mardi 21 juillet 2015

Bouger pour ne pas geler

Je tombe aujourd'hui par hasard sur ce passage de "Femmes qui courent avec les loups" de Clarissa Pinkola Estes

"La femme écrivain dont l’inspiration se tarit sait que la seule solution, c'est d'écrire pour contrer cette sécheresse... [...]
La solution? Aller de l'avant, se battre. Prendre la plume, la poser sur le papier et cesser de gémir. Ecrire. [... ]
Ce qui bouge ne peut en général geler. Alors, bougez.

Se battre, bouger, pour ne pas geler intérieurement...
Il faut bien reconnaître que je me suis figée. J'ai abandonné la lutte. L’ordinaire et le quotidien me prennent de l'énergie. Beaucoup. La lutte je connais ça... Alors pour ce qui est de l'extra-ordinaire, à savoir "écrire", j'ai (pour l'instant) perdu la bataille. Je me tiens loin de ce champ de bataille, dans la peur de me perdre encore plus.
Pourtant, Clarissa a raison. La seule solution, c'est d'écrire, de poser la plume sur le papier et cesser de gémir. Je l'ai dit si souvent à tous ceux que j'accompagnais sur leur chemin d’écriture. Pourquoi suis-je si peu capable de le faire pour moi-même?


                                                                                                                                                                                                                                                                                                                       

52 commentaires:

  1. aha bonne question, merci de l'avoir posée ;-)

    (je suis bien d'accord avec cet extrait, "Aller de l'avant, se battre. Prendre la plume, la poser sur le papier et cesser de gémir. Ecrire.")

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    1. voilà! ça semble tout simple hein?
      faut juste le faire ;-)

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  2. oui oui mille fois oui Coumarine! on est toutes menacées de geler, il y a plein de bonnes raisons qu'on met en avant (moi la prem, d'ailleurs) quand tu écris cela je sens que ça me fait des fourmis dans les jambes
    allez on y va! et on s'encourage toutes quand l'une d'entre nous fléchit
    bises chaleureuses

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    1. j'ai besoin Sylvie de relever des défis, et je lis que je ne suis pas la seule...
      Pour ne plus m'enliser dans mon incapacité à écrire quoi que ce soit... oui, j'ai besoin d'être encouragée...

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  3. Je suppose que nul(le) n'est prophète en son pays, même si ce pays est celui de l'écriture ;-)
    Bises !

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    1. je ne comprends pas trop ton commentaire, cher Walrus. Si tu reviens tu l'explicites?
      Bises aussi

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    2. C'était en rapport avec ton dernier paragraphe, j'aurais peut-être dû dire "Médecin soigne-toi toi-même !" mais ça t'aurait peut-être paru un peu agressif ?

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    3. oh! rien de ce que tu me dis, ne me semble agressif, Walrus!
      Donc c'est en écrivant que je pourrais renouer avec l'écriture?
      Célestine vient de me donner une idée super: c'est vraiment de ça dont j'ai besoin... être encouragée... et je l'avoue humblement!

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  4. "Pourquoi suis-je si peu capable de le faire pour moi-même?"
    Peut-être faut-il juste accepter cet état pour le moment.
    Je ne pourrais décrire le processus de l'acceptation mais pour l'avoir vécu bien souvent des changements s'opèrent que l'on aurait pas imaginés. Maty

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    1. chère Maty... il y a tellement de choses qu'il me faut accepter, Je ne suis pas prête d'accepter de ne plus pouvoir écrire.Cela faisait partie de ma vie... c'est dur!

