soleil et les yeux dans les étoiles.
Je m'en veux, prise par moult activités, de n'être pas passée ici depuis trop longtemps. J'apprends donc en même temps ta maladie et ta guérison, chère Coumarine. Tu ne manques assurément ni de courage ni d'amour autour de toi, et je suis sûre que tu vas retrouver avec entrain ta vie et tes activités. Mais il faudra désormais prendre bien soin de toi.
RépondreSupprimerJe t'embrasse amicalement.