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    2. "Je ne suis pas prête d'accepter de ne plus pouvoir écrire"
      je me suis mal exprimée Coumarine. Par acceptation je ne voulais pas dire d'arrêter mais pour moi l'acceptation profonde d'un fait, d'un état est égale à une guérison car dans l'acceptation les blocages sont dissous. Je ne sais pas pourquoi, ni comment... maty

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    3. j'essaie depuis presque 4 ans "d'accepter" cette foutue maladie qui a démoli mon corps, et m'empêche d'écrire!
      Parfois j'accepte et le lendemain tout est à recommencer
      Je ne sais as encore ce que c'est une acceptation profonde... mais j'y travaille chaque jour

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  5. Bonsoir Coumarine,
    Gazou semble te répondre aujourd'hui :
    http://gazou.eklablog.com/ecrire-et-se-relier-a118225478
    j'aime tout particulièrement la dernière strophe :
    Peut-être que écrire, c'est d'abord se plaire
    en sa propre compagnie,
    être pleine de tendresse pour soi-même
    et ainsi pouvoir l'être avec les autres,
    partager avec eux ce qui nous émerveille,
    nous étonne,nous rehausse,nous donne du sens...
    Ecrire...c'est pour se relier...

    je te souhaite de te relier

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    1. merci pour le lien, chère Nicole
      partager ce que tu dis, comme tu me dis... oui je crois pouvoir encore faire ça. Merci de m'encourager!

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  6. Je ne sais pas si Clarissa a raison…
    Pourquoi forcer les choses ? Pourquoi "se battre" (et contre qui) ? Par contre, oui, il est vrai que gémir ne sert à rien…

    Je ne suis pas "femme écrivain" (est-ce différent pour les non-femmes ?) mais lorsque l'écriture ne coule plus, je ne m'en formalise pas. Tout au plus fais-je comme toi : écrire sur le fait que je ne parviens pas à écrire. Écrire répond à une envie, si ce n'est un besoin. Quand ce n'est pas là… il y a bien d'autres choses à faire :)

    Et si tu t'accordais, sans vergogne ni scrupules, le droit de ne pas écrire ?
    :)

    Amitiés

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    1. Le problème Pierre, c'est que les autres choses à faire, je n'ai pas davantage de courage pour m'y mettre.
      Je me suis accordée un mois entier le droit de ne as écrire? Et cela me rend triste, inquiète.
      Il fallait que je tente de remettre le moteur en route. Et cela me demande un effort
      Oui! pour moi Clarissa a raison, j'ai autrefois expérimenté que de mettre la plume sur le papier ... faisait venir les mots
      Il y a juste le courage de faire le premier pas!
      Amicalement aussi

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  7. j'ai une petite idée, oh, toute petite et certainement pas formidable, mais je te la dis quand même.
    Que dirais-tu d'écrire cent mots par jour en participant aux "366 réels" de Raymond Queneau ?Je t'assure que cent mots ce n'est rien pour quelqu'un comme toi. Ton billet d'aujourd'hui, par exemple, fait 182 mots. Mais chaque jour tu pourrais écrire un peu, et la machine se relancerait.
    Je t'assure qu'au bout d'un moment cela devient une vraie drogue. Et tu as un espace tout prêt à accueillir tes textes (ton blog "tout n'est pas fini" porte un titre presque prémonitoire, et il attend tes billets tout frais pondus)
    Qu'en penses-tu ?
    Bisous chère Coum
    ♥︎

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    1. wouaw... au contraire c'est une idée géniale!
      J'ai vu en effet que certains (dont toi) participaient à ce petit défi quotidien
      J'avais complètement perdu de vue que j'avais créé ce blog dont tu parles... Je peux en effet l'utiliser pour y écrire mes cent mots du jour!
      Merci Célestine... je t'embrasse fort

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    2. Je trouve l'idée de Célestine géniale.
      Je suis moi-même dans une phase sans énergie pour écrire, pas d'inspiration et forcément peur de ne pas la retrouver. Et pourtant je n'ai pas tes ennuis de santé !!!! Alors oui, 100 mots par jour, c'est une bonne idée, tu peux le faire 😀

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    3. voilà Cassy, j'ai commencé aujourd'hui!
      L'effort n'est pas trop grand: cent mots par jour!
      Mais ce blog "des cents mots" restera encore confidentiel...
      Et qu'est-ce qui t'empêche de commencer ce défi?

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    4. je suis heureuse que tu aies franchi le pas, ce petit pas à renouveler chaque jour (bon cela ressemble à du Thérèse de Lisieux dont j'ai découvert qu'elle est beaucoup plus audacieuse que je ne le croyais). A toi de voir si ton blog doit rester confidentiel ou s'ouvrir, chaque chose en son temps.
      A bientôt

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    5. ^j'ai juste un peu peur de n'avoir pas assez de persévérance... oups!

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    6. Thérèse disait qu'il nous est juste demandé de faire le premier petit pas et d'avoir confiance, bon, elle était sainte et nous ne le sommes pas (encore). Réapprendre la confiance malgré nos ratés et nos doutes, nous pouvons le décider chaque jour, même si la veille ça n'a pas marché.
      je t'embrasse.

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    7. Tsss, je viendrai te botter le c.. , moi qui suis un empereur de la procrastination: je voudrais pas que tu me battes dans ce domaine ! ;oD

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  8. "Pourquoi suis-je si peu capable de le faire pour moi-même?"

    Parce que si on suivait les conseils qu'on donne au autres, ça se saurait... ;-)

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    1. hello Le gout!
      C'est vrai! on sait toujours mieux que les autres ce qu'il y aurait lieu de faire... ;-(
      Quant à passer à l'action....lol

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  9. Parce que peut-être n'en as-tu plus vraiment envie, peut-être parce que tu as besoin d'une pause authentique ou peut-être d'un abandon ou pour toute autre raison fondamentale... seul ton vrai désir compte, enfin me semble-t-il...

    Une bise et passe le meilleur été possible, Bleck

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    1. ah! Bleck, la pause authentique voilà que je l'ai prise... et il est évident pour moi que je ne veux pas perdre le contact avec l’écriture!
      Un bon été est un été où je me suis réconciliée avec ma plume
      Ouf! je suis bien partie!

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  10. La question est en fait: as tu toujours le désir d'écrire? Si c'est oui pourquoi te prives tu?Quel bénéfice secondaire tires tu de ne pas suivre ton désir ?
    En tous les cas, j'ai été bien contente de te lire aujourd'hui. Cela faisait longtemps

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    1. réponse à ta Q: ben OUI bien sûr que j'ai toujours le désir d'écrire, que serais-je autrement?
      Et je te le jure: je ne me prive pas, du moins pas volontairement
      Je n'y arrive(ais) pas, tout simplement
      Malgré la canicule, j'étais gelée!

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  11. Parce que les cordonniers sont souvent les plus mal chaussés, parce qu'on ne peut pas être sur tous les fronts, parce que parfois il nous faut du temps.
    De la bienveillance Coumarine !
    Douces pensées

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    1. Coudy oui, il m'a fallu du temps, mais je crois que cete fois, c'est reparti! Merci à ta bienveillance à toi...

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  12. "Bouger pour ne pas geler" ..... Chère Coumarine, depuis des semaines où nous sommes tous un peu accablés de chaleur, j'ose suggérer que "Ne pas bouger sauve parfois !" Réfléchir le moindre geste, attendre le meilleur moment.
    Ce n'est pas parce que tu n'écris pas que l'écriture n'est pas en toi. Elle n'est pas sur le papier, mais c'est une autre histoire. Il y a tant de façons d'écrire .....

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    1. ah! Anne, j'ai failli corriger ce titre bizarre: parler de gel alors que la chaleur sévit un peu partout!
      Je l'ai laissé cependant, je le toruvais parlant!
      Oui les mots sont pour toujours gravés en moi!

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  13. Ecrire.. Courmarine... je l'ai fait modestement ... et puis à mon tour j'ai gelé..

    La semaine dernière je suis allée sur le blog d'Asphodèle et j'ai regardé ses dernières Plumes... auxquelles j'ai cessé de participer depuis longtemps...J'ai recueilli la dernière liste des mots proposés.. elle est dans mon sac.. mais je n'ai toujours rien écrit...
    L'atelier d'écriture ce ne sera pas encore pour cette année... je me suis réinscrite au club photo pour le mois de septembre et je vais recommencer la biodanza avec ma belle-soeur... trop de propositions le lundi...

    Mes mots sont aussi quelque peu gelés... mais ils sont bien là.. dans ma tête.

    Belle journée à toi.

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    1. Suzame...allez! lance toi!
      J'irai voir aussi la dernière proposition d'Asphodèle... GO! on y va... d'accord?

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  14. Pourquoi penser que tu ne peux plus écrire? Ce ne sont pas les mots qui sont gelés mais ton corps et ton esprit qui sont fatigués de lutter. Cela se transmet à ce qui fait partie de toi, à savoir l'écriture.
    Peut-être faut-il écouter cette fatigue, faire des "exercices de style" comme d'autres font des gammes pour se dégourdir les doigts, mais légèrement, sans obligation de résultat. Petit à petit, cela reviendra avec les forces de vie parce que c'est tout un, quand on écrit.
    Je te souhaite de recouvrer sérénité et santé, le reste suivra, j'en suis sûre.

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    1. mon corps et mon esprit sont en effet gelés... je ferais n'importe quoi pour revenir comme avant. Ce qui n'est bien sûr pas possible!
      Oui les exercices d'écriture, j'ai recommencé... je m'y tiendrai
      Merci pour ton souci

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  15. Oui moi aussi je considère que le premier pas est toujours l'acceptation. Si je suis en train de me noyer, il faut d'abord que j'accepte que c'est ce qui se passe. Si je refuse je m'enlise encore plus et risque vraiment de me noyer. Et accepter ne se fait pas par volonté parce que ça c'est le contraire de l'acceptation. Le vrai lâcher prise se produit lorsque "je" disparaît du portrait. Et là la merveille des merveilles se produit, de la magie littéralement. Une expérience fascinante que tu as déjà vécue j'en suis sûre ! Mais avant d'en arriver là... oh qu'il faut en manger... d'la misère ! kéa

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    1. juste une question kéa: subis-tu les effets secondaires des médicaments que tu prends?
      Moi oui et TRES fort
      C'est ça que j'ai à accepter et je n'y arrive pas comme je voudrais

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    2. Tu as raison Coumarine, c'est pratiquement inacceptable ! parce que dans cet état il m'est presque impossible d'aligner deux pensées bout à bout.
      Pour ma part je ne prend que les corticoïdes. Tout autre médicament que le médecin a essayé de me prescrire (même les vitamines) c'est impossible pour moi de les prendre à cause des effets cumulatifs. J'aimerais mieux disparaître que de toffer ça comme on dit chez-nous ! C'est sûr que j'ai pas mal de douleurs, je dors un peu ici un peu là. Alors quand c'est trop, c'est trop et automatiquement j'abandonne (heureusement pour moi je ne suis pas trop une battante). Bizarre combien ça me soulage et allège le fardeau. Un mystère ! Je suis entre bonnes mains malgré tout, c'est mon feeling profond. kéa
      Je m'inquiète pour toi, tu as tellement à traverser, bien plus que moi !

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    3. en plus des corticoïdes, je prends un immunosuppresseur qui me rend malade...
      Je n'ai pas le choix... c'est ça ou la rechute de l'artérite temporale
      Merci de ton souci, kéa

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    4. Chez moi l'analyse d'un prélèvement au niveau de l'artère temporale démontrait une artérite à cellules géantes. La spécialiste a essayé différents médicaments en plus des corticoïdes, mais comme je n'en supporte aucun, on en est restés là. J'ai des contrôles sanguins réguliers et le crp ne fluctue pas trop, même s'il est un peu au dessus des valeurs normales. J'espère que tu pourras un jour te passer des immunosuppresseurs.

      De mon côté, le mélange de différents médicaments m'est insupportable, alors je n'ai pas le choix sinon c'est l'enfer, l'impotence, même plus capable de suivre une conversation. Je sais y'a pas grand monde qui comprenne cela ! Faut le vivre pour le savoir. kéa

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    5. non pas grand monde ne peut comprendre ça... ce que tu vis est fort semblable à ce que je vis, difficile à expliquer
      En plus je ne m'habitue pas à la vision monoculaire: je suis pas moments complètement désespérée

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  16. J'aurais presque envie de te mettre un lien vers un blog qu'il m'arrive d'aller encore visiter. Celui d'Agathe Maldiemme. "Un arbre qui tombe fait plus de bruit qu'une forêt qui pousse". La vie en face. Son blog semble être resté sur la toile comme un témoignage.

    Pendant toute sa dernière année de vie, elle a écrit. Je sais bien qu'une maladie n'est pas l'autre, mais je pense qu'elle n'ignorait pas l'issue de la sienne. Et elle a écrit, quand même. Bien sûr, elle n'avait pas les mêmes contraintes que toi - elle en avait d'autres, sans doute, comme tout le monde.

    Alors, je pense qu'il faut écrire, même trois mots, même trois phrases, même si ça fait mal, même si ça grince, même si ça te semble mauvais, (même si ça l'est, tant pis), je ne te vois pas vivant sans écrivant. Alors, je crois qu'il faut écrire... Et peut-être, aménager ce qui doit être aménagé pour que tu puisses le faire...

    Avec toute mon amitié.

    Pivoine.

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    1. Pivoine, merci j'irai voir ce blog, tu as éveillé ma curiosité!
      J'ai recommencé à écrire, oh pas grand chose: juste les cent mots quotidiens prescrits pas Queneau. ils se trouvent sur un blog ouvert pour cela, mais tu vas rire, en écrivant ce commentaire, j'ai oublié son nom... mais si tu veux tu trouveras bien. Célestine l'a repéré, la maligne!!!

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  17. Enfin, je n'ai pas vraiment de conseil à donner... Mais ce que je crois profondément, par contre, et je le redis, c'est que pour une raison ou l'autre, je suis persuadée que tu ne peux pas vivre sans écrire... Ou trouver autre chose, peut-être, mais je sais que cela ne se trouve pas facilement... Voilà pourquoi je disais écris, écris, écris, même un mot, trois mots, trois phrases, etc...........

    (Re-Pivoine).

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    1. oui je le crois aussi que je ne peux pas ne pas écrire!
      Et c'est pour cette raison que je me sens si mal, n'écrivant pas
      Donc voilà, je fais des gammes, en attendant de reprendre vraiment!
      merci Pivoine

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  18. Super ! Je vais aller lire ça. En son temps, j'avais aussi fait quelques consignes en 100 mots et c'est vrai que tenir la route tous les jours, ce n'est pas facile. Obni participait aussi...

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    1. je suis assez enthousiaste... mais il faudra tenir sur la durée... et cela n'est pas si évident!
      Pourquoi tu ne t'y remets pas?

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  19. Merci de ton passage sur "Livres d'or", Coumarine...

    Je lis tes derniers articles (avec plaisir) et je vois que tu parles d'un certain manque d'inspiration...

    J'aurais bien un p'tite idée à te donner (à prendre ou à laisser) : c'est de passer de temps en temps ici :

    http://filigrane1234.blogspot.fr/
    (un thème d'écriture proposé chaque premier du mois...).
    Si ça te dit, tu es la bienvenue...
    Prochain thème : le premier août (thème littéraire, pas de "jeu de mots" cette fois...)

    Peut-être à bientôt...
    Amitiés.

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    1. merci La Licorne... j'irai sûrement à la découverte de la consigne du mois d'aout
      à bientôt!!

